Remerciements pour « appas »

Je me répète, radote mais la fameuse phrase « votre poésie………. a été présentée » provoque toujours en moi, la même réaction : et la lire jusqu’au bout peut faire pétiller les yeux, ou ébranler mon cœur. Cette dernière pour « appas » me remplît de joie. Je tâte du « vers libre » avec réussite  et continue sans déplaisir, sous cette forme ( je sais toujours faire, en octosyllabes ou autre dodéca, mais sans grand succès, je maintiens ce mètre pour ne pas en oublier les règles ) Grand merci ONIRIS pour cette publication !

Genèse

J’aime à traiter de ma plume tout sujet, mineur ou majeur, souvent tiré de ma vie passée et présente C’est un risque assumé, car évoquer des membres personnels n’est pas toujours bien perçu, car trop personnel…
Vous aurez compris que ces « appas » sont ceux de celle qui partage ma vie, depuis que banni d’amour par un voyou m’enlevant mon épouse en 1985, je traversai un erg de solitude durant quatre années.
1989 serait l’année de ma renaissance, mais 1995 verrait aussi l’invasion d’un terrible agresseur, à combattre pas à pas sans certitude de vaincre !
La rémission dure, dure et chaque année gagnée est cadeau ; ensembles nous avançons.

Remerciements personnels

Lebarde ( beaucoup ) certains passages ( malgré ce corps mutilé, l’amour est intact, et « ton beau visage me souriait... » ) à l’imparfait en préambule et au présent en conclusion, vous touchèrent particulièrement. Magnifique poème, pudique preuve d’amour, écrit avec sobriété, et façon fort touchante. J’apprécie vraiment votre enthousiasme ( vous le dompteur d’alexandrins ) dont le « ver libre » n’est pas votre tasse de thé ! Merci beaucoup
Eki ( bien ) sur un sujet intime, mais touchant tant de femmes ( les tuant encore ! ) sans pathos, mes mots simples surent vous émouvoir ; tantôt tendre, tantôt incisif mon récit qui dut renforcer notre amour ( oui, mais bien des ciels gris plannèrent dans notre consciense )  sut vous retenir attentive, émue. Merci
Edgard ( un peu ) en quelques mots ( pas assez ) j’ai narré cette aventure de vie, ce combat contre le cancer trop dénué de poésie, qui manque de « magie du désir ou de l’amour » Seule l’héroïne de cette bataille pourrait dire le vrai, le manque, son avis sur ce « désir du personnage masculin avant tout... » Je puis assurer que du premier jour de découverte jusqu’à la mise à mort du crabe, je ne songeais absolument pas à mon désir d’homme, mais à celui de survie d’Elle…
Vincent ( beaucoup ) de tous les textes que j’ai vu publiés, celui-ci est votre préféré ! j’y montre toute ma profondeur d’âme, avec une discrétion et douceur qui m’honorent ; vous fûtes touché par ces lignes. Et moi donc ? Depuis le temps que j’espérais de Vous, ce genre de congratulation ( facteur Cheval vous plût « Hauterive », chanté par PIZZICATO, mais… ) je suis ravi de vous avoir lu en ces termes sympathiques ! Merci beaucoup
Provençao ( beaucoup ) comment faire un cadeau, sans bourse délier mais simplement un bracelet de « mots s’allier » et séduire, faire plaisir. « La délicatesse et la sensibilité n’empiètent pas sur celle de l’aimée, mais l’une et l’autre se complètent et se décuplent mutuellement » Notre Maîtresse en Poésie libre me fait bel hommage, en goûtant avec plaisir ce trait d’amour pour ma mie ! Merci beaucoup
Corto ( un peu ) « ce poème mériterait d’être revu... » selon votre lecture qui commença pourtant joliment mais patatras… Ce texte est nouvelle version de « buste » refusé une première fois ; je n’abandonne pas comme cela ! Si je dus évoquer tout ce qui passa sur le visage, au creux du cœur, dans les larmes de ma chérie, il fallut un parchemin encré en maints rouleaux ! Et poétiser exige justement de compresser, voire même sabrer des lignes, des paragraphes entiers ! Mais, cher poète « un peu » n’est point « pas » je l’apprécie !
Robot ( beaucoup ) mes deux premiers vers purent laisser croire à coquinerie, passion sous draps froissés puis boum ! Douche glaciale que ce « centre de radiologie/// tombe le verdict » Et ce scalpel qui découpe la chair, non point « coup de scalpel dans le contrat » Pas un mot de trop, grandiloquent pour parler de « tendresse et compassion, dans ce texte plein d’humanité » Lire ce commentaire de notre poète d’élite, me remplit de fierté ! Merci beaucoup
poldutor ( beaucoup ) je commence à être connu depuis 2013, et l’on me voit « délicat dans ma façon de vivre » tel Vous poète du côté du Ventoux. Une femme mutilée ( d’un de ses principaux attraits de féminité ) n’en reste pas moins une femme, Ma femme ! j’écrivis une « merveilleuse preuve d’amour » que vous avez apprécié… Vous dont la « poésie libre » n’est comme pour l’ami Lebarde, pas votre courant d’écriture ! Merci beaucoup
Zeste ( beaucoup ) «  le crabe marche de travers, c’est connu, et pour nous qui pensons être à l’abri... » ce texte écrit au couteau, nous rattrape en sa dure réalité. Coup de poing dans la gueule, en vers libres que l’auteur assène à qui pourrait songer « j’ne risque rien moi ! Cela ne peut m’arriver… une mammographie ? Pour quoi faire ! Si j’vous dis que j’risque rien ! » dans une lecture des plus émouvantes, j’ai provoqué en Vous ce moment… merci beaucoup
Mokhtar ( beaucoup ) « le début de ce texte est celui d’un poème d’amour///la fin de cet texte est celle d’un poème d’amour. » cette simple ligne pourrait suffire à mon bonheur, comme si vous étiez un témoin de notre vie « si, c’est vrai, il l’aime et tous-deux s’aiment » - Toi lecteur, reste assis, je vais te dire… pas de friponnerie, ni jupons en folie, mais face aux ravages d’un cruel destin, deux regards qui se croisent, jamais ne dévient… de l’aube claire jusqu’à la fin du jour ; bouleversé et ému, votre lecture de même m’émeut ! Merci beaucoup
Quidonc ( aime bien ) ce poème qui commence avec une image d’amour et de tendresse, représenté par « le beau visage souriant de l’être aimé, et cette connexion qui règne entre eux qui s’aiment, échangent des baisers… sûrement plusss bientôt » mais cet odieux intrus, crabe affamé, entre en scène » Un combat fratricide va commencer ! J’ai su provoquer l’émoi et de façon télégraphique mes vers laissent place à l’imagination, à ce que fut ce round qui n’en finit pas. Mes images percutent et mes angoisses se répercutent. Et la première strophe, puis la finale aux temps inversés, créent un contraste frappant. Bref, vous avez aimé ; merci     

Et cela sera toujours ainsi Bel ami papipoete...

Oui papipoete

J’ai été d’autant plus concerné et ému par votre magnifique poème, même s’il est en vers libres, que j’ai ( nous avons) été confronté(s) à une situation très voisine.
Tout va bien plus de 10 ans après.
Merci.
Amicalement

Lebarde

bonjour solo
Merci de vous être transportés depuis la Réunion ( si je ne me trompe ? ) pour venir me lire sous cette forme d'écriture, dont je suis novice... mais confirme mon engagement !
Mes lignes vous ont émue, en particulier
" je dégringolais dans cette gorge, merveilleux précipice qui m'attirait... "
je dégringole toujours, mais par terre maintenant, et de plus en plus c'est ma mie qui me lance une échelle de corde ; je m'y accroche lui souris ; même pas mal !
je pourrais dire en me souvenant d'un poème de Vous :
- affetuoso -

Elle devint souffrante et lui, en pleine errance,
lui consacra son temps, en grimant son chagrin...

merci encore pour votre agréable moment
papipoète

Bonjour,
Vous avez cité deux vers de mon poème : cela m'a fait très plaisir !
Oui, je réside toujours à l'île de La Réunion.
Encore merci pour ce partage.
Amitiés.