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1 Utilisateur(s) anonymes
À propos de ''Spirale infernale dans un pays de rêve" |
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Expert Onirien
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23/07/2008 14:57 De Bruxelles, Belgique
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Merci à toutes et à tous pour vos commentaires pertinents sur ce texte difficile. Votre feedback m'a été précieux pour avoir une idée de ce qui a été bien transmis ou moins bien perçu.
Kaos, Merci pour ton commentaire précis et détaillé de ce qui t’a plu et ce qui ta moins plu. Ravi de voir que la mise en abyme avait attiré ton attention. Non, mon intention n’est pas de critiquer le système policier à la française, et surtout pas de généraliser (d’ailleurs j’insiste là-dessus dans le texte). Le texte est basé sur un fait réel, où les policiers ont menotté d’abord et tabassé ensuite. Ici j’ai procédé à une inversion chronologique (tabasser d’abord, menotter ensuite) car mon but n’est pas de vilipender la police en présentant un aspect lâche qui ne concerne que des individus isolés. Je ne conçois pas de société sans police. Par contre les statistiques m’ont interpellé ainsi que le principe légal de la garde à vue (une gamine de 13 ans prenant un sens interdit en vélo peut être détenue pendant 24 heures autre forme de procès, ce qui me semble disproportionné). Content aussi de savoir que j’ai pu transmettre ce sentiment de malaise. Costic, Merci pour ton commentaire, mais plutôt qu’une dénonciation, mon intention était plutôt un désir d’attirer l’attention en essayant de rester neutre et factuel. Colinede, Merci pour ton commentaire et, oui je dois dire aussi que la catégorisation m’a semblé problématique. Oui ce texte sent le vrai, mais là je n’ai pas beaucoup de mérite puisque le récit est basé sur du vrai. Merci d’avoir apprécié ma manière de provoquer l’intérêt et l’indignation. Jaimme Merci pour ton commentaire détaillé. Ravi de voir que tu as apprécié l’intention structurelle même si je sais que peu relèveront l’intégralité des allusions d’emboîtage. Qu’entends-tu par une fin trop didactique ? Amicalement, Flupke
Contribution du : 15/02/2011 10:36
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Un jour, je ne serai plus rien, qu’un point infime dans l’immense image arrêtée de ce qui fut un univers, comme une photographie figée sous verre, accrochée au mur du néant, sans personne même pour contempler ce curieux vestige. (Daniel De Bruycker) |
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