Bien heureux que ce texte ait été retenu par les sélecteurs que je remercie ainsi que les correcteurs pour leurs propositions. Je suis reconnaissant aux 8 premiers commentateurs et aux lecteurs qui se sont arrêtés sur ce texte.

Quelques réponses :

Ananas :
Dans mon esprit c’est le texte en son entier qui se voulait allégorique ou métaphorique. Tu n’as pas été en mesure de l’apprécier. Je comprends parfaitement.

Miguel :
tu as saisi l’essence même de mon propos. C’est bien ce que je voulais exprimer. Ton ressenti entre ce que tu vois comme un début classique et une fin moderne n’a pas été conscient de ma part. Merci de l’avoir perçu et de me l'avoir retransmis.

AnnaPanizzi :
Un mot pour justifier l’emploi de blême. D’abord je veux te remercier pour m’avoir fait connaître l’origine de ce mot en scandinave. D’aprés mes sources françaises qui valent ce qu’elles valent, selon le dictionnaire des synonymes « Les usuels du Robert », blême est synonyme de blafard, mot que « le Grand Larousse encyclopédique » définit ainsi : d’un blanc terne et mat. Mais ces deux ouvrages de référence sont peut-être erronés.
Je constate que tu es très férue de culture nordique. Je ne connaissais pas « Ragnarôk ». Je me sens un peu plus cultivé grâce à toi après un passage par Wikipédia.

Papipoète :
Tu proposes de décliner ce texte par d’autres couleurs. J’aime l’idée. J’espère que tu voudras tenter de la développer avec ton esprit classique ou dans un essai en prose..

Hananke :
Vous trouvez le texte à la fois simpliste et superficiel tout en ayant une fin nébuleuse. Je prend en compte votre appréciation. en cas de réécriture.
Ainsi, je vous aurais reproché d’accuser l’homme de tous les maux sur certains de vos textes. Franchement, qu’est-ce que j’ai pu écrire comme bêtise dans mes commentaires parfois ! Je veux bien le reconnaître.

Provençao :
Vous vous êtes sentie à l’étroit dans le texte. J’en suis désolé et je reconnais qu’avec tout ce blanc on peut se croire pris dans une congère.

Senglar :
en quelques mots vous avez résumé mon intention. Cordialement aussi. (Je sais plus si on se tutoie ?)

Lulu :
J’apprécie l’analyse que tu fais du texte et surtout le fait que tu y a trouvé autre chose que ce que le titre pouvait suggérer. Dans mon idée, le pinceau trempé dans du lait évoquait à la fois la naissance, la création initiale.
Aube ou crépuscule ? Je pense que dans mon esprit l’une succède à l’autre dans une continuité qui se répète telle que les animistes conçoivent le monde.
J’aimerais me faire moins rare mais …

Encore merci à tous. La lecture de vos coms est instructive pour poursuivre mes travaux (mes loisirs) d'écriture.


Le texte est ici:
http://www.oniris.be/poesie/robot-le-tableau-blanc-11916.html#comment179587

Merci pour ton retour Robot. Oui, je suis assez intéressée par la culture Scandinave, j'ai d'ailleurs fait un petit tour cette été au Danemark et en Finlande où j'ai fait quelques emplettes sur le sujet :)

Bien sûr Robot (à moins que le galon... Oh ! je plaisante :) ), c'est avec les Dames que cela pourrait éventuellement poser problème, par souci de courtoisie :)

Merci pour ton retour. Très classe avec tous les commentateurs.

Bonjour Robot,

C'est un peu cela.....
A très bientôt de vous lire


Cordialement
Veronik

Merci de ton passage Lari. Pour la construction du texte voir ma réponse à Lulu ci-dessus.
Cordialement.

Merci de ton merci Robot et merci pour les explications !

Merci JULIEN09 pour votre lecture et votre commentaire. Vous avez vu dans ce poème les sentiments que j'ai voulu faire passer mais aussi des éléments auxquels je n'avais pas été conscient en rédigeant le texte.
J'apprécie quand le lecteur voit au-delà de l'intention première de l'auteur.

Merci pour ce retour, Robot.

Je te remercie Donaldo pour le commentaire laissé sur mon texte. Texte pessimiste c'est vrai. L'allégorie est dans l'image du soleil (le réchaufffement climatique) détruisant le tableau blanc (La nature fragile en train de disparaître et que l'homme doit s'efforcer de préserver comme le peintre de l'avenir.)