Pour les Oniriens qui peut-être n’ont pas compris mon premier commentaire sur cette nouvelle, voici trois livres qui peuvent aider à aborder à l’un des rivages de cet univers africain , à condition d’être disposé à ouvrir son esprit et son cœur et à laisser de côté certains repères et principes :
1- « Ségou » de Maryse Condé. Saga chez les Bambaras.
2- « Les yeux de ma chèvre » d’Eric de Rosny. Initiation d’un professeur jésuite européen à la culture douala au Cameroun.
3- « Le paradis tabou » de Valère Epee. Culture et tradition douala au Cameroun.
Il y en a bien d’autres dont « La mémoire amputée » de Werewere Liking, femme ivoirienne d’origine camerounaise. Peut-être plus difficile à appréhender par un européen.
Les rivages de ce continent sont multiples et si différents qu’il est bien imprudent de faire des raccourcis en ce qui concerne cultures et traditions.
Merci à Oniris d'élargir ses horizons.
Marité

Je n'ai pas encore tout saisi et n'aurais pas le temps aujourd'hui mais il me semble que les commentaires sur cette nouvelle se soient changés en un espace de discussion.

Merci de ne mettre qu'un seul commentaire par nouvelle/poésie, de ne pas y commenter les autres commentaires ou l'auteur, mais uniquement le texte.

Merci à toutes celles et ceux qui auraient commis cet impair de bien vouloir éditer leur commentaire.

Un espace de discussion est tout à fait envisageable sur le forum en revanche.

J'ai été appelé à plus de modération et à commenter le texte, rien de plus.
Je pense que la remarque est juste et motivée. J'ai réagi en fonction de mon vécu.
je voulais seulement dire que même si je comprends leur culture, les africains gagneraient à s'affranchir de certaines pratiques machistes et cruelles