Bonjour à tous,

Bien que mon poème « on m’a vendu une image » a été, disons, plutôt un flop , je viens remercier tous les lecteurs et les commentateurs qui se sont penchés (même si c’était en vain ! ) sur ma proposition de concours.
Le poème n’est pas assez explicite ? Peut-être. Mais je pense pourtant avoir réussi à parler de la société de consommation, de tout ce qu’on va chercher si loin, le brillant pour la pacotille à trois sous cinquante et les vautours qui nous tournent autour, sans scrupule, pour nous faire acheter toutes ces cochonneries dont nous n’avons pas besoin.
Tous ces porte-containers qui sillonnent les mers et nous apportent ces « merveilles » traversent les frontières sous des guirlandes de gros sous, tandis que d’autres sont prisonniers dans une vie inhumaine pour produire cesdites merveilles.
Voilà. J’explique parce que je comprends qu’il est frustrant de ne pas comprendre un poème. Mais pour autant, et c’est cela la poésie, « comprendre » est rationnel, « entendre » est poétique.
Je reprends ici la signature de Pouet :
La compréhension n'est pas nécessaire à la poésie, mais la poésie est nécessaire à la compréhension.
(et vous avez tout à fait le droit de vous insurger !)

Un très gros merci à tous d’avoir fait vivre ce concours, nous avons lu de bien beaux poèmes !

Et merci plus particulièrement aux commentateurs :
BSL (je t’offre une mention, tu veux bien?), Lebarde, Papipoète, Robot, provençao, Don.