Salut à vous oniris, merci pour la publication de ce poème bien hermétique diront certains et en prose qui plus est qui toute de même rameute un peu du commentaire onirien harangue un brin le mot.

C'est un texte que, nonobstant son caractère ronflant et hors-sol n'est ce pas - et peut-être - je qualifierais d'écocentrique.
(Je n'ai pas trouvé plus court et plus énigmatique. )

Heureux geigei de tomber sur vous en première intention car dans votre mixeur il y a plein d'ingrédients inhérents à la composante de la chose ... il manque juste une pincée d'avenir à l'IA frelatée façon ChatGpt une durit de glycine et vous teniez la recette parfaite, enfin à condition de savoir tuer une anguille façon Maïté...Ah oui, je n'utilise pas un Indignex mais un Resignex 2 chromé, idéal pour concocter des petits plats à base d'herbes du jardin et de chair à coton qui j'en suis sûr permettent de passer une merveilleuse pause postprandiale.
Au final et je loue pour le coup et sans ironie votre sagacité quant à mes "intentions".
socque, j'ai adoré votre commentaire "numérique" , sans rire, très graphique, en faisant presqu'une poésie. Quant au rythme je sais bien, j'écris comme ça, ça vient comme ça vient et ça vient souvent comme ça. Et enfin le sens, ben. Je ne peux rien pour moi.
Lariviere en bon tzarariste des dadas épuisés sur les écumes pâles sort de sa caverne platonique et c'est tant mieux, un peu de connivence parfois, ça fait point mal.
Eskisse, content là aussi de se parer de quelques accointances surréalistes, nous nous retrouvons souvent au détour d'une image ou de lambeaux d'idées ou de beauté pourquoi pas.
Vincente, je connais et reconnais totalement la perte d'intérêt du "message " à partir du moment où il n'est audible que par son simple locuteur, les métaphores sont sans doute mon plaisir et ma perte que veux-tu...
Ben oui Cyrill, c'est bien ça. L'inconscient. L'inconscient ça nous suit un peu partout, c'est comme un chien d'aveugles qui cherche son aveugle ou alors une glycine sur un terre-plein central. Va savoir.
Myndie, ce sont beaucoup d'éloges qui sont posées délicatement sur les orteils aux griffes rétractiles de mon texte, j'en suis touché. Le travail, je crois pas non. Je suis un génie spontané.
Luz, un peu loin de ton univers poétique je pense, je salue ton passage et de ne pas avoir regretté quelque instant de "poésie."

Merci encore à tous.

Salut Pouet!

Des éloges, peut-être mais assumés et totalement sincères.

Je suis un génie spontané.

Tu es beaucoup trop modeste!

Salut Myndie, t'as vu et même en orthographe, je concocte et concorde en impro à merveille les éloges... avec une pincée de poivre noir et une zolie compotée d'étoiles.


Bon pardon à tous pour mes fotes de frappe en général et en accoutumé.

Au plaisir

Salut papipoete , pour répondre à votre interrogation, je vais taire mon âge par pudeur mais je peux vous chuchoter secrètement que je suis né en l'an de grâce de l'élection de notre premier président socialiste de la cinquième république. Si vous êtes aussi fort que moi en maths vous pouvez en déduire mon avancée existentielle... vous voyez... je ne suis ni jeune ni vieux. Ou plutôt jeune pour les vieux et vieux pour les jeunes.
Un entre-deux. Mais je crois que j'ai toujours été un entre-deux. Après tout.
Merci pour votre passage.

Citation :

Pas grave, on en fé tousse des fotes de petite frappe!
Et puis, moi, je suis plus poivre que sel alors...

Pouet, je me demande même si mon existence physique est réelle ou simplement supposée.
Un bon fossoyeur de traces doit me suivre aux miennes propres et les évanouir salement.
Et ça vaut pour les autres aussi

Bravo encore pour le non-travail, c'est déjà assez de trimer pour un employeur.
S'il faut encore trimer gratos pour un site, on n'y rien.

Eh oui Myndie, mieux vaut éternuer ses mots et faire des fautes de poivre qu'être une petite frappe demi-sel...


Salut Cyrill, je ne saurais me prononcer clairement sur ton cas n'ayant point consulté l'arroisoir aphone des eaux qui raclent.
Toutefois, le fossoyeur de traces, lui, a une existence réellement supposée, je l'ai croisé pas plus tard hier, il fait chaque jour des allers-retours entre le bistrot et le cimetière et il se goure jamais de traces ce con-là, même à 2 grammes. Costaud, le gonze.

Je me disais aussi.
Ça me vaut rien ce retournement de veste au moindre indice du réel.
S'il a des accointances avec la maréchaussée et je me doute qu'il en a, le fausse ailleurs, je vais me retrouver au même endroit ni une ni deux, mais trois.

Et ça, ça craint...

Le problème c'est que le réel a mis une enseigne, tu sais de grincements et de rouille, et à force de se balancer, sous le vent impétueux des destins éclatants, eh ben elle s'est décrochée et gît là, au sol, comme un couvercle de boîte de sardines souterraines.
Et même la marée déchaussée n'y peut goutte.
Alors du coup parfois le fossoyeur de traces il glisse un peu dessus, sur l'enseigne tu vois, mais ça le dérange pas plus que ça. Je lui ai demandé pourquoi une fois, m'a répondu : "parce qu'après, parait qu'y a un trou en forme d'oiseau."
J'ai pas cherché à plus creuser.

Merci pour ce retour, Pouet
J'ai effectivement accoutumé de m'accrocher aux lambeaux de beauté. C'est une de mes aspirations, mon passe-temps, mon chakra.
Encore bravo pour ce don d'images ébouriffantes.