Merci au CE pour l’ajout de ma prose au catalogue, à l'anonyme auteur.e qui m'a permis d'enrichir mon vocabulaire typographique, à Marimay pour les dernières retouches qui lui ont presque fait perdre la tête :)). Seul repentir : dans le 4è paragraphe, il faudrait supprimer "inconnus" qui embarrasse inutilement les paysages...

Merci aux 103 lecteurs / lectrices selon le compteur à ce moment où j'écris. Merci infiniment à Polza, Aldo et Jeanphi de s'être plus longuement arrêtés sur ses bords. Remerciement spécial à vous, Polza, non pour ce texte mais pour l'intense travail que vous effectuez en EL... Et remerciement par avance à celles et ceux qui d'aventure viendraient encore à commenter ce texte !

Je ne saurais en dire plus que ce que vous avez déjà dit. C'est le passage d'une route sans issue à un chemin qu'on cherche. Je crois que c'est aussi un peu la définition d'une crise selon Gramsci : un vieux monde se meurt, un autre tarde à apparaître et dans ce clair-obscur pourraient surgir des monstres... Je pourrais dire enfin que la source d'inspiration en est peut être plus banalement le bruit des pelleteuse qui défoncent en ce moment ma rue, qui s'est mêlé au souvenir des mystère du Samedi Saint. Mais en voulant rendre plus clair, on ne fait souvent qu'obscurcir.

Bon weekend, pour l'instant ensoleillé ici...

Merci pour le retour

Métaphysique aux pelleteuses....

Je conviens que cela manque de nuance ! :))

Merci pour vos remerciements EtienneNorvins, il est toujours agréable de voir son « travail » reconnu.


Citation :

Comme diraient Dupond et Dupont, je dirais même plus qu’il n’est pas toujours nécessaire d’expliquer la genèse d’un récit, aussi abscons puisse-t-il être parfois. Si cela peut amener le lecteur a considérer autrement ce récit, cela peut dans le même temps lui enlever une considérable quantité de possibilités d’imagination., c’est à double tranchant en définitive…

Et puisqu’on parle de chemin, je me souviens que le plus court chemin pour aller d’un point à un autre ce n’est pas la ligne droite, c’est celui qu’on connaît !

Merci pour le retour. Bien que je rejoigne l'avis de Polza, jétais curieux de connaître un peu la genèse pour ce poème. Mon commentaire oscillait et me voilà fixé :)

Bon courage avec la voirie !..

Citation :

C'est naturel : pour l'avoir pratiqué avec plus de régularité, le travail de fond en EL est assez ingrat...

Merci Jeanphi - il n'y a plus qu'à attendre que les platanes repoussent...

Et merci à Provencao pour votre retour et sa jolie formule d'hissage dialectique :)

Bonjour et merci pour votre retour .
Heureuse que mon commentaire vous fasse écho .

Cordialement
Véronik

Comment vous remercier, Louis ? C'est proprement ... vertigineux !

Sans chercher nullement à 'corriger' votre commentaire, je préciserais simplement que 'chemin' s'opposait pour moi à 'route' - la route est perdue, le chemin est à trouver, c'est ce qu'il faut garder 'en-tête' ; avec cette nuance d'improvisation et de collectif : un chemin se dessine sous les pas des promeneurs...

Quant au mot 'fafiot', c'est bien sa sonorité et son sens originel de 'billets de banque' qui me l'a fait choisir... En continuité du no man's land est venu le souvenir de l'hyperinflation de 1923 - puis du krach de 1929 - engendrant d'autres guerres engendrant d'autres krachs... Comme si l'histoire faisait du sur-place en tournant sur elle-même.

Mais vous mettez à jour le jeu de 'main' qui m'a complètement échappé, mais qui va tellement 'dans le bon sens' qu'il m'enchante !

Quant à se retrouver dans la compagnie de Rousseau, de Condillac ou de Rougemont !... C'est totalement inattendu mais m'ouvre des perspectives ... où cheminer ?

Raison supplémentaire de vous dire encore merci !