Je ne m’attendais franchement pas à ce que ce sonnet reçoive un tel accueil et je suis très sincèrement touché par vos commentaires approbateurs. 
Pour moi, le sujet était de ceux qu’apprécient les proches mais qui suscite peu d’intérêt en dehors du cercle familial. Eh bien, je me suis trompé !
Les termes qui reviennent le plus souvent dans vos commentaires – ‘‘simplicité’’, ‘‘douceur’’, ‘‘fluidité’’, ‘‘classique’’ – me touchent d’autant plus qu’ils caractérisent parfaitement mon ambition en matière de poésie.
Il se trouve que j’ai en réserve quelques poèmes ‘‘familiaux’’ du même tonneau que je ne pensais pas sortir de mon chai mais, compte tenu du succès remporté par celui-ci, je vais vous les faire goûter, on verra bien…

J’adresse un grand merci aux quinze commentateurs, socque, papipoete, embellie, Lebarde, Mintaka, poldutor, Miguel, Vero, Cristale, pieralun, Anje, Myo, Queribus, Marite, inconnu1, qui ont pris le temps et le soin de m’adresser ces retours...
Merci au CE et au 190 lecteurs qui ont cliqué (et peut-être craqué ?) sur ma maison.

Pour retrouver le sonnet et vos commentaires : http://www.oniris.be/poesie/gil-ma-maison-11610.html

PS : Ah ! désolé, Anje, mais ma maison n’est pas à vendre...

Comme Vous cher poète, j'ai principalement trouvé l'inspiration, dans les tiroirs de ma vie ; des gais, mais surtout des poèmes aux couleurs des jours et des nuits, qui font l'ordinaire d'un homme ; celui qui même les cheveux blancs, pense toujours et toujours à sa mère, qui fit tout pour son petit...
il me vient aujourd'hui des idées, en regardant par ma fenêtre, ou celle du journal télévisé, mais il reste encore des pâquerettes, mes rosiers qui vont renaître ; j'ai encore tant à dire, des mots dire, mais ne jamais maudire...
papipoète