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Stasiements
Chevalier d'Oniris
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29/03/2021 22:01
De La Rochelle
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Oniriennes, Oniriens, ci-dessous mes remerciements pour vos commentaires sur mon poème Stase :


Tout d'abord, comme j'ai manqué de le faire sur mes deux précédents poèmes, je remercie le comité pour l'aval rendu à ce poème et sa publication. Merci beaucoup ! Je remercie également par la même occasion les correctrices et correcteurs, je ne l'avais pas fait non plus les premières fois mais je vous le dit : votre oeil averti est très précieux. Merci !


Geigei : bon, on passe de "n'aime pas" sur mon autre poème à "aime un peu" sur celui ci. J'ai fait des progrès ! Merci pour votre analyse qui a « tendu » mon esprit. Mine de rien j'en apprends quand même un peu sur mon texte grâce à vous, Surtout par ce "gothique" : c'est pas mal, ça correspond au texte je trouve et ce ne serait pas sorti de moi. Je note que vous dites que le visuel est travaillé, comme les sons, mais vous ne semblez pas non plus enchanté par mon poème que vous jugez comme "convenable", vous êtes pas facile à satisfaire ! Ce sera pour la prochaine fois ! Merci pour votre commentaire tout en tension Geigei et à très bientôt sur Oniris !


Jeanphi : merci pour ton commentaire imagé, réfléchi, et même ingénieux je dirais. "Écriture automatique" ? Ça pourrait. Je porte à ta connaissance que la première strophe est celle qui m'a demandé le plus de travail. Il me faudrait seulement quelques minutes pour expliquer mes idées, mais des heures pour aller au fond des tiennes ! Juste : ce poème traite en partie des fameux "poisons" que le poète absorbe pour s’épaissir, même si bien sûr tout n'est pas calculé, loin de là. Si tu veux, pour résumer, Stase est né de mon parcours poétique et sert à le relater en tendant une longue vue à mon lectorat. Pas assez de pistes ne sont laissées au lecteur selon toi, j’en prends note pour un essai futur dans la même veine. Un commentaire précieux dont toi seul a le secret. Merci Jeanphi !


Edgard : bonjour et merci pour votre commentaire. Vous évoquez deux grandes plumes, que tout poète, qu’il soit amateur ou publié, admire forcément. Ce sont deux sources d’inspiration pour moi, surtout Rimbaud en fait. Pour la « laideur sublimée » il y a de ça, j’essaye de faire du beau avec du pas beau de temps en temps, avec mes armes d’amateur, toujours. Je vous remercie chaudement d’être venu laisser un commentaire sous mon poème. À bientôt !


Vincent : merci pour ce commentaire particulier. Il sort du coeur, et venant d'un poète accompli il centuple d'interêt. Des phrases concises, aérées, qui vont droit au but, comme un bourgeon qui aurait éclot, hâtif, au mois de mars, dévoilant sa splendeur au plus vite pour inspirer le poète se questionnant. Vos encouragements à persévérer dans la voie poétique me vont au coeur directement. Merci Vincent à bientôt !


Papipoète : très abouti / aime beaucoup : pourquoi être aussi cruel ?
"Vos lignes / envoient à mon coeur un message / ou les oxymores abondent" : une telle analyse ne peut être l'oeuvre que d'un esprit belliqueux et baigné d'une effroyable méchanceté.
"La seconde strophe à ma préférence" : vous détestez la deuxième strophe ok, mais pourquoi m'afficher comme ça devant tout le monde ? C'est bas.
"L'auteur s'avance sans peur" vous me traitez de lâche, mais si on parlait de vous pour changer ? Quelle hypocrisie j'ai jamais vu ça.
"Tel une oeuvre / qui me subjugue / je me plante à perdre haleine face à votre poème" : quel esprit vicieux que le votre. Moi quand je n'aime pas quelque chose je passe mon chemin, je n'enfonce pas la personne. Ne m'adressez plus jamais la parole Papipoète.


Provencao : c'est le premier de vos commentaires sous l'un de mes poèmes, et j'en suis très touché. Une "identité" : oui, la mienne ! Comme expliqué plus haut je parle de moi dans ce texte. Votre idée selon laquelle la poésie fait vase communiquant avec la peinture est bien accueilli de ma part, mais comme vous me laissez le choix entre le pinceau et le couteau, je reste fidèle à moi-même et je prends la lame ! Merci infiniment pour votre commentaire Provencao et à la prochaine !


Fanny : sur ton poème "D'épines soudain" tu n'avais pas eu l'occasion d'aborder le sujet, mais il semble à voir ton commentaire que ton soudeur / serial killer est marié à une meurtrière tout aussi inspirée et respectable :
"Agiter le cerveau / un dimanche matin / mon gigot m'attend" : elle se lève à l'aurore le dimanche matin, très excitée intellectuellement par ce gigot qui l'attend, gigot étant le nom qu'elle donne à ses victimes, n'ayant pas beaucoup de considération pour les gens : tout comme son courageux mari, elle hait l'humanité. Toi aussi Fanny tu es comme ta narratrice ? C'est une preuve de grandeur d'âme.
"Bascule / en orbite / des carcasses" : son emploi en tant que technicienne de surface au centre aérospatial français lui permet de discrètement mettre les cadavres de ses victimes dans les fusées et de les envoyer en orbite. Quelle image. Incroyable cette capacité que tu as de trouver des emploi à tes personnages en adéquation avec leurs talents.
"L'envie / de poignarder les collègues" : c'est un peu dommage de piocher des idées dans tes précédant poèmes. Ça fait un peu redite. Mais bon si un astronaute à acheté le midi au nez et à la barbe de ta narratrice le dernier sandwich triangle Sodebo du distributeur automatique de nourriture je peux comprendre ta démarche.
" Diables / je vous garde une tranche de gigot" : tu donnes une indication sur son guide spirituel, qui n'est autre que le diable. C'est très interessant pour ton lecteur. Moi aussi, comme tout homme équilibré, je vénère satan.
"Aux confins de la boucherie" : quelle ambition elle a ta narratrice. Elle veut multiplier les victimes en les massacrant sans se soucier du qu'en dira t-on. "Confins", la formulation est à la fois très poétique et rappelle son métier au centre spatial, joli Fanny.
"Ma rue / pour mes petits anges" : pour finir, une jolie morale, elle veut assassiner tous les habitants de sa rue en l'honneur de ses enfant, ses "petits anges". J'aurais aimé que ma mère assassine mes voisins pour me prouver son amour, et ça m'aurait évité d'avoir à le faire moi même à l'âge de 13 ans.
Quelle poétesse majuscule fais-tu Fanny : toutes ces idées, sensées, raisonnables, entre acide et tournevis, et toujours cette morale à la fin à lire dans toutes les écoles. Un exemple à suivre pour la jeunesse. Merci.


Marite : merci d'avoir partagé votre ressenti. Vous n'avez pas compris le poème, et surement pas aimé du coup, mais vous êtes abstenue de mentionner dans les cases prévues à cet effet la perfectibilité ou votre désamour pour ce genre de poésie. C'est généreux de votre part mais vous auriez tout à fait pu sans pour autant m'en voir déçu. "Un monde très ancien" Mais, Marite, vous comprenez quelque chose aux surréalistes ? Moi j'y capte que dalle. Et ils sont apparus y'a quoi, 100 ans ? Certaines choses sont comprises par les uns et pas par les autres, mais je vais être honnête avec vous, je confesse volontiers l'imperméabilité au ressenti du lecteur voulue par mon travail sur ce poème. J'ai un style encore très lourd à digérer que je n'ai pas encore fini de developper, votre capacité d'analyse ou votre modernité ne sont absolument pas à remettre en cause. Marite, tous mes remerciements pour votre passage sous mon poème en commentaire et à bientôt sur ce merveilleux site j'espère !


Cyrill : plus encore que ton commentaire, considérant bien sûr l'énergie et le temps que tu as pris pour le faire, c'est ta franchise qui me touche. Tu fais allusion à Rimbaud, c'est mon poète préféré, je crois que je suis grillé ! Des "rimbauïtés" trop "appuyées" selon toi. Crois moi j'en prends note ça me frappe - surtout venant d'un poète qui connait ses maudits sur le bout des doigts - mais les rendre plus discrètes ça va être extrêmement difficile. Ce poème t'a donné "du fil à retordre" ( à moi aussi pour l'écrire ), et bien c'est comme ça que veux-tu, on se refait pas. Sur "Arômes de ciel" qui traitait d'un sujet plus léger tu n'avais pas été heurté, cette fois ci je rate le coche ! Une petite dose de positivité pour mon écriture tout de même avec "de beaux fragments, parfois" : Le poète est déçu, et, obsédé par la vérité qui est son guide, il n'hésite pas à vous le dire franco. Mais on n'est jamais à l'abris d'une gentillesse qui vous mettra du baume au coeur ! Tu sais quoi Cyrill ? Moi je mets un "aime beaucoup" à ton commentaire ! Un grand merci à toi à bientôt sur Oniris !


Stase a été plutôt bien accueilli dans l'ensemble j'en suis très content. Merci encore. Bonne journée à toutes et à tous.

Contribution du : 07/06/2023 05:36
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Re : Stasiements
Maître Onirien
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Merci pour votre retour Vadim. En réalité je suis restée à l'extérieur de votre poème sans même avoir l'envie d'essayer de le comprendre en m'aidant des commentaires déjà exprimés. Donc, comme je n'éprouvais que de l'indifférence c'était impossible de mettre une quelconque appréciation. Je vous remercie sincèrement d'avoir accepté mon ressenti sans aucune animosité. Comme les avis des autres lecteurs étaient plutôt très favorables je me suis sentie "hors du coup" et l'ai attribué à ma propre incompréhension, ce qui arrive d'ailleurs de plus en plus souvent ... une question me vient quand même à l'esprit à la lecture de votre réponse quand vous dites " je confesse volontiers l'imperméabilité au ressenti du lecteur voulue par mon travail sur ce poème " ... quel en est l'intérêt ? Bonne semaine à vous !

Contribution du : 07/06/2023 14:32
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J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini.
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Re : Stasiements
Maître Onirien
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Bonjour Vadim et merci pour les stasiements auxquels je suis sensible, surtout lorsqu'ils sont détaillés comme les tiens. Parce que ça demande un certain investissement.
J'ai beaucoup aimé Rimbaud le poète, moi aussi. Le trafiquant d'armes est également intéressant.
Avec des poèmes un peu hermétiques, comme le tien, on prend le risque de ne pas "parler" au lecteur. C'est un peu ce que j'ai ressenti ici. "Arômes du ciel" avait fait naître en moi des images sympathiques et frappantes et je l'ai ressenti comme un tout bien ficelé.
Celui-ci, non, plutôt des idées disparates. Je n'ai pas envisagé la référence aux stupéfiants, ceci explique cela.
La vérité, je ne sais pas où elle est. mais on peut se rapprocher de la sincérité ( ou la franchise, oui ) en commentant. C'est déjà pas mal.

Contribution du : 07/06/2023 15:54
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Maître et Talons
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Re : Stasiements
Chevalier d'Oniris
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29/08/2022 18:39
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C'est donc la quinzaine rouge sang sur le site, il faudrait peut-être que l'on se calme, sinon Oniris risque de se retrouver accusé à chaque meurtre ou à chaque anémié qui s'évanouit, et là pour le coup on aura de quoi se faire un sang d'encre qui devra couler pour nous disculper, je te laisse les plaidoiries, tu devrais arriver à monter un gros mytho qui fera mouche, et sinon, tu sais ce qui t'attend : couic.

Merci pour ces retours Vadim, bonne soirée et à plus.

Contribution du : 07/06/2023 21:34
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