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Sur "Industrialisation au goutte-à-goutte"
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D'abord merci à tous pour vos nombreux commentaires, très constructifs pour la plupart. Ce texte a eu plus de succès que je ne le pensais, et j'ai été très surpris quand je lui ai vu une plume…

Pour vous répondre, en vrac :
- Sur la sonorité du premier vers, c'était un effet fait exprès pour provoquer uen sorte de malaise, de crissement.
- Sur la "suie sale et noire", ben c'était pour bien appuyer sur ça, pour renforcer ensuite le contraste ; c'est vrai que ça frise le pléonasme.
- Sur la première strophe, ton interprétation est la bonne, David, mes images de champs et de forêt sont là pour parler de l'abandon des campagnes (et pas de la déforestation…).
- Sur la deuxième strophe par contre, il ne s'agit pas de parler de la guerre, mais des terribles conditions de vie et de travail des salariés de cette époque, qui faisaient que beaucoup mourraient très jeunes.
- Sur "Qui se prétendaient hommes", je n'avais pas pensé à la prétention du tout, c'est vrai que ça pourrait avoir un côté malsain ; c'était pour dire que leur travail leur avait enlevé leur condition humaine.
- Sur la négation de la beauté, il ne s'agit en effet pas de quelque chose de volontaire que je voulais faire exprimer à ces travailleurs, mais plutôt qu'ils baignaient tellement dans la m**** que la beauté était le cadet de leurs soucis.

Voilà,
N'hésitez pas si vous avez des questions ou si vous voulez réagir,
Ululo.

Contribution du : 25/10/2008 11:11
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