Merci au CE pour son travail.
Et mercis aux commentateurs pour leur bienveillance et leur désir de faire progresser les poètes débutants.

Quidonc (très aboutie/aime beaucoup) Merci pour votre commentaire de texte. Il est complet et indulgent.

Cristale (aboutie/aime bien) Votre lecture me rassure. Mon propos est compréhensible. Merci de vous être arrêtée sur ce texte.

Lebarde (très aboutie/aime bien) "l’œuvre à coup sûr d’un maître en la matière". Houla ! Non ! Mais ça fait plaisir.
"longue maladie". Oui. Le cancer du sein. Je n'y ai pas pensé une seule seconde. "belle écriture poétique." Merci.

Mokhtar (très aboutie/aime beaucoup) Votre compréhension du ruban rose est la mienne. C'est une bonne nouvelle. " j’attends les explications avec intérêt". Euh. Mais vous ne posez aucune question. Que dire ?
"je suis dubitatif sur les « palais de nacre » soufflés par le chant de la sirène". Si le mensonge est chanté par une sirène, la nacre a toute sa place dans les matériaux de construction d'un palais. Non ? Et c'est un mirage que promettent les mensonges du beau merle, alors pourquoi ne pas y glisser un mariage de Venise avec la mer ?
Merci pour votre générosité et votre indulgence. Parole de débutant.

Edgard (très aboutie/aime beaucoup) Très sympa votre commentaire. Et bravo pour votre vigilance. Il y a, en effet, un mélange de grec et de latin. J'ai choisi quand même "sylvain" pour sa douceur. "satyre", dans mon imaginaire collectif à moi tout seul, est beaucoup plus violent. S'il avait sa place au moment du désordre initial, je ne voulais pas finir avec du violent. Du plaisir, de l'abandon, du lâcher-prise, mais sans la contrainte suggérée par le mot "satyre". Vous auriez pu ajouter que les "Satyres" n'apparaissent pas dans l’Iliade. Bon, la femme qui parle est une contemporaine. Elle peut bien se trimballer avec le même imaginaire que moi, passablement désordonné.
"faisons l'amour et la fête quand cela nous chante, sans nous laisser bercer par l'amour romantique qui n'est que source de désillusions et tromperie?" Ouiiii. Vous ne vous trompez pas. Content que mes vers parlent clair.

papipoete (sans appréciation) Sans avoir étudié les versions grecque et latine, on situe quand même à peu près Ulysse. On peut même apprécier "Heureux qui comme Ulysse". Merci de vous être arrêté à mon stand.

Provencao (aboutie/aime bien) Je n'ai pas tout compris de votre commentaire. Votre appréciation est… appréciable et… appréciée.

pieralun (perfectible/n'aime pas) Vous évoquez une altération de vos fonctions cognitives. Cela m'attriste mais je ne suis pas psychiatre. Vous me confiez ensuite vos problèmes d'audition. Là encore, je ne suis pas ORL. Mais vous pourriez vous faire appareiller. Ne lâchez rien. Prenez soin de vous. Bon courage.

Bise à tous

bonjour Geigi
Je suis revenu poser un autre regard sur vos alexandrins ; mais le déclic qui put m'embarquer sur une paisible gondole, ne se produisit pas et leur flot m'entraîna plutôt vers un impétueux tourbillon, que l'esquif de mon savoir ne put sauver d'un " ah mais oui, ça y est je comprend ! "
J'ai écrit que je voyais de beaux vers, non point n'aimais pas ; j'en suis désolé et promet que dans une autre vie, je ferai des études...
papipoète

Bonjour ,

Il est vrai que parfois je me lance dans mes explications qui ne sont pas toujours édulcorées et la compréhension peut paraître subtile.

Il est vrai que je recherche très souvent dans la poésie proposée, une proximité et une tension qui imposent une contrainte spécifique sur sa relation avec la philosophie ..

Je m'en excuse.

Au plaisir de vous lire
Cordialement

Citation :


Dans une autres vie, nous jouerons à la pétanque. Non ?
Je pointe mieux que je ne tire, mais dans une triplette, je peux faire un milieu honorable.

Bon, si vous étudiez, je ne vous dérangerai pas.



NB : Les boules de pétanque Obut suivent-elles dans la réincarnation ? M'y suis attaché, moua, à ces boules.

depuis plu de 30 ans, nous jouons en famille ( façon championnat, avec coupes etc... ) en souvenir du père de ma mie : le temps passe et bien des pointeurs ont rejoint le papa, et quelques tireurs font de la résistance !
pas fameux dans l'une et l'autre catégorie, mais le sort fit que bien des " chalenges " je remportai ( fini à l'halogène vers 23 h depuis 9 h du mat' )
aujourd'hui je pourrais encore participer... à condition de trouver un serviteur sympa qui ramassa mes boules, me tînt alors que je lance la boule magique, me ramène le cochonnet, me tende ma canne alors que ma personne s'apprête à marcher...
" ouais papi là-haut, je vais venir mais pas tout de suite... "

Bonjour Miguel. Votre expertise a bien accueilli ma proposition.
"Une mention spéciale pour le vers six, son invention et sa force."
C'est aussi mon chouchou.

Votre commentaire souffle en silence un air à 26 °C. Parfait !

Bonjour Myndie,

Votre éloge enthousiaste m'a déstabilisé.
"rien à envier aux grands poèmes romantiques" me fait sortir en marchant au milieu de la route avec le signe de la main d'Élizabeth II.
Je ne suis définitivement plus le même.
Jusqu'à ce qu'une voiture me renverse, ou une révolution.

Je réalise que ce fil ne dit pas que je remercie les commentateurs du poème : Le ruban rose

Citation :

Bonjour Geigei,

vous êtes lucide
Si vous êtes déstabilisé, mieux vaut ne pas rester au milieu de la route, c'est plus sûr et nous, et ça nous garantit un autre de vos poèmes

Quand à imiter Lilibeth, bah, tout aussi risqué, vous savez généralement quel sort on réserve à la royauté, nous les français, j'vous jure, on ne respecte rien!

Belle journée à vous

Tiens, en flanant sur le Sorgel, je tombe sur un exemple de vers particulièrement mélodieux.
Doux à l'oreille, donc. Du des du :)

"Du soleil, des citrons, du mimosa léger"

C'est de l'Éluard. Comprenne qui voudra...