Je remercie le C.E d'avoir publié ce texte, ainsi que les personnes qui l'ont commenté avant (en Espace Lecture) et après publication. Je remercie l'équipe de correction pour l'avoir débarrassé de ses scories.

Je ne répondrai pas aux commentaires individuellement. Je comprends que les non-initiés en informatique aient plus de mal à rentrer dans ce texte ; j’ai remplacé les extensions des fichiers informatiques par des castes et imaginé du coup un ordre social dans ce monde numérique. Pour ce qui est de Naturträne (bien taquiné, Anna, avec ta crème anti-ride norvégienne), c’est une chanson de Nina Hagen (https://www.youtube.com/watch?v=weIkm62xZvo) que j’ai écoutée en boucle pour écrire cette nouvelle car je la trouve musicalement gothique. Je rejoins Eskisse dans sa dernière phrase de commentaire et je la remercie d’avoir si bien résumé cette histoire.

Je laisse le dernier mot à la chanteuse berlinoise :

Prompt wird mir's jetzt schwer ums Herz
Ich brauch' nur Vögel flattern sehen
Und fliegt mein Blick dann himmelwärts
Tut auch die Seele weh, wie schön
Natur am Abend, stille Stadt
Verknackste Seele, Tränen rennen
Das alles macht einen mächtig matt
Und ich tu' einfach weiterflennen.

Bon, toujours pas de smiley aujourd'hui, juste des mots (et de l’Allemand, Google vous aidera dans la traduction) dont le principal est: « danke ». Mon prochain poème sera inspiré par une chanson de John Lennon et Paul Mac Cartney, quand ils étaient encore potes.

Bye

Don