Geigei : Vu la teneur de votre commentaire, je vous fais l’honneur de vous servir en premier. En soi, ce ne sont pas vos notes à la baisse qui me chagrinent, et je les aurais considérées volontiers si les motifs que vous invoquez en rapport eussent été plus constructifs. J’entends bien que le mysticisme, la foi et le nationalisme exacerbé n’ont pas votre faveur ; en cela, vous êtes dans l’air du temps, et bien sûr, je ne contesterai pas votre liberté de penser, si tant est que nous en ayons véritablement une (nous sommes tellement conditionnés à notre insu !).
Pour ma part, je trouve que la foi est une belle chose, et je n’ai aucune objection particulière contre le nationalisme en soi, n’ayant pas pour habitude de faire des associations malencontreuses et souvent infondées. Et je ne fréquente aucune étagère idéologique, me voulant d’un esprit relativement éclectique…
Ceci étant, permettez-moi de vous suggérer que le ton un peu accusateur de votre chute laisse entendre que malgré la teneur ma présentation, je ferais la promotion de la foi et d’un nationalisme exacerbé. Il y aurait ici comme un « glissement » de votre part, puisque vous semblez me prêter une intention principale autre que celle que j'annonce. Ou si tel n’est pas le cas (expression maladroite ou autre cause), auriez-vous l’amabilité de vous en expliquer plus en détail sur ce fil ?
Merci tout de même de m’avoir lu et réagi, et je suis à mon tour impatient de lire l’une de vos oeuvres sur ce site.

Jeanphi : En quelque sorte, Jeanne étant toujours vivante par sa légende, j’ai pu moi aussi, comme Christine de Pisan, écrire sur elle de son vivant.

Miguel : Oui, je vais mettre une majuscule à Ciel, j’aurais du y penser. Oui, la rime pays - mépris n’est pas acceptée en classique, et je m’en étais pas rendu compte avant de proposer le texte. Bien que vous soyez indulgent à mon égard, je vais quand-même m’imposer une séance d’auto-flagellation dès ce soir.

Papipoete : On sent que cette jeune pucelle qui « commandait des mâles et autres durs à cuire » vous interpelle. Je suis sûr que vous l’auriez suivie si vous étiez né à l’époque.

Socque : « L’ennemi passe la Manche », je veux dire progressivement depuis 100 ans, c’est une expression statique pour désigner un fait dynamique. Hum ! Cela vous va t-il ?
Je ne suis pas si sûr qu’a l’époque, le bien et le mal étaient si séparés que ça, du moins la prégnance de la religion pouvait le laisser supposer, mais ceci est tellement loin maintenant…

Edgard : Parlons de vérité historique ; il apparait au contraire que Jeanne a du batailler verbalement auprès de nombreuses personnes, ce sont des faits historiques largement connus. Peut être aussi que son aura et sa force de conviction ont contribué à ses réussites.