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"Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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'' Car le salaire du péché, c'est la mort...'' Paul (aujourd'hui Saint Paul) Lettre et/ou Epître aux Romains 6:23 ''Nouveau Testament'' (Vers l'An 57)


Tout d'abord Merci à Vincente et aux Orgas qui ont élaboré le nouveau système d'Appréciation, il permet de bien nuancer le rapport que l'on a au texte et évite à mon avis des comportements trop caricaturaux. Il ménage l'auteur et c'est un bien. Merci !


Pré Genèse du poème : Un soir, en début de télé (Mais si elle mène à tout!) m'est venue à l'esprit la phrase :
« Ils sont là qui guettent sur le bord du chemin »
(Mais non ça n'étaient pas les témoins de Jehovah!)
Tiens un vers ! Me suis-je dit. Un alexandrin ! Et si j'en faisais un poème...
C'est peut-être ça que Miguel nomme « subliminal » (?)
Et puis ce vers est tout simple, facile à comprendre, il me permettra peut-être d'être publié puisque je n'arrive pas à me faire publier pour cause d'obscurité. Oui ! Je pourrai faire simple !... Enfin... Tout le monde va comprendre ce que j'écris.
Challenge !
J'ai pu constater que ça n'est pas gagné :)))

Vu le vers le thème coulait de source : Ces satanés chasseurs ! Qui persévèrent... persévèrent...
''Chassepot'' (c'est l'exergue)
''Tableau'' (c'est le titre)

(en voici le premier quatrain, il ne s'agit pas de publication détournée puisque je montre la genèse de mon poème libre publié)
''Ils sont là qui guettent sur le bord du chemin,
Le fusil qui en jette à tout crin dans la main,
La petite bête efflanquée, les tartarins,
Les Nemrods du dimanche au sourire assassin,''
Pas vus hein les deux alexandrins du poème libre:)))

Ma crainte : On va te dire Oh la la une fois de plus la condamnation des chasseurs, de nouveau ce marronnier. Comme c'est banal ! Le poème se situe effectivement dans ce politiquement correct d'aujourd'hui, qui est malgré tout le fond de ma pensée. Le politiquement correct peut aussi avoir du bon.
Eh bien on ne m'a pas fait ce reproche-là.
Au cas où il aurait fallu me justifier j'avais prévu de dire que j'étais dans une petite variante en reprenant la position écolo de nos chasseurs d'aujourd'hui : Nous ne sommes pas des massacreurs, au contraire nous protégeons la faune et la flore en régulant itou... en évitant certaines surpopulations néfastes, rages et dégâts aux récoltes (Ah ces renards et ces sangliers, même les cerfs s'y mettent), en préservant et protégeant les espaces naturels itou itou...
Ha ! En voilà une belle excuse pour traiter ce sujet ! Qui peut trouver à y redire ?

Crainte inutile ! Ce reproche ne m'a pas été fait. A ce point que j'en ai eu l'impression de traiter un sujet original. Si Si il y a un com dans ce sens. Merci à son auteur :)))


Et pour en revenir à ma lisibilité Eh bien une fois de plus elle a posé problème. Il faudra que j'en prenne mon parti. Je suis un cas désespéré.

Bon je donne ma deuxième strophe, elle permettra à certains commentateurs (après la première) de trouver certaines clefs de vocabulaire) :
''Les deux pieds dans la fange et le nez dans le vent,
Sur la langue les papilles, l'odeur du sang,
Sous la dent le milan, la bernache cravant,
Tandis que lourdement s'élève le faisan.''
(ça se mange le milan ? Marrant ce mot ''cravant'', prémonitoire à une voyelle près ! Ça s'envole comme un hélicoptère un faisan. Faut le faire exprès pour le rater).



(à suivre, avec les retours personnalisés aux commentateurs bien entendu. Je leur dois bien ça)

Contribution du : 19/01/2023 18:21
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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@ Angieblue : Je me permets de citer une grande partie de votre com car vous énoncez ce que j'ai voulu faire mieux que je ne pourrais le faire moi-même :)
''Je trouve que c'est très réussi au niveau du rythme et des sonorités. Il y a un beau jeu d'assonances et d'allitérations.
C'est également très riche au niveau du vocabulaire et du champ lexical des oiseaux.
En ce qui concerne le fond, c'est très incisif et engagé, et les sonorités piquantes servent bien le thème, par exemple tout le passage avec le son ''q''. les assonances en ''an'' illustrent également très bien cette folie sanguinaire. J'aime beaucoup lorsque le fond et la forme s'entremêlent pour délivrer un message. Ici, c'est très visuel et sonore donc très réussi sur le plan poétique.

En somme, de la belle poésie visuelle, puissante, sonore et engagée ici...''

Ah ''an'' ! De ''an'' à ''sang'' il n'y a qu'une voyelle... Peut-être Miguel commencera-t-il à ouvrir un œil ici ou plutôt une oreille quant à la prononciation de ''Mitterrand''... Peut être...

Je voudrais vous dire aussi que pour la chute de mon poème c'est à vous que j'ai piqué le mot ''létal'' :
«  Et tu boiras mes mots au parfum bleu létal »
qui m'avait alors atomisé:) Un petit clin d'oeil en quelque sorte.


Bien ! Voici la 3ème strophe du poème initial, un vrai tercet pour un faux sonnet :
''Trois fusils crépitent, la volaille panique.
Au ras de l'eau les fiers tireurs en choeur se piquent
D'être chacun, seul et unique, l'as de pique.''



(à suivre... je vais reprendre les coms un par un et y répondre quand ce sera nécessaire)
Peut-être Dimanche, cela va dépendre de mon temps libre...

Contribution du : 20/01/2023 14:42
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"Je suis le Ténébreux,- le Veuf,- l'Inconsolé,/ Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :/ Ma seule Etoile est morte,- et mon luth constellé/ Porte le Soleil noir de la Mélancolie." "El Desdichado" G. de Nerval
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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Hey, hey, je me doutais que "Bois létal" était une réminiscence de "Bleu létal".
Il y a des associations de mots qui sont magiques et qui nous sont inspirées de je ne sais quel souffle invisible et mystérieux..., je n'ose dire "divin"...mais...
Waouuuh "atomiser", c'est ça le pouvoir de la poésie : Envoyer une sorte de charme troublant, puissant et renversant...
Merci, ça me fait tellement plaisir.

Vous avez, dans votre poème, joliment manié les rimes et le rythme un peu comme Rostand dans "Cyrano de Bergerac". ça a fait mouche à mes oreilles.
"Au ras de l'eau les fiers tireurs en chœur se piquent
D'être chacun, seul et unique, l'as de pique.''

Contribution du : 20/01/2023 20:04
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
Expert Onirien
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@ Miguel :

Je ne sais pas ce qu'il en est aujourd'hui quant aux journalistes télévisuels mais Mitterrand tenait à ce que l'on prononçât correctement son nom, avec un ''e'' muet et non avec ''é''. Je commettais à l'instar de beaucoup l'erreur de dire ''mittérrand'' jusqu'à ce qu'un chroniqueur télé avisé attire mon attention sur cette erreur commise y compris par certains de ses confrères.

Pourquoi ai-je éprouvé le besoin de le noter ? Tu as lu le com d'Angieblue qui insiste sur l'importance des assonances et notamment celle en ''an'', le vers « L'ortolan cher à Mitterrand » illustre en partie cette cette assonance, un ''é'' sonore l'aurait affaiblie, un ''e'' caduc par sa discrétion la renforce.
Voilà ce que cela change.

Ceci dit peu importe que le Vénitien eût mangé des ortolans huit jours avant sa mort, c'est très anecdotique. Ce qui est important c'est qu'il sacrifiait à cette cérémonie chaque année... Mais je reviendrai sur ce point.

En outre je n'ai pas cité Mitterrand pour le plaisir de citer cet emblématique président, fin lettré, mais parce que je ne pouvais pas me limiter au vers
« L'ortolan »
trop court, ce qui aurait causé un déséquilibre quant au rythme et à la scansion du poème.
Il me fallait une assonance en ''an''. ''Mitterrand'', grand amateur d'ortolans, tombait à point nommé pour cela.


Merci pour ta lecture qui relève plus du billet d'humeur que du commentaire proprement dit...




@ Robot :

Merci pour ton aimable commentaire:)

Je reviendrai plus loin sur la recherche d' ''atmosphère'' de ce ''loisir'', j'ai l'impression que tu n'y es pas plus sensible que moi:)

Je m'explique tout de suite sur ce titre ( « Le salaire du péché ») qui a posé tant de problèmes à beaucoup :

« Les quidams...

Consignent la prouesse


… pour le décompte.
Un faisan – Un sapin »
Le faisan mort est le péché ; pour chaque bête (ici un faisan) abattue les chasseurs s'engagent à planter un sapin en contrepartie de la vie prise. Ils se sont inventé un alibi écolo. Le sapin est le salaire du péché, le salaire payé à la nature et à l'écolo bobo pour se libérer d'un éventuelle culpabilité. Une vie prise = une vie donnée. Et vive la nature régénérée !
En fait c'est un marché de dupes, je reviendrais plus tard sur « Bois létal » qui en est l'illustration.

Encore Merci à toi:)




@ Angieblue :

Tout d'abord Merci pour cette allusion à Edmond Rostand. Je relis régulièrement « Cyrano de Bergerac » qui est un véritable remède contre les baisses de dopamine. Ah la scène de ''cabaret'' du début où les répliques fusent, où la vie bruit ! Ah la tirade du nez ! Oh les tirades d'amour !:)))


Et maintenant la deuxième partie de votre commentaire :

Contrairement au poème ''néoclassique'' qui se terminait sans coup férir :
''Les quidams lorgnent circonspects le tas de plumes,
L'oiseau écrabouillé comme dessous l'enclume,
Consignent la prouesse avec un porte-plume.

A portée d'Haquebute. »
(j'ai pensé à l'émoticône dont quelques-uns usent et abusent)
(Mignon non ce mot ''haquebute », tout y est !)

Bien... J'ai voulu mettre une chute au poème libre d'où le changement de rythme à partir de « Les quidams... » avec le marché tronqué auquel se livrent les chasseurs : On tue la faune, on revivifie la flore. Ah les braves gens !
''pêche'' est la couleur de la plume du faisan rayée de brun foncé. De plus j'ai joué sur l'ambiguïté du mot.
''Rémige '' marche avec ''hémoglobine'' sorte de pacte diabolique, faustien et trompeur. C'est pas si mal non ;)
L'arbre prétexte, alibi, est ici le sapin, « Bois létal » (je vous ai presque plagiée phonétiquement : '' B... létal'' ''Bois''/''bleu'', ''b''/''b'':) ) pour montrer la rouerie des chasseurs. Ils plantent un arbre pour compenser une mort et donne la vie à la flore pour pallier à une mort dans la faune. Mais ils font ici preuve de malice avec leur calotte crânienne décérébrée et un horrible clin d'oeil car le bois du sapin est traditionnellement et symboliquement le bois du cercueil. Suprême duperie et duplicité où pour compenser une mort animale ils offrent en échange un plant de cercueil. Une forêt de cercueils pour un amoncellement de cadavres. Ils sont bien dans leur funeste logique.
« Bois létal » A bientôt ! (euh ça c'est une parenthèse:) )
Bien sûr c'est une chute, rien ne doit l'amener.


Merci infiniment pour votre passage, pour votre com qui montre ce que doit être un com et qui m'a rasséréné. Il y a du pour, il y a des interrogations, il y a du contre.
Magistral !




(à suivre... après le foot... foot... foot... :) )

Contribution du : 22/01/2023 12:58
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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@ papipoète :

« (on tire, on tue, on ne torture pas) » : Je ne crois pas qu'une mort infligée puisse être propre et une arme à feu n'en est pas la garantie qui estropie plus souvent qu'elle ne tue.

« je connais des chasseurs... qui sont tout à fait respectables... » : Il y a peu, alors que je baguenaudais le long d'une route de campagne, j'ai vu un lapin au bord d'un champ qui filait vers un taillis devant un chasseur qui épaulait son trois coups.
Hé ! Te sauve pas ! lui ai-je crié. C'est un homme respectable que tu as au cul, quelqu'un de bien, baptisé, cultivé et qui vote, un homme bien...
Il n'a rien voulu entendre.

Question de point vue quoi:)

« perfectible » : Maiiis... je suis toute ouïe...




@ Wancrys :

Ah Wan je sens que l'on va redevenir amis comme à nos débuts:)) Je te suis reconnaissant d'avoir pris le temps d'essayer de me comprendre. Bénies soient les douches chaudes et bénie soit ta patience :) Je crois que je vais m'y mettre aussi.
Tu as fait preuve ici d'une grande sagacité et d'une bonne humeur comme d'un humour revigorants.

Merci :)))




@ Tomoe :

Dites-donc ce sont de sacrés pollueurs aussi les chasseurs à truffer la terre de plombs. Je comprends maintenant pourquoi les fermiers souffrent de saturnisme à labourer leurs champs. Ecolo, mon œil !

Mon poème vu comme ordonnance pour les pour et les contre : quelle bonne idée !

Merci :)




@ Marite :

Bonjour à vous, belle imagination pour « Bois létal »:) et le salaire du péché c'est un arbre planté par pièce de gibier pour régénérer les forêts. Mais je l'ai dit plus haut : « Mon beau sapins, roi des décès... »:)

Merci d'être passée:)





@ Ramana :

Bien vu pour la catégorie de chasseurs qui éclatent ou estropient le gibier en payant leur place pour les battues.

« ...mais je suis plus réservé sur l'expression... » : Je sais, le poème est violent, très violent. Je crois que c'est pour cette raison que son accueil a été tiède.

Vous êtes beaucoup plus délicat que moi quand vous parlez de la mort. Voir « As-tu vraiment vécu ? » Bravo !




@ Elena :

Bon le poème est quand même à charge, entre satire et pamphlet.

« ((la chasse)) … elle peut être considérée comme une façon de conserver quelques réflexes fondamentaux de survie de nos lointains ancêtres... » Autrement dit de laisser libre cours à notre cerveau reptilien. Or tout l'effort de la civilisation consiste à lui fermer la porte à cet enfer souterrain. Pulsion de vie/Pulsion de mort. Celui qui n'y parvient pas n'est en conséquence pas un être civilisé. Néandertal était cannibale et n'avait pas d'âme, Homo Sapiens si !

''Paix sur la terre aux bonnes de bonne volonté !'' Saint Luc




Il me reste à faire un développement sur l'ortolan. Sacré Mitterrand !.... car je n'ai pas dit pourquoi je l'ai choisi plutôt que le fier milan... peu importe le ''e'' dolent.

A tantôt

Ou pas

Contribution du : 24/01/2023 17:08
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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Senglar
" je ne crois pas qu'une mort infligée, puisse être propre " dites-vous ?
Mes parents, comme beaucoup d'autres à l'époque, ayant bâti une maison ; ils faisaient leur jardin pour leurs légumes, ils élevaient poules ou lapins pour pouvoir s'offrir de la viande.
Nous avions des lapins, que mon père bichonnait, leur faisant une litière propre et douillette, mais venait le jour où il fallait en tuer un, pour que maman nous régale un dimanche.
Papa était un homme d'une grande douceur, et notre future victime ne pouvait se douter du sort funeste qui l'attendait... tant mon père faisait acte de délicatesse.
Je le vois encore sortir la bête par la peau du dos ( certains les attrapent par les oreilles ! si on leur faisait pareil...? ) la caressait, insensiblement lui rabattait les oreilles en avant, et du rondin de charbonnette qu'il tenait caché dans son dos, lui donnait ce coup qui assomme ; la suite est moins jolie, mais l'animal jamais ne souffrit ! J'eus à entendre " pleurer " un lapin, qu'un affreux était en train de faire mourir, pendu par les pattes ; cela se passait il y a longtemps, mais je l'entends encore...
La chasse est un éternel sujet de débat, auquel j'ai déjà souvent participé... sans succès : mais je suis encore étonné, que l'on ne fustige pas le pêcheur et son poisson dont l'hameçon est enfoncé tout-au-fond de la gueule ; je vous épargne la suite...
Je fus chasseur " de lézards, moineaux, rats d'égout " au temps de ma jeunesse, mais ne m'offris jamais de " quatre coups ", devenu grand, préférant la poésie...
papipoète

Contribution du : 24/01/2023 18:15
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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Une mort donnée en cachette n'est-elle pas une mort honteuse ?

Contribution du : 24/01/2023 20:50
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Re : "Car le salaire du péché, c'est la mort..." Remerciements de Senglar
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Et pour conclure : Une mort immédiate n'est pas propre pour autant.

Contribution du : 25/01/2023 14:14
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