Le tigre vous dit merci

Tout d’abord un grand merci au C.E pour avoir inclus ce poème dans le catalogue de Oniris.
Je remercie les onirien(ne)s d’avoir par leur commentaires favorables permis que mon poème figure au catalogue et aussi bien sûr tous les lecteurs.
Merci donc à

Anje (bien)
Oui Ange jungle avec un «u » ; j’ai confondu l’orthographe avec la prononciation !
Le 21ème vers à 11 pieds m’a complétement échappé malgrè mes relectures !

Anna P. (bien +)
Mes vers « coulent bien » sauf le 21ème qui est boiteux puisqu’il lui manque un pied !
Il y a au moins quatre cerfs aux Indes :
le cerf Duvancel
le cerf cochon
le cerf axis
le cerf aboyeur (c’est fou ce que je suis savant!)
et qui dit cerf dit biche of course !

papipoete (beaucoup)
c’est du fait du manque d’alternance féminin/masculin que j’ai classé mon poème en contemporain (sans compter les 11 pieds du 21ème vers qui lui m’a échappé)
le problème des rimes est un mystère pour moi : « oré » et « orêt » ne riment-ils pas ? L’un des « e » serait-il plus « ouvert » que l’autre ?

Hanake (bien)
A propos de Leconte de Lisle je le sais bien hélas ! Trop de détails, je sais, je suis trop descriptif.

Lebarde (un peu+)
Pour ce poème je vois que pour vous j’ai manqué le coche ! Ne soyez pas désolé, peut être le prochain ?

Sanglar (beaucoup)
J’essaie à la manière des Parnassiens que : je cite : « De plus, il s’éloigne de la réalité en se tournant vers le rêve et l’exotisme. Ainsi émergent le réalisme qui s’appuie sur le réel pur et le Parnasse qui refuse tout engagement de l’art qui doit être impersonnel et froid. »
Vous évoquez le douanier Rousseau, et sans le vouloir j’ai écrit un poème qui illustre assez bien son tableau « tigre attaquant un buffle »

Hiareth (pas+)
Wouap, là je prends de plein fouet une nasarde comme dirait le beau Christian ami de Cyrano.
Tout y passe : vers faibles et lourds, trop graisseux, manque de nerfs de muscles, images d’Épinal, maladresses, redondances...j’arrête là sinon je risque d’aller, de désespoir, me jeter dans la Sorgue qui coule pas loin de chez moi.
Cela étant dit, vous avez le droit absolu de ne pas aimer ma poésie même si vous le dites en mots un peu cruels.

Miguel (bien)
Merci de trouver quelques beaux vers, cela compense certaines volées de bois verts et met du baume sur mes plaies à vif.

Inconnu1 (beaucoup)
Encore un onguent rafraichissant sur mes blessures (d’amour propre)
J’aime la poésie parnassienne et dans ce cas « je m’appuie sur le réel impersonnel et froid »
Hélas mon 21ème vers fait durement boiter mon poème.

cher poète
N'allez surtout pas vous jeter dans la Sorgue ! il doit y manquer de l'eau, et pourriez vous fracasser sur ses galets !
Non, pour chasser votre désappointement, enfourchez plutôt votre vélo du côté de Malaucène...
papipoète qui aima votre poème, à en feuler de plaisir

Merci pour le retour Poldutor, me voilà au taquet pour les cervidés indiens !

Bonjour et bien vu papipoete, le fait est que l'on pourrait (presque) traverser à pieds secs. Mon jardin ressemble à une natte de plage :très ras et très jaune.
Amitiés.
poldutor

Bonjour Anna
Remerciez plutôt l'ami Wikipédia !
Amitiés.
poldutor