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1 Utilisateur(s) anonymes
Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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24/01/2014 08:35 De A côté de la forêt de Saint Germain
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Bonjour,
Le concours de poésie est terminé et les résultats ont été publiés ; je suis content car le poème que j’ai préféré est lauréat. Il s’agit de « Tremblements » de StephTask. Bon, je ne suis pas là pour ça ; je tiens à remercier les membres du comité éditorial d’avoir permis la publication de mon récit poétique et surtout les personnes qui ont pris le temps de le commenter. Comme je le dis souvent, ces concours sont le moment où les auteurs peuvent tenter autre chose, prendre des risques, renverser la table. Je n’ai pas essayé de renverser la table mais j’ai opté pour le récit poétique, une catégorie qui n’emporte pas les foules de lecteurs du site. Et je suis content que ce texte récolte autant de commentaires alors je vous remercie une fois de plus. Le texte se trouve ici : http://www.oniris.be/poesie/donaldo75-la-ou-le-debut-et-la-fin-ne-se-croisent-jamais-concours-11696.html Je réponds à vos commentaires : @Robot : que dire de plus si ce n’est encore merci ; je suis content d’avoir inspiré ce commentaire à un poète que j’apprécie autant et qui a été mon mentor lors de mon passage en comité éditorial. J’ai essayé de tout donner de manière instinctive dans ce texte et seul le récit poétique me paraissait adapté à cette recherche de l’instantané. J’ai mis à fond et en boucle plusieurs morceaux des Doors, en particulier évidemment « The end » mais également « Riders on the storm », « When the music is over » et « Light my fire » pour leur puissance hypnotique et la force de leurs textes. @Cyrill : je ne suis pas étonné que tu devines aussi facilement qu’il s’agit de la mort de Jim Morrison. Les filles aux yeux de poisson mort m’ont été inspirées par William Faulkner dans son roman « Tandis que j’agonise » avec le chapitre intitulé « Vardaman ». Et j’ai aimé renverser cette image. @AnnPanizzi : le cri du papillon est tiré justement d’une chanson de Jim Morrison. La phrase un peu fumette – au passage, cette expression me fait marrer de la part de jeunes – est référentielle au thème du « Lizard King » si cher à Jim Morrison et décliné dans son grand poème intitulé « The Celebration of the Lizard ». @papipoete : je sais que tu planes déjà en écoutant du Pink Floyd post Roger Waters alors je te conseille d’écouter « When the music is over » des Doors si tu relis ce poème. @Eskisse : je ne suis pas allé aussi loin dans l’analyse religieuse de mon inspiration mais je suppose qu’elle est subconsciente, étant comme beaucoup de Français le fruit de cette culture judéo-chrétienne qui même si je ne suis pas allé au catéchisme ou à une quelconque communion m’a été inculquée de façon subliminale ne serait-ce que par la télévision ou les romans. @BlaseSaintLuc : j’ai mangé des chocolats et ils étaient bons, merci. Peut-être que leur provenance de Katmandou explique mon état. Et puis, c’est meilleur que le poisson. @Pouet : comme l’a souligné Cyrill, oui c’est la fin d’une rock star qui a tant fait pour rendre le LSD presque attractif, du moins pour la génération qui l’a élevé en légende de la culture populaire et de la révolte de la jeunesse. @Polza : oui, c’est carrément ça dans l’analyse de tout ce que tu mentionnes. Je suis d’accord sur certains termes mais j’ai composé ce poème en un temps record comme si j’écrivais une chanson pour un groupe de rock et que je ne souhaitais pas la transformer en texte figé par un perfectionnisme exacerbé et les demandes de mon cerveau gauche. @Vilmon : j’aimais bien ce titre alors je ne me suis pas pris la tête à chercher s’il était cohérent en termes de logique par rapport au poème ; en cela, je suis plus rock que poésie. Cette remarque me fait d’ailleurs penser à la chanson de John Lennon intitulée « Lucy in the sky with diamonds » dont les interprétations diverses la stigmatisaient comme une apologie du LSD alors que dans la version de l’auteur ce n’était pas du tout son intention première, sans savoir s’il disait la vérité ou pas. Merci encore à toutes et à tous. Don
Contribution du : 27/05/2022 11:42
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Nous sommes les acteurs Témoins d'un nouvel idéalisme Dans le théâtre extrémiste (Dirk Polak) |
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Visiteur
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Merci pour ton retour 😀 L'autre jour tu me dis que tu n'étais pas fan plus que ça dès Doors et de Morrison, mais ils sont encore cités, je dis ça je dis rien^^
Contribution du : 27/05/2022 12:03
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Chevalier d'Oniris
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09/01/2022 23:27 Groupe :
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Bonjour Donaldo. Merci pour ce commentaire très gentil mais je ne suis absolument pas lauréat. Mais ce commentaire suffit à mon bonheur
Pour revenir à votre texte, je suis désolé d’être passé à côté de ce récit poétique et de ne pas avoir eu le temps de le commenter. Je le trouve hypnotique et je vais m’empresser d’écouter « Crawling King Snake » cité explicitement dans le dernier paragraphe et essayer… de ne rien regretter.
Contribution du : 27/05/2022 12:09
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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08/06/2013 21:10 Groupe :
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Je ne suis pas un fan de Jim Morisson pour la bonne raison que je ne suis fan de personne, je ne suis pas du genre à aller me recueillir sur un mausolée mais n'empêche.
J'ai adoré, dans ma jeunesse lointaine, sa poésie et la musique des Doors. C'est vrai qu'elle est hypnotique. Elle m'a même peut-être permis de vivre, pas moins. Ah oui, the scream of the butterfly, bon sang mais c'est bien sûr ! Bref, j'ai suffisamment écouté et étudié le phénomène pour le reconnaître sous ta plume. Encore bravo pour avoir su coller de si près à ce personnage, à l'époque, à la musique.
Contribution du : 27/05/2022 12:14
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Maître et Talons |
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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Hello StephTask: c'est un lapsus, alors !
Ton poème est lauréat dans mon cœur, sans conteste. D'ailleurs, je remets le lien: http://www.oniris.be/poesie/stephtask-tremblements-concours-11700.html
Contribution du : 27/05/2022 13:45
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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En fait, Anna, je suis seulement un malade absolu de quelques chansons des Doors, celles dont je précise le titre dans ma réponse. Le groupe est certes intéressant, ainsi que Jim Morrison en tant que poète et chanteur mais pas suffisamment pour déclencher chez moi le souffle du fan. Et puis, ce n'est pas mon époque alors ce que racontent leurs chansons n'a pas le même impact sur moi que les textes de Robert Smith par exemple.
Bon, je vais aller m'écouter un truc pour les vieux de mon âge: The Cure - A forest
Contribution du : 28/05/2022 09:35
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Visiteur
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C'est pas des trucs de ton âge, c'est intemporel, je suis moi même en train d'écouter un groupe que je découvre Sonic Youth, c'est carrément étonnant mais j'aime.
Contribution du : 28/05/2022 09:53
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Maître Onirien
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Sonic Youth, c'est un de mes groupes favoris. Je les ai vus en concert à Paris Bercy en 2006 ou 2007, je ne me souviens plus.
Ce morceau est génial: Sonic Youth - Little Trouble Girl
Contribution du : 28/05/2022 10:26
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Visiteur
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Il connaît tout, il m'épate...
Oui, super morceau que je n'avais pas encore écouté !
Contribution du : 28/05/2022 10:40
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Re : Là où le début et la fin ne se croisent jamais |
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Contribution du : 28/05/2022 10:43
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