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A propos de O tempora ! O mores !
Visiteur 
Bonjour à tous ! Suite à la parution de « O tempora ! O mores », je vous dois quelques explications que voici :
Tout d’abord, la version présentée n’est pas la bonne. En effet, emporté par la fougue de la jeunesse, j’ai proposé celle qui portait ce titre alors que l’autre, la finalisée, s’intitulait provisoirement La plume et l’épée… M’apercevant de mon erreur, j’ai demandé le jour même ou le lendemain le retrait du texte. Il m’a été répondu, un peu sèchement à mon goût, que c’était trop tard. Soit ! La loi est dure mais c’est la loi et nul n’est sensé l’ignorer… J’en ai pris bonne note. Les deux versions sont identiques quant au fond mais la seconde corrigeait quelques lourdeurs signalées, à juste titre, par certains commentateurs.
Second point, pourquoi avoir écrit ce texte ?
Simplement parce qu’un jour, feuilletant un bouquin de Bernard Pivot « 100 expressions à sauver », à moins que ça ne soit un autre, j’ai retrouvé cette expression « Mettre (ou tirer) flamberge au vent ». J’aurai bien sûr pu choisir « Laisser pisser le mérinos », mais je vous en ferai grâce…
J’ai donc bâti ce sonnet à partir de là, sans aucune arrière-pensée.
Ce n’est ni un pamphlet ni une attaque contre tel ou tel membre de la communauté onirienne avec laquelle, depuis deux ans, je n’ai pas eu le moindre contentieux.
C’est tout simplement un constat, autres temps, autres mœurs !
En écrivant ces quelques vers je pensais surtout (et Widjet l’a très bien compris) à ces articles de presse qui descendent en flammes quelque personnalité ou autre quidam en se réfugiant bien souvent derrière un pseudo ou de simples initiales. Ce phénomène est encore plus évident sur certains forums politiques ou traitant d’actualité…
Pour moi, c’est le mauvais côté du Net !
Quant à reprendre le fleuret, ou le pistolet à 20 pas, pour régler les conflits entre individus, bien évidemment je ne suis pas pour et je pensais que TOUS les lecteurs auraient assez d’humour pour prendre mes propos au second degré ; il s’avère que ça n’a pas toujours été le cas.
Je ne suis pas un va-t-en-guerre et, par ailleurs, je sais combien sont encombrés nos services d’Urgence dans les hôpitaux.
Voilà, j’aime que les choses soient claires…
J’allais oublier, homme de peu que je suis, de remercier très sincèrement TOUS les commentateurs et lecteurs qui ont bien voulu consacrer quelques instants de leur temps à ce sonnet sans prétention mais aussi, je me répète, sans arrière-pensée…
Un dernier mot pour conclure. Je continuerai, bien entendu, au grand dam de certains mais aussi, j'ose l'espérer, pour le plaisir de quelques autres, à écrire dans ce carcan classique, tant décrié mais jamais égalé, mes petits sonnets corsetés mais de bonne foi !

Bonne continuation à toutes et tous ! Amicalement. Alex

Contribution du : 20/10/2010 14:54
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Visiteur 
Bonjour Alexandre,

ravi de cette mise au point qui clarifie ta position. J'avoue que j'avais lu ce texte dans mon EL et que je n'en avais pas apprécié le thème que je trouvais stérile et vain car trop tourné sur le monde onirien, ni le message que je trouvais sujet à caution. C'est moi qui semble-t-il ai à la fois manqué d'humour et d'ouverture d'esprit, pour le coup. C'est une bonne leçon d'humilité. Je ne doute effectivement pas de tes intentions pacifistes.

bonne continuation
Jphil

Contribution du : 20/10/2010 16:17
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Maître W
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19/01/2008 01:44
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Alexandre est parmi nous depuis si longtemps qu'il ne m'est jamais venu à l'esprit que ce texte pouvait revendiquer quelque chose de pernicieux.

Ton intention était claire pour moi, maintenant c'est bien d'avoir dissiper le moindre malentendu.

Widjet

Contribution du : 20/10/2010 17:32
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Maître Onirien
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05/06/2009 23:42
De La Thébaïde
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Salut Alex,

Personnellement, c'est le mot "pseudo", très marqué internet de nos jours, qui m'a induit en erreur.

En y réfléchissant, un "fier-à-bras" ne se cache pas, il est même tellement confiant en ses moyens qu'il est exubérant.

Mea culpa !

Contribution du : 20/10/2010 17:45
_________________
"L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête."

Blaise Pascal
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Visiteur 
Bonsoir ! Deux lecteurs avertis, Lechat et Nemo, que je remercie sincèrement, m'on fait remarquer à juste titre (et très gentiment) qu'ils avaient un doute concernant la rime plastron-affront. Le traîté de prosodie de Sorgel m'a confirmé que j'étais un âne bâté... ce que je savais déjà ! On ne peut faire rimer "ont" qu'avec "ond" ! De ce fait, ce malheureux sonnet n'ayant rien à faire en catégorie classique, il serait de bon ton qu'il soit reclassé en néo-classique afin de lever toute ambiguité...
Vraiment désolé pour cette bévue... Amicalement mais penaudement... Alexandre le brouillon !

Ps En guise d'autoflagellation, j'ai décidé de recopier dix fois, et à la main, le Traîté de prosodie classique de Monsieur Sorgel

Contribution du : 27/10/2010 18:52
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Maître des vers sereins
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Citation :
Le traîté de prosodie de Sorgel m'a confirmé que j'étais un âne bâté... ce que je savais déjà ! On ne peut faire rimer "ont" qu'avec "ond" ! De ce fait, ce malheureux sonnet n'ayant rien à faire en catégorie classique, il serait de bon ton qu'il soit reclassé en néo-classique afin de lever toute ambiguité...


Un poème qui ne correspond pas entièrement à la catégorie classique ne devient pas neo-classique.

La référence sur Oniris c'est ce lien :

http://www.oniris.be/forum/reference-les-classifications-en-poesie-t12522s0.html

Ce lien renvoit au traité de Sorgel mais s'en démarque également, pour des raisons qui concernent la pratique de la sélection des poèmes.

C'est une classification formelle, dont le but n'est pas de différencier un "vrai" d'un "faux" quoi que ce soit.

Le but est de sensibiliser le lecteurs aux différentes, et infiniment multipliables, façon d'écrire un poème. Donc un point de détail ne peut justifier un changement de catégorie.

Il n'est pas interdit de discuter de ce que peut représenter le classique pour différents auteurs ou lecteurs, mais ça ne changera pas pour autant ce qui est en place, parce que les buts sont différents.

Il n'y a qu'un intérêt "sportif" à faire deux catégories "classique" et "quasi-classique". Il y a toujours plus à voir dans un poème que la façon dont il est fait, la séparation fond/forme n'est qu'un outil pour cela.

Pour dire quelques mots sur cette question de forme du poème, elle touche une rime masculine vocalique, je crois que ce sont les rimes les plus rares, par construction, car tous les autres genres de rimes, les féminines et les masculines consonantiques finissent sur un son de consonne, il y en a vingt au lieu de six pour les voyelles, mais les dérivés (ai, en, oi, etc) équilibrent peut-être la donne.

De plus, la rime est riche sur chaque strophe, c'est pas une faiblesse dans l'expression cette consonne, la rime à l'oeil est presque là. Ça fait partie de critères secondaires pour définir le genre, il est marqué bien avant cela je trouve, et c'est le cas dans ce poème.

C'est juste un avis, mais Alexandre a pu lire l'évolution des poèmes classiques autant que moi sur Oniris, et les exigences se sont accrus au fil du temps, sur la base très concrètes de ce qui était réellement proposé aux lecteurs par des auteurs.

Je ne veux pas décourager la conversation, mais c'est différent de produire des exceptions en interprétant les catégories comme une règle alors qu'elles sont un moyen de publier des poèmes amateurs, d'en faire une sélection, vu l'abondance de la production afin de mettre en avant ceux qui ont semblé apporter un plus au "simple" acte d'écrire, en "poésie classique" comme pour tout autre genre d'écrit par ici.

Je pense que le poème mérite tout à fait sa place en classique, et de toutes façons le neo-classique n'en est pas la sous-catégorie, c'est une autre façon d'écrire des poèmes.

Contribution du : 27/10/2010 23:41
_________________
Un Fleuve
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Visiteur 
OK, David ! On fait comme tu veux ; j'avais proposé cette solution compte tenu qu'il y a quelque temps beaucoup de poésies, initialement classiques, ont été reclassées en néo... mais tes arguments tiennent la route.
Merci pour cette mise au point. Cordialement. Alex

Contribution du : 28/10/2010 15:54
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Chevalier d'Oniris
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J'avais posté un commentaire qui a été supprimé parce que je ne respectais pas la règle : "ne pas commenter les commentaires". Mea culpa. Je voudrais simplement signaler que mes commentaires ne sont que des remarques (jamais des critiques) sur le respect des règles de la prosodie dans la catégorie 'classique' telles qu'elles sont appliquées dans les concours (et qui s'appuient bien plus sur Banville que sur Legros !). Et ce dans l'optique d'un apprentissage de ces règles. Si j'ai commenté des commentaires, c'était pour indiquer que ceux-ci étaient faux. Cela fait aussi partie de l'apprentissage de ne pas laisser croire qu'une remarque est fondée quand elle ne l'est pas (ce n'est pas un bon service à rendre aux néophytes).
Dorénavant, je ne citerai plus les commentateurs, mais je soulignerai les "erreurs". Ce sera plus sournois, mais conforme aux "règles".

Contribution du : 03/11/2010 19:00
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Maître des vers sereins
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11/02/2008 03:55
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Évaluateurs
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Membres Oniris
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il y a un proverbe qui dit :

"donne un poisson a un affamé, et tu le nourris pour un jour, apprend lui à pécher et tu le nourris pour toujours"

Sans référence à une règle, la "faute" n'a pas de sens, ce n'est qu'une opinion. Vous êtes lu parmi les autres commentateurs Nemo, il est impossible de discerner votre avis d'un autre si vous ne dites ce que vous appliquez, et vous pouvez très bien interpellez les propos d'un commentaire sur le forum correspondant à un texte ; en commentaire, ça fait souvent des discussions décevantes pour l'auteur.

Citation :
(et qui s'appuient bien plus sur Banville que sur Legros !)


Je suppose que la comparaison n'est pas aimable ?

Contribution du : 03/11/2010 20:17
_________________
Un Fleuve
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Re : A propos de O tempora ! O mores !
Maître Pat de Velours
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16/04/2007 17:44
De Quelque part entre ma tête et mes pieds
Groupe :
Primé concours
Responsables Oniropédia
Conseil consultatif
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Membres Oniris
Post(s): 63288
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Il n'est pas interdit de discuter des erreurs qu'on pu faire les autres commentateurs, mais : dans le forum.

Imaginez que l'espace des commentaires deviennent un endroit de débat... Parce qu'évidemment, chacun voudra répondre. On ne ferait plus aucune différence entre des commentaires sur le texte et des échanges... ça deviendrait illisible. C'est le pourquoi de nos règles de fonctionnement.

Il n'est pas question de devenir sournois, simplement de ne pas se tromper d'endroit pour dire les choses de façon à être entendu. Et comme, les commentateurs habitués à nos règles savent très bien que ce n'est pas là qu'on discute, ils risquent de ne même pas lire ce que vous dites. Et les nouveaux lecteurs auraient des versions différentes sur ces questions de prosodie, ce qui risque d'embrouiller les messages.

Il est toujours intéressant de discuter de ces questions, d'apprendre aux autres (Oniris est basé sur l'entraide entre auteurs, lecteurs).

Cela dit, attention à nos catégories en poésie. Elles ne correspondent pas forcément aux traités classiques : nous les avons délimitées le plus clairement possible (voir dans le centre d'aide sur le bandeau supérieur de la page d'accueil).

Edit : posté en même temps que David. Je crois qu'on dit la même chose...

Contribution du : 03/11/2010 20:23
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"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois
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