Quelques remerciements et éclaircissements sur mon poème Paris étoilé , à propos duquel les ressentis (comme souvent) ont été assez partagés.

A Chene :
Je reconnais bien là ton sens poussé de l'harmonie auditive. J'avoue être partagée, car j'y suis sensible également et ce poème ne me semblait pas aussi "cliquetant". Je suis d'accord en tout cas pour l'avant-dernier vers. Merci pour ton commentaire.

A Estelle :
Contente que tu aies apprécié la musicalité. La Seine et les passants : clichés oui, mais réunis dans un flot il me semblait que ça donnait une touche d'originalité justement ? Raté ;-)
Pour le "sexe" de Paris je me suis basée sur l'expression "le tout Paris" ... donc masculin. Cela dit ça n'aurait rien changé pour "Strié" car cet adjectif se rapporte au serpent.
La fin de ce poème peut effectivement paraître obscure, elle reflète un ressenti précis, une impression particulière que j'ai voulu tout entière concentrée dans ce vers. Pas facile à expliquer et je ne m'y hasarderai pas ...

A Pieralun :
Toujours ravie de ton passage, merci de ton appréciation (et contente que tu aies aimé la chute).

A Animal :
Ravie de lire le mot "harmonie". Merci de m'avoir indiqué tes vers préférés. Pour "que l'on dit parfois belles" le prosaïsme était volontaire, mais j'ai du mal à l'expliquer ;-)

A Jamesbebeart :
Merci pour ton ressenti et ton appréciation.

A Kamel :
Paris n'est qu'une toile de fond dans ce poème, mais je te remercie de l'avoir appréciée et aussi joliment commentée.

A Ilya :
Si cette promenade est inattendue, c'est sans doute (comme dit plus haut) parce que Paris ne m'a servi que de toile de fond, pour dépeindre une émotion particulière. Merci d'avoir apprécié cette "tombée des cieux".

A Lariviere :
Merci de ce commentaire concis et précis qui m'a ravie.

A Leo :
Merci d'avoir accordé une aussi longue diatribe à ma "poésie en kit". Pas de jugement de valeur dans l'évaluation, mais jugement de valeur dans le commentaire : peut-être eût-il été bon d'harmoniser les deux ? ;-) Je sais qu'un texte non ponctué (parti pris qui n'a rien à voir avec une quelconque "mode" dont je me contrefiche) attire inévitablement vos foudres, et prends note une nouvelle fois de votre point de vue, toujours sans y adhérer ...

A Brume :
Désolée que tu n'aies pas perçu d'intensité, merci néanmoins d'avoir relevé un certain effort d'originalité, j'espère que la promenade (de retraité) t'aura quand même distraite ;-)

A Domi :
Je connais ta sensibilité vis-à-vis des rimes, peut-être trop appuyées en effet à cause de leur disposition ? J'y songerai. Pour le fond, merci d'avoir lu plusieurs fois, et d'avoir ainsi compris "ce" Paris.

A Notrac :
"inégal mais qui gagne en charme en perdant en perfection" : voilà une phrase qui me fait bien plaisir, je ne saurais trop dire pourquoi ;-)

A Jaimme :
Je note avec intérêt cette remarque sur la main trop tendue, moi qui croyais respecter la liberté du lecteur (ce que certains n'aiment pas d'ailleurs ;-)). Ton commentaire me semble aussi paradoxal que mon poème, et je l'apprécie d'autant plus ;-) Merci à toi.

Salut elleonore, content que mon com soit bien perçu.

Sinon, ne "pas faire l'unanimité", perso, me rassure

Salut Elleonore

Ce qui fait le charme du poème,c'est l'absence de son auteur dans un commentaire et je me réjouis beaucoup plus lorsque j'arrive à partager mon point de vue.

Notrac,
Je ne sais pas si c'est rassurant, mais il est vrai que les auteurs que je préfère lire sont rarement ceux qui font l'unanimité ;)

Kamel,
Je crois comprendre ce que tu veux dire, merci.

Merci aussi à David d'avoir déposé une ligne sur cet écrit.

Bonsoir elleonore,

J'ai bien saisi je crois ce que tu voulais exprimer avec "que l'on dit parfois belles", c'est juste sur la sonorité du vers que portait ma remarque, pas sur son sens.

J'ai habité Paris durant 20 ans et en tous cas, j'en aime bien ta vision.

Excellente soirée,
ANIMAL

Merci Animal pour cette précision.
Pour ma part je n'ai jamais vécu à Paris et n'ai fait que l'effleurer, mais il est vrai que son ambiance si particulière m'a inspirée à plusieurs reprises.

Au passage : merci à Graoully d'avoir commenté ce poème, avec finesse comme toujours.