Je voulais vous remercier pour l'accueil réservé à mon dernier texte sur Oniris (thanx spécial à Isfranco :-). La comparaison avec Stephen King est flatteuse !

J'avoue que la critique abrupte de Emrys m'a un peu agacé (j'attends des détails sur ses remarques). Certes, je ne suis pas agrégé de grammaire, mais de là à dire que la rédaction de ce texte est "faible"... Cependant, il y a du positif : je vais profiter de ce qui a été dit pour me motiver pour revoir un peu "les premiers compartiments de ma boite à outils d'auteur".

Sinon, pour le contenu de l'histoire : Je voulais mettre en perspective la réalité des mondes "immaginaires" pour celui qui les vit, et la dureté du monde "réel".

Juste un petit mot sur le contexte :

Cette nouvelle a été l'occasion de ma participation à un concours dans ma ville (nouvelles de moins de 10.000 signes) - qui ne se passait pas par Internet. J'ai trouvé ce "travail" très très formateur : arriver à mettre le maximum de détails et de péripéties dans si peu de caractères oblige à faire des choix et revoir en permanence toutes ses tournures : comme pour un athlète, il faut éliminer du superflu et "muscler" au maximum le propos... ce qui fait beaucoup évoluer et apprendre !

Je pense que ce serait intéressant qu'il y ait un concours de nouvelles courtes sur Oniris, finalement !

Bonjour Filipo,

Merci pour ces précisions sur ta nouvelle, qui me permet de mieux la comprendre.

Effectivement, écrire une nouvelle en moins de 10 000 signes, cela doit demander du travail quand on veut écrire plus long... En tout cas le résultat obtenu m'a plu !