Tout d’abord, un immense merci à vous Florilange, Jaimme et Jphil et Nicole.
Lire vos commentaires m’a émue et comblée ; J’avais si peur en envoyant mon texte, le premier que j’écris, sur ce site !
Que vous ayez posté en premier m’a de plus aidée à accepter avec sérénité et bonne humeur les critiques qui n’ont pas manqué de suivre ! … et auxquelles je souhaite répondre :

Sur Noir Désir d’abord :

Alors là, je vais faire profil bas : Pardon Val, pardon Daphlanote. Toute à mon histoire, j’en ai oublié qu’on ne peut impunément détacher, comme je l’ai fait, 2 vers d’un texte, et en déformer ainsi leur sens.
Je vous dois une explication : ces deux vers m’accompagnent depuis des années, et je les ai moi-même et depuis longtemps dé-contextualisés. Ils me reviennent en tête très souvent et à des occasions diverses… et je leur ai donné, à force, un sens qui m’est propre, oubliant complètement le reste de la chanson.
Vous avez bien fait de me la rappeler, et je comprends, ô combien, votre déception en lisant mon texte.
Je dois vous avouer que je ne parviens pourtant tout à fait à regretter mon choix. Outre que ce titre est le seul qui me parle vraiment, j’aime la résonance que prend « noir désir » face à « mariage blanc » dans l’histoire.
Des excuses sincères donc… mais pas vraiment de regret. Je ferai cependant plus attention la prochaine fois.

Je découvre ce que peut provoquer le partage d’un texte et j’ai beaucoup à apprendre..

Par contre, Val, ton passage sur Farouk « qui traque avec sa tête de beau gosse la petite bourgeoise désespérée…»… Bon, on est à 1000 lieues de ce que j’ai voulu écrire et ça m’attriste un peu…


Sur le point de vue de l’homme :

Nicole et Val (à nouveau), j’ai si bien entendu votre frustration concernant « le point de vue couillu de l’histoire » comme dit Val,( !) que je viens d’écrire un second texte qui y répond.
C’est curieux, je n’y avais pas pensé avant de vous lire… (Bon, vous devez vous dire que je ne pense pas beaucoup…. !)
Si ce 2ème récit est accepté, j’espère que vous voudrez bien le lire et le critiquer. Je sais d’avance que nulle complaisance ne viendra entacher votre jugement !
Je pense que son titre sera: Je m’appelle Farouk Hammoudj.
En tout cas, c’est grâce à (/à cause de ??) vous qu’il existe. Merci pour cela.



Manuel : Je vais essayer de progresser, et suis ouverte à tous les conseils ! Mais mon style est simple et le restera.



Jaimme, sur ton bémol : C’est vrai que les dernières phrases sont plates. Je les ai longtemps tournées et retournées dans ma tête.
A présent encore, je ne parviens à savoir si leur platitude me convient parce que cette femme est vidée et absente, et également parce que je ne voulais pas de grande phrase lourde de sens. Ou si j’aurais pu trouver quelque chose de mieux. Surement en fait…


Wancyrs, enfin :
Tu demandes si « les mariages blancs ne sont pas condamnés par la France ? ». Ben… si, justement.
Et non, ce n’est pas toujours une question d’argent. Et les motivations de cette femme sont assez claires. C’est un ami de son frère, et elle l’aime.
Là où je te rejoins, c’est qu’effectivement, l’histoire du baiser est une invention purement romanesque. D’ailleurs, je précise dans le récit qu’ils ont trouvé ce conseil sur un blog, « petite phrase en forme de boutade ». Rien de très sérieux donc, mais tous la retiennent, les frères parce que ça les amuse, elle… pour des raisons évidentes. Quant à Farouk, il est un peu paumé de toutes manières…

Merci à vous de m’avoir lue. Vous m’avez tous aidée ! Et je m’en vais à présent flâner à mon tour sur vos fics… !

Bises amicales,
Myriam.

Salut Myriam, et merci pour l'explication du Leitmotiv sur Noir Désir... Le jeu de mots avec "mariage blanc" en plus, pourquoi pas?...

L'embêtant avec ce genre de trip perso, c'est de s'en détacher suffisamment lorsqu'on souhaite partager ses textes. J'attends donc le prochain, pour voir s'il sera parfaitement accessible ou non, pour nous autres qui ne sommes pas dans ta tête!

C'était une lecture très sympa en tout cas, merci pour ça (et j'en profite aussi pour te remercier du commentaire que tu m'as laissé dans la journée).