En concours, tous les poèmes présentés, ou presque, sont publiés, un grand merci aux organisateurs pour le boulot que cela représente.

Alors pourquoi pas ce poème sans prétention qui a d’ailleurs reçu un bel accueil: 264 lectures, seulement 5 commentaires, mais très flatteurs voir même élogieux ( un chaleureux merci à vous: Donaldo, Cyrill, papipoete, Miguel et Vincente).
Il a même eu droit à une belle plume qui, un moment a disparu avant de revenir sous l’effet des grands vents sans doute.
A tous encore merci.
Lebarde

Merci Elena pour votre gentil commentaire et votre belle appréciation.
Nous avons eu beaucoup de soleil et de chaleur a en être saturés, peut-être aurons nous bientôt la pluie à le regretter…

Dame nature aura toujours le dernier mot mais saura toujours prendre soin du grand chêne éclairé par la lune…si si il faut lui faire confiance!
Merci
Cordialement
Lebarde

Pour une fois, faire mentir ce refrain très français après :
- vivement qu'y pleuve !
peu de temps après
- y'en a marre de c'te flotte !
Parier au PMU, et n'avoir guère de chance d'être élu...
Parier en météo, que le contraire lassera bien vite... ça gagne à tout coup !
Personnellement, voir la pluie tomber comme là devant ma fenêtre ( ne pas me faire rincer ), songer
- vas-y Ciel, arrose arrose !
à notre rivière Seille, courant à nouveau tout son sou
- hein qu't'es contente ?
Mes dernières transplantations, que je réalisai juste avant ce grain, lui disent
- merci ô pluie !
et puis, quand y pleut, on peut lire ; on peut hors inclusive écrire ; et croiser un regard aimé, lui sourire...
papipoète

C'est dans la nature humaine, Lebarde, de vouloir ceci quand on nous propose cela, et vice-versa, mais comme vous le relevez fort à propos, la Nature - celle avec la majuscule, reprend toujours ses droits.

Merci pour votre retour sur mon commentaire, gentil, certes, mais sincère.

Imaginons deux secondes si Dame Nature, bonne fille, demandait l’avis à chacun pour le temps du lendemain ou même dans l’heure qui suit.

Oh oui, j'imagine assez bien le chaos.
Et le déluge de commentaires outrés et sentencieux sur les réseaux sociaux :

- ''Oui, mais non, mais comment que ça peut être possible ?"
- "Mais que fait le gouvernement ? Vite une loi pour endiguer les cataclysmes''
- "Et voilà, c'est encore la faute à l'écriture inclusive !"
- "La faute au réchauffement climatique, j'te dis !''
- "Après faudra pas s'étonner que les guerres... "

Et patati et patata, etc. etc.