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1 Utilisateur(s) anonymes
Bleu, Merci ! |
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Organiris
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03/05/2015 18:24 De Algarve
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Merci à tous pour la lecture et commentaires de « Bleu »
Socque : « Rien que de lire ces vers me donne une impression de soif ». Voilà bien ce que j’ai cherché. Mais maintenant ça y est, on se détend avec un verre :) Le mot « âme » : je comprends ta réticence. Initialement, et parce que je voulais absolument le mot crevassé pour des raisons évidentes, j’avais mis ‘ « les yeux crevassés », mais j’ai hésité à garder l’image, je le regrette un peu maintenant. Merci d’avoir soulevé ce point. AnnaPanizzi : c’est plus un poème de désespérance que d’espérance. Il y a de la tragédie, c’est lourd, la tragédie, aussi lourd qu’un « que d’avoir vécu » ; Une goutte esseulée n’est pas une goutte isolée, il y a une grosse différence. Qui censément ajoute à cette tragédie. Merci de ton passage Wancyrcs : Il n’y a pas de lieu précis, je me suis plus attachée, comme tu le soulignes, à cette frustration d’un ciel désespérément bleu quand tout sèche autour de soi. Merci de ton passage Don : Merci d’avoir solliciter tes bons neurones :)))) Cubiste revient sur mes deux derniers poèmes proposés ici, il va falloir que je trouve autre chose, maintenant ! Merci de ton passage Cyrill : pour le « avant que d’avoir vécu, je m’en explique chez AnnaPanizzi. Je ne trouve pas qu’une parole méchante soit gentillette ! C’est une parole sèche lourde de conséquence, et celui qui observe cette terre éclatée par une goutte inutile prend plutôt mal le message, je crois. Merci de ton passage Papipoète : je suis en tous points d’accord avec ta réflexion sur notre vision de la sécheresse. Un gros merci pour ça ! Atom : Non non, aucune projection futuriste, il s’agit bien d’aujourd’hui. On fait tout ce qu’on peut pour ne pas en voir les conséquences, jusqu’à quand le pourrons-nous ? Cinquante ans ? C’est très optimiste. Merci de ton passage Lebarde : tu as donc trouvé le tout percutant et non pas hermétique. Voilà bien un vrai compliment pour un libre. Pour le vers que tu trouves lourd, j’en parle chez AnnaPanizzi. Merci de ton passage Angieblue : Oui, bien sûr, chacun n’est pas supposé adhérer aux formulations choisie. Merci de ton passage Pouet : Non, rien de plus que ce qui est ici dit n’est dit. Je prends bien garde de ne pas m’aventurer dans la vase grasse politicienne. Avant la politique il y a des gens, je préfère parler d’eux. Merci pour ton passage Eskisse : Ah, toujours ce petit quelque chose qui manque ! Mais très honnêtement, à part remplacer l’âme crevassée par les yeux crevassés, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter pour « compléter ». J’ai vraiment l’impression d’avoir mis ce que je voulais y mettre. Merci de partager ton ressenti BlaseSaintluc : Tu trouves une forme journalistique au poème ? C’est le plus surprenant de tout ce que j’ai lu en coms concernant ce poème ! Car justement, pas d’époque, pas de lieu, un poème inhabité au maximum. J’ai essayé une confrontation perdue d’avance avec la nature, les éléments. Merci pour cette surprise, en tout cas ! Ferrandeix : j’ai l’impression qu’on ne regarde pas le même ciel, ou qu’on ne le lit pas de la même façon. Mais le but bien sûr n’est pas de convaincre, l’auteur propose et le lecteur dispose. Merci pour tes conseils euphoniques. Voilà donc ce 32ème concours qui se termine. Ça a été, comme toujours pour moi, un vrai plaisir que de laisser tout travail d’écriture en cours pour me plonger dans un thème inattendu. Un concours se termine, laissant la place à un prochain, dans quelques mois. Encore une fois, merci à tous s
Contribution du : 27/05/2022 12:00
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