Salut Onirien !
Merci à ceux qui m'ont déjà commentés et ceux qui vont peut-être le faire bientôt. En ce sujet de forum, je voudrais éclaircir des points pour éviter le malaise...
La conclusion du poême peut laisser croire à une oraison raciste, mais non ! les seules mots qui prêtent à cette croyance sont "aryen" et "ségrégation", et je crois avoir fait mon devoir en avertissant en forum, donnant des explications dans ce que j'entendais par ces mots.
"Un jour peut-être..." est une rêverie, un ensemble de supposition qui appliquées pourrait peut-être (qui sait) mener à des jours meilleurs et la paix sur terre ; aussi simple que ça.
Je l'ai voulu sans rythme, pour que les mots tombent comme un couperet. on dit que la musique adoucit les moeurs, alors je voulais éviter cela.
pour répondre à certaines préoccupation, j'expliquerais quelques mots et serai prêt à répondre à d'autres questionnements.

"Daltonien" : le daltonisme est une maladie qui empêche de distinguer certaines couleurs. je me suis dit que si on allait au délà des yeux et qu'on pouvait avoir un daltonisme spirituel, peut-être que l'essence qui constitue les quiproquos, les querelles peut ne pas se voir (réponse à Notrac)
"Écolo paranoïaques" : c'est la touche humoristique du texte, comme pour détendre un peu l'atmosphère. bien que les armes que l'on brûlera sera pour ramener la paix, il y aura des écolos pour protester contre les flammes qui s'élèveront vers la couche d'ozone
Si nos oreilles n'entendaient plus de gemissements (parce qu'on y a mis fin)
Si on mettait un voile à nos lèvres pour filtrer nos propos
Si malgré notre intelligence nous nous comportions comme des niais, balayant des propos espiègles d'un sourire
Si l'allégresse pouvait devenir un bogue, revenant à chaque fois comme un disque enrayé
Si on pouvait briser les illusions que crée notre nature charnelle et briser les murs des prisons dans laquelle elle nous mure
L'amour déclame,
Le doute déchante
Le gouffre décale
était au départ ceci : l'amour se déclare sans que l'écho ne se perd dans le gouffre du doute (si ça pouvait se faire !)
Puis la conclusion : Si au délà de tout complexe de supériorité on pouvait se voir égaux entre frères, alors le gouffre des séparations se réduirait à un caniveau.
Merci

Bonjour wancyrs,

Merci pour ces différentes précisions sur ton poème (également pour celles de ton précédent sujet de forum, sur ce même texte), qui permettent de mieux le comprendre.