Merci à celles et ceux qui m'ont fait l'honneur d'un commentaire.

Que dire de ce texte dont vous avez bien cerné le sens ?

Ce texte a des allures de légende et de conte philosophique, il porte une réflexion désabusée sur les limites de la perception, de la conscience et en aval sur l'efficience de l'action politique, sur la possibilité de peser réellement sur le concret. Il met également en avant la revendication de liberté face à l'absurdité de la vie et le sentiment d'inutilité qui en découle.
Il a été composé en heptasyllabes (7 syllabes), un vers impair pour accentuer encore le sentiment de déséquilibre que devait produire le thème.
Le contexte semble intemporel et pourrait s'inclure dans toutes les époques où cohabitaient princes, fauconniers, faucons et poètes.
Notez toutefois que En-Guédi, mentionnée deux fois, est la plus grande oasis du rivage occidental de la Mer Morte. Les sources existantes permirent une habitation presque continue du site depuis l'époque Chalcolithique. Aujourd'hui, le kibboutz Israélien d'En-Guédi s'assoit sur la rive sud du Nahal Arugot.

Merci pour ces précisions qui éclairent ce que suggère très bien votre poème.
Je ne peux m'empêcher de vous faire partager ce lien qui me paraît entrer curieusement en résonnance...
http://poesie.herbierdesmots.pagesperso-orange.fr/Pages/Fourbu.html

Belle photo et très beau poème. Merci à vous.

Le poème peut se trouver par la page du profil de l'auteur, mais avec un lien, ça peut faire gagner un peu de temps, c'est là pour lire De la haute tour de l'angle

Merci David, je n'avais pas pensé à assurer cette référence circulaire. :)