Un grand merci au CE (et en particulier à marimay qui a permis la correction d’un possible hiatus signalé en EL par Ornicar) pour avoir accepté la parution de ce sonnet « d’inspiration modeste » et assez classique (…difficile de sortir des sujets : amour toujours, temps qui passe…), à qui vous avez accordé un bel accueil.

Merci aux lecteurs de passage mais surtout, merci à Gil, Ornicar, Cristale, papipoète, Boutet, Damy, Célia, François, Ramana, Provencao pour la pertinence de vos commentaires et vos belles et souvent très belles appréciations qui me vont droit au cœur.

Certains ont été surpris par le premier vers, alors je voudrais simplement préciser que dans mon esprit, l’image du « mascaret », outre le coté poétique (enfin je trouve …) du mot, est là pour donner une échelle cyclique au temps comme pourraient le faire, le jour, l’année … ou les marées... mais aussi pour évoquer l’imprévisibilité et les aléas des évènements au cours d’une vie.


On m’a tellement reproché le caractère prosaïque de mes poèmes, que je reçois comme un réel compliment, les remarques et critiques relevées ici ou là dans vos commentaires sur l’invraisemblance des métaphores et oxymores que je croyais pourtant simplement « couler de source ».

Merci Gil de l’avoir signalé et à vous tous d’avoir pris de votre temps pour exposer votre ressenti en fonction de vos sensibilités.
Vous me voyez touché.