Merci à tous ceux qui ont laissé des commentaires pour ce texte.

Pour répondre à Alexandre: J'ai utilisé "sang-mêlé" pour le titre car ce mot me plaisait mieux que "métis".

Pour Ephemere: C'est le mal-être ressenti par certains enfants issus de deux races différentes et privés dès le bas-âge de la présence de leur parent africain qui m'a amenée à écrire ce texte en 1987.

Pour Notrac: je comprends que la souffrance est apatride mais la réalité est souvent que dans la vie, à certains endroits de la terre, il n'y a pas possibilité de compromis et qu'un choix est obligatoire pour ne pas dire vital.

Pour Pierre: je n'ai pas été blessée par l'appréciation "faible" de mon premier texte. Pour moi le fond avait plus d'importance que la forme et même aujourd'hui je ne comprends toujours pas pourquoi vous y avez tous trouvé de la haine.

Pour Sallymara. Je ne pense pas être poête dans l'âme mais cela me fait plaisir que vous ayiez trouvé ce texte facile à lire. Je souhaitais avant tout communiquer.

J'espère aussi ne pas avoir abusé en longueur, je n'ai pas trop l'habitude des forums.

Tout est clair Marite ! Demain sera publié une Nouvelle qui s'appelle "L'eau de vie". Je vous le dédie. Amicalement. Alexandre

Marite.
Il faut comprendre que depuis le 11 septembre et les attentats qui ont suivi, ce à quoi il faut ajouter l'affaire des caricatures de Mahomet, le regard des occidentaux les mieux disposés a beaucoup changé.

La référence au "maître du monde" et ce qu'on a pu prendre pour des menaces ont très mal passé.

Le fait que ta poésie date de 1987, ton nouveau texte, le commentaire que tu as fait de l'excellente nouvelle d'Alexandre, dissipent le malentendu.

Justement. Tu a vécu une expérience hors du commun. Ce serait bien si tu nous racontais ça. (Comme je l'ai fait dans "lettres d'Algérie")

C'est vrai, je réalise que je suis un peu "en dehors" de tout ce climat qui a été vécu là-bas. Ici de multiples ethnies et religions cohabitent en paix depuis de très nombreuses années. Aussi je n'ai pas perçu ces évènements avec la même sensibilité que vous.
Pour ce qui est de raconter, j'ai gribouillé pas mal de choses, en vrac, depuis une dizaine d'années, épisodiquement au gré de mes envies. Je ne dispose pas encore d'assez de temps (cause: travail) pour mettre en ordre tout cela et surtout c'est difficile de savoir par quoi commencer. Mais j'en ai de plus en plus envie et ça viendra je pense, si Dieu me prête vie...