Salut Oniris et merci au CE pour la sélection de La Nouvelle-Orléans, merci aussi aux correctrices pour les petits ajouts, dont l’image.

Merci également aux lecteurs et particulièrement à ceux qui ont réagit au poème par leurs ressentis, très variés et instructifs : BlaseSaintLuc, Myndie, Robot, papipoete, Dian, Catelena, Vincente, Provencao, Ornicar, MarieL, et Donaldo.

J’ai réalisé d'après photo le dessin central il y a des années – des dizaines, même... pfff... – qui représente un jazzman mais je ne sais plus lequel. Toujours est-il qu’il m’évoque le jazz de la Nouvelle-Orléans. Ce pourquoi le titre, que j’ai ajouté au dernier moment et sans trop réfléchir.

Me suis-je écarté du berceau du jazz ? Le sentiment de certains d’entre vous d’être plutôt dans le Free semble me le confirmer. De même que la présence du hautbois, un peu comme dans un jeu de « cherchez l’erreur », confirme cet effet d’évasion. Je l’ai introduit car il évoque pour moi, mieux qu’un autre instrument et au moins autant que le violoncelle, la voix humaine. À cause du son boisé.

J’ai laissé parler des impressions et des images qui me venaient, en liant les mots et leur sens comme on lie des notes de musique, et vous avez été nombreux à apprécier et comprendre la quasi absence de ponctuation. Je n’ai pas cherché l’originalité pour elle-même. J’ai cherché à être au plus près de la structure musicale du jazz, et je dis ça sans être musicien, à peine un ancien pianoteur !

Je vous remercie infiniment pour toutes vos remarques, positives ou négatives, et suis désolé de faire cela si tard, j’ai manqué de temps. Je manque aussi de temps pour répondre en particulier à chacun comme j’aime le faire, mais sachez que vos commentaires et témoignages très inspirés m’ont tous confirmé que le jazz est absolument inspirant et frère de la poésie. Hallelujah !

Au plaisir d’autres lectures et rencontres ♪♫

salut Cyrill!

Pas de souci, retour collectif ou réponse individuelle, l'un ou l'autre fait autant plaisir aux commentateurs que nous sommes.
Alors merci à toi d'y être revenu.
Et peut-être à bienôt pour un autre mariage poético-musical - le tango peut-être? Ah non, déjà fait
La lambada?

Aïe

Je risque, Myndie, d'être largement moins prolixe en lambada. Je ne connais pour ainsi dire pas sinon le tube qu'on a entendu dans les nonantines et je crains de la faire encore dévier en free-quelque chose et de lui adjoindre du biniou néandertalien.

Autant essayer une transe chamanique sur un bagad brésilien

Si tu te sens, n'hésite pas

Merci de ne pas me sanctionner pour mes remerciements tardifs autant que succincts !

Citation :

Je suis complètement d'accord, Myndie. Un retour, même tardif, qu'il soit collectif, individuel ou par simple MP, fait toujours plaisir à recevoir. Cela prouve la considération que l'auteur porte à ceux qui se sont investis dans son texte.

Tu es un vrai gentleman, Cyrill ! Merci.

Continue encore longtemps à te laisser toucher par la musique. En free ou en jazz, et même en lambada, tiens, c'est sans importance, du moment qu'elle portera le son boisé de la voix humaine. ^^


Cat

@ Cat :
Gentleman ! Ouh là ! Je me découvre soudain investi d'un chapeau à faire des arabesques.

J'écoutais beaucoup une émission radio consacrée au jazz il fut un temps, mais je suis aussi très attiré par la musique classique, période baroque en particulier. Bach est mon dieu et Glenn Gould son prophète attitré ! Hélas mes doigts ont lâché le piano depuis longtemps, mais j'aime toujours lire des partitions, elles me parlent comme un poème ! C'est dire combien je cautionne la fraternité poésie-musique, et je rajouterai dans la fratrie : les langues, en tant que c'est un plaisir de les déchiffrer.

Bach, Glenn Gould, les langues...
Quand je te dis qu'on est de la même famille, hein !
Et en plus, toi, tu lis les partitions. Waouh !

J' ai peut être était un peu dur sur le texte, mais si je dis...
JEAN CHRISTOPHE AVERTY cela parlera à certains,( extrait)

https://www.facebook.com/Ina.fr/videos/989944728662152/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v

Ah ah, je préfère largement le J.C. Averty en réalisateur télé, qui ne s'en est pas tenu au jazz pour ses images, que cet intégriste du jazz que je ne connaissais pas