Un salut amical à toutes les lectrices et lecteurs qui ont pris la peine ( et le plaisir j’espère ) de lire ce poème.

Salut aaaaaamical aussi, à Geigei, Marite,Papipoete,Socque,Jemabi,Miguel pour votre regard porté sur le texte. Quand vient notre tour, on est toutes et tous intéressé par une telle démarche.


Pour les détails ...

- Une lieue,
mesure linéaire, qui varie suivant les époques et son emploi … gauloise, romaine, leugaire, militaire, maritime, de poste ... C’est vrai que dans l’absolu, mille lieues, représentent une distance fort appréciable pour qui doit la parcourir … mais

… Vigny faisait dire, « dans le journal d’un poète. » …. Je flaire le sot à une lieue …
… Quant aux « Bottes de sept lieues » ... quel moyen de transport !
… L’expression « Je suis à mille lieues de penser à ... »

Pour ma part je crois la pensée, plus vite que la lumière.
La poésie permet tout (ou presque).

- Godillé ... Avoir mis son godillot, sa chaussure.
C’est une liberté que j’ai prise, à faire un parallèle avec Alexis Godillot (soulier porté par les militaires dés 1848 ) . C’est d’ailleurs à ce Monsieur que l’on doit l’invention du pied droit et gauche, dans la chaussure s’entend !

À bientôt . Airjai.