Bonjour à toutes et tous,
Merci pour la correction !

@Cherbiacuespe, content que vous ne soyez pas déçu du voyage. Les problèmes pouvant s’accumuler sur la tête d’un gosse, un peu différent du modèle standard, sont légion. Il arrive qu’il s’en sorte quand même par d’autres moyens.
Grand merci pour la lecture et l'appréciation.

@ Neojamin, faut toujours mettre un marche à l’entrée, la suite doit se mériter. ;=))
“mais soyons francs, vous-mêmes n'y comprenez rien au dessin industriel, non ?” … Ah, ah, ah… je dois avoir quand même quelques notions, vu que cela me permet de gagner confortablement ma vie depuis plus de trente ans. ;=)
Pour la fin toute lisse, je plaide coupable.
Joli coup d’avoir repéré " chef d’entreprise... discuter avec mon collègue"… Déformation commerciale, il est plus simple d’abolir toute hiérarchie par rapport au clients, vu que nous ne sommes que deux, là où nous sommes censés être tout un tas. ^^
Grand merci pour la lecture, le commentaire et l'appréciation.

@ Robot, malheureusement je confirme, l’EN continue de fonctionner comme ça. On envoie toujours les cancres rejoindre le “dur”. En même temps, difficile de faire autrement sans un ajout de moyens conséquent et surtout une volonté politique.
Celà existe encore aujourd'hui, le Mammouth n’est pas très maniable… ^^
Merci pour la lecture, le commentaire et l’appréciation .

@ Donaldo75. James Brown version 70s, c’est trop, j’en mérite pas tant ! ^^
J’ai vu passer des tas de stagiaires de troisième. Cela va de celui que les parents peuvent laisser en passant, même que c’est bien pratique, à celui qui vient en pétroulet parce qu’il avait lu un métier bizarre dans Jules Vernes qui ressemblait à ça. J’ai pas du en saouler beaucoup, vu qu’ils rentrent direct à la maison en cas d’erreur de casting. Erreur dans les deux sens, évidemment.

La vache, toi aussi t’as un tonton Roger ?! ;=))

“Je m’attendais à du plus sérieux vue la catégorie « Réalisme / Historique » proposée” … tss, tss, faut fréquenter d’autres sites, ce genre d’idées te passera vite fait. ^^

“des facilités de langage qui font office de style”... pan ! j’l’ai pris dans l’croupion, celui-ci. ;=)

« moi aussi j’ai galéré, j’ai été cantonné aux sections mal vues »… oups ! Là je me suis mal exprimé, car perso, c’est tout le contraire, j’ai jamais galéré.

“ La fin, le curriculum de Mathieu, est expédié et lâchée à l’arrachée pour terminer cette nouvelle.” … bien vu. La première mouture racontait l’histoire de Mathieu, d’abord saoulé par un stage de troisième ennuyant et entraîné à l’insu de son plein gré dans une carrière technique pire encore. De retour dans la boutique, il se saisit d’un compas dans la gouttière d’une table de dessin et commence à massacrer tout le personnel de Tartempion, secrétaire compris. Il poursuit la patron jusque dans les toilettes (comme dirait Poutine) où il transforme le compas en suppositoire à écartement. Le tout était écrit avec un style à rendre jaloux Hugo (Hugo, c’est le neveu de ma concierge). Puis je me suis rappelé qu’une de mes anciennes nouvelles avait été refusée car elle risquait de choquer les lecteurs adolescents d’Oniris (dixit le CE). Un adolesecnt pour Oniris est, je le précise, une personne ayant moins de 50 ans vu qu’il est difficile d’en trouver de plus jeunes. J’ai donc refondu ma fin en une histoire très consensuelle, ce qui ne t’as pas échappé. L'avantage, c’est que du coup nous pouvons en discuter. ^^

En te remerciant pour la lecture, même si elle a dû être lubrifiée au JB ;=))) et pour ton chaleureux commentaire !

@ Cox : si, si, vous connaissez mes écrits, du moins, autant que je connais vos commentaires.

Je me suis parfaitement reconnu dans votre description “ ce gars dans un bar que je ne connais pas et qui me raconte, gourmette à la main et chemise mi-ouverte, la dernière au bureau en me tapant sur l'épaule du début à la fin.” C’est tout moi, ça, taper sur l’épaule du seul gars qui confond le bar du Commerce avec le café de Flore. Alors que vous devez être reconnaissable à cent mètres, un critique, un vrai, un de ceux qui ont fait leur preuves, cela ne doit pas passer inaperçu… Quel crétin je fais…

Du coup, cela semble normal que mon histoire ne “colle pas tellement à votre vision du monde”. Un monde où un gars est obligé de laver le cambouis de ses doigts avant d’aller pianoter sur un ordinateur. Aussi bien qu'il fasse, il va toujours garder des traces noires sous ses ongles.

Votre avis est très subjectif, je vous l’accorde… et cela pour la deuxième fois.

Je vous accorde aussi que vous êtes tout à fait libre de penser et dire ce que bon vous semble sur mes textes. Du moment, bien entendu, que vous signez vos commentaires, détail auquel je suis très sensible.
De mon côté, je suis tout aussi libre de tenir compte de votre avis ou de m’en tamponner le … (Là , je le reconnais, ce jeu de mot facile est du pur Café du Commerce)

En vous remerciant d’avoir pris le temps de lire et de commenter mon texte.

@ Salut à toi Hersen !

Hébé, tu sais que je pourrai lire une moquerie dans l’expression “merveilleux monde du travail” ? Heureusement que je te connais un peu. ^^

Vu que le cas décrit est unique, c’est caricatural, je l’admets. Que le contraire du cas décrit soit tout aussi vrai, rien à redire. Des tas d’exemples me viennent en tête, au hasard, Camus.
“Il faut reconnaître une grande force à ce stage de fin de troisième.” … et voilà, tu te moques encore. ^^ Au fait, c’est juste quatre jours de stage. Largement suffisant. ;=)

On a tous droit à des “déclics”, le fait que cela change notre vie ou reste un bruit insignifiant ne dépend que de nous. Je te rejoins totalement, “c'est le gamin qui a tout fait tout seul”.

Un grand merci à toi pour avoir lu mon texte et être venu en parler. ^^

@ Coucou Annick !

Sans être extraordinaire, je te promets que ce stagiaire là était quand même très spécial. ;=))
Merci pour “une émotion à peine palpable”, j’ai essayé de ne pas trop en faire, mais l’équilibre est toujours délicat. J’avais pas pensé au “cours particulier” mais c’est l’idée. Avec un élève doué, cela se fait avec grand plaisir, une sorte de jeu de société. Je ne voulais pas critiquer le système éducatif. Il est composé de cas particuliers, avec tout l’éventail possible. L’idée du texte était de décrire ce que peut faire un “déclic”. Mais comme rappelé avec Hersen, c’est les qualités du gamin qui ont fait la différence sur le long terme.
Un grand merci pour ta lecture, ton commentaire et ton rire. ^^

@ Jeanphi : Merci d’avoir apprécié la forme plutôt légère. La “pluralité des intelligences” est une excellente notion. L’intelligence spatiale n’est jamais mise en valeur dans l'enseignement, ni d’ailleurs dans la vie en générale. ^^
Pourtant, pour un chaudronnier (métier encore plus méprisé que les Meuh-Meuh) doit se coltiner la matière tous les jours. Pour apprécier l’exercice, il suffit de faire un tronc de cône avec une feuille de papier et quand il est coupé, // haut-bas, de déplier le tout. Ensuite s’imaginer faire ce boulot à l’envers. ;=)

Je ne connais pas l’origine du “Jeu du chat” mais je serais bien étonné que les développeurs aient fouillé la Renaissance pour s’en inspirer.
Merci beaucoup pour votre lecture et votre commentaire.

@ Bonjour Pouet !

L’expression "en lui bourrant l'épaule" est un raccourci de “lui bourrer l’épaule de coups”. Cela en diminue aussi l’impact. ^^ Mais je ne te garantis pas qu’elle soit académique. ;=)
Oui, l'histoire du maçon qui reste collé au mur et du carreleur... est plus que ressassée, mais il fallait bien ça pour choquer mon interlocutrice. Heu… d’ailleurs, raté. ^^
Les coups ne sont pas vraiment pour l’EN mais sur une personne en particulier. Je me garderai bien de généraliser.

Grand merci pour la lecture, le commentaire d’un texte sans grande prétention. Merci surtout d’en avoir apprécié le style décontracté. ;=)

Hi Pepito !

Ok, j'avais compris le principe, j'ai un peu titillé et puis on devrait toujours avoir une épaule à bourrer, c'est vrai.
Pour ce qui est des généralités, oui faut bien préciser, les institutions, les personnes, les pieds de cochon panés et la fameuse fragilité de la queue de la vache...
Enfin bref, merci pour le retour et à une prochaine.

Salut pepito.
Bon, ça y est, tu as fini tes remerciements , ça t'a pris des jours et des jours !
Non, je me moque, tu fais ce que tu veux.
la moquerie, quand on fréquente pepito, on est à bonne école, alors après ça démange. (ça fait genre stage de fin de troisième)
Je pense quand même que tu aurais pu faire moins consensuel. je ne doute pas que Mathieu existe, mais le placer tel quel dans une nouvelle... ça aurait pu déménager plus.
Quand tu dis que tu parles seulement d'une seule personne de l'EN, on constate que beaucoup de coms parlent de tabassage en masse sur les profs. Peut-être que tu aurais pu travailler ce point pour le rendre un peu différent, donner une impression plus mitigée (je dis ça après avoir lu sur ton fil que tu ne tapes pas du tout sur les profs)

je sais, on est un peu pénibles sur oniris, on n'a pas l'amour facile envers les textes. On chipote sur tout. Mais faut bien qu'on se démarque, non ?

Allez, à plus !

Bonjour Pépito!

J'attendais que vous ayez fini la tournée générale pour vous présenter mes excuses si mon commentaire vous a froissé. Je veux en particulier revenir sur le passage que vous citez entre des guillemets précautionneux; juste pour clarifier que la gourmette et la poitrine au vent n'étaient évidemment pas un portrait fantasmé de l'auteur!
C'était sans doute maladroit et je comprends que vous ayez pu mal le prendre, mais c'était juste une image qui cherchait à illustrer mon ressenti à la lecture, et à expliquer en quoi le ton a pu alourdir ma lecture. C'est toujours un exercice difficile de mettre en chair une impression abstraite, et je tentais simplement une comparaison avec une situation (évidemment hyperbolique) dont on peut ressentir la lourdeur plus concrètement. Je crois que je me le suis permis parce que votre ton ironique me laissait penser que vous ne prendriez pas ce genre de remarques trop au sérieux, mais je reconnais que pouvait être mal interprété venant d'une coccinelle inconnue.

Voilà, je tenais juste pour à ce qu'on soit d'accord sur ce point, puisque les autres ont peu d'importance; la formulation pouvait ressembler à une attaque personnelle (ou tout au moins à une supposition déplacée) et je m'en excuse sincèrement, ce n'était pas du tout l'intention.

D'autre part, je ne suis pas du tout un critique établi, donc vous pouvez sans problème ignorer mes avis s'ils vous paraissent sans substance! Tous les coms ne se valent pas et je veille à conserver la bonne habitude de me tromper souvent; gardez donc la votre de ne pas trop m'écouter! 😊

Bzz 🐞

Bonjour,

Par 'pluralité des intelligences' je ne fais que reprendre une notion largement introduite au niveau des Fédérations, des Régions, des États...
Que de commentaires et que d'approbations avez-vous reçu pour votre nouvelle. Vos retours en sont à la juste mesure.
L'intelligence spatiale... que serions nous sans courtiers, charpentiers, tourneurs, ... Ils sont le plus souvent dans l'ombre, tel le facteur d'instruments aux musiciens...
Le jeu de chat existe donc réellement !.. J'espère qu'il n'en est pas autant de l'orgue à chats !..

...merci pour votre retour.

Bonjour et merci pour le retour Pépito. C'est un texte bon pour la réflexion sur les multiples problèmes très palpables de l'éducation ("populaire, monsieur, ils n'en ont pas voulu") nationale. Et je crois que ce n'est pas gagné...

Rendez-vous au prochain chapitre.

Bonne bourre Pouet ! référence issue en droite ligne de Crocodile Dundee (film que Godard voulait absolument tourner, mais qu’il a été obligé d’abandonner, trop pris par la rédaction des dialogues d’un film avec BB.) A la place de “Bonne bourre Mike !” nous avons dû nous contenter de “Et mes g’noux, tu les aimes mes g’noux ?” La vie est dure…

Merci encore pour ta lecture ! ^^


Hello Hersen, tu as raison, je suis un peu lent. La dolce vita m’occupe à temps plein en cette quinzaine et rajoutée aux problèmes de connexion… ben voilà. ^^

Tu as encore raison, le texte initial était prévu en moins consensuel, mais tu sais ce que c’est, pour passer sur Oniris, il faut s’adapter.
Le temps où un texte pouvait parler “de la lumière clignotante d’un sex-toy en position dans le noir d’une cage d’escalier” ou “d’une hémorroïde façon voile tourmentin” est révolu. Nous avons maintenant des enfants qui lisent les textes oniriens.

Sinon, côté EN, je ne mélange sincèrement pas tout. Il se trouve que le cas que j’ai décrit est bien réel, cela ne veut pas dire qu’il est représentatif. Si certains veulent le croire, ma foi, ce n’est pas mon propos.

Ce n’est pas le chipotage, éventuel gage de qualité, qui démarque Oniris de la concurrence. C’est le rapport textes en attente/nombre de commentaires par texte. Là, aucun site n’arrive à la cheville d’Oniris et ça, ça fait vraiment la différence.

En te remerciant encore pour l'intérêt que tu portes à mes textes. ^^


Bonjour Cox, j’ai trop souvent la dent dure sur les textes des autres pour me permettre de jouer les chochottes sur le commentaire serré d’un de mes textes. Pour autant, je m’en prends, il me semble, au texte lui-même et pas au “portrait fantasmé de l'auteur” comme vous le dites si bien. Il se peut aussi que, comme vous n’avez pas mentionné les abandons poils de ma poitrine dépassant de ma chemise mi-ouverte, j’ai été vexé, sentant ma virilité mise en doute…
Mais n’en parlons plus, je préfère largement un commentaire peu flatteur à pas de commentaire du tout. Au moins a-t-on l’impression d’avoir été lu. ^^

En vous remerciant pour votre retour.

Bonjour Jeanphi, “ma” pluralité des intelligences est un peu différente de celle décrite par les textes politiques (et, il faut le dire, un poil abscons). Je travaille tous les jours avec des “gens de l’art” et le rapport aux facteurs d’instruments est aussi bien vu. Sans ces artisans, point de spatial, par exemple. Alors que les ingés occupent toujours le devant de la scène… après les politiques, il est vrai. ^^
Pour le nombre de retours et commentaires, le tout est de savoir si cela dépend du contenu du texte ou de la stratégie marketing. ;=)

En vous remerciant encore pour l'intérêt porté à mon texte.

Bonjour, Cherbiacuespe, bah l’éducation populaire fait au mieux, je pense. Juste que ses missions sont toujours plus nombreuses. Après la discipline, sans froisser les élèves, elle doit s’occuper des problèmes de (non)représentation de cultes (pour une institution laïque, c’est curieusement très problématique) et maintenant palier aux défauts des parents.
Effectivement, c’est pas gagné. ;=))

En vous remerciant pour votre retour.