Bonjour à toutes et tous ! Quelques lignes pour vous remercier d’avoir visité le château de mon père et d’y avoir, pour quelques uns, paraphé son Livre d’or sous forme de commentaires.
C’est vrai que ce poème a trouvé son origine dans nos « Bouts rimés » avec quelques modifications de rimes dans le dernier tercet. Je trouve que ce type d’exercice nous offre quelques bases ou points de départ intéressants, à condition de les adapter à son sujet.

@ tous un grand merci…
-@ socque. Je crois que l’alexandrin peut aussi bien être au service d’un cabanon que d’un palais… C’est du moins dans cet esprit que je l’ai toujours utilisé.
-@ Léo. C’est vrai que la ponctuation est parfois un peu trop dense… Je tâcherai d’y remédier.
-@ coquillette. Le titre fait penser à Pagnol et ce cabanon aurait eu sa place à peu près n’importe où. Il se trouve qu’ici en Bretagne nous avons aussi des pins parasols mais, pour l’instant, point de cigales et j’en suis désolé pour toi.
Pour ce qui est de « que l’enfance tempère », qui semble gêner quelques lecteurs aux entournures, ça ne m’a pas semblé anachronique mais ce n’était peut-être pas le meilleur mot à employer… Bien sûr que, pour exemple, « dont l’enfance se moque » aurait été plus logique ; reste que la rime oblige parfois à s’éloigner quelque peu du meilleur choix.
@ Ashanon Même remarque que la précédente
-@ Gerwal. Étant moi-même Bas Breton, j’assume mon choix et mes responsabilités, d’autant que ce genre P’tit Bar clandestin existe aussi ailleurs…

Voilà, je pense que mon père n’aurait pas renié la description que j’ai faite, cinquante années plus tard, de son modeste château et de ses occupants.

Bonne journée à tous.

Bonne journée à toi aussi Alexandre,
J'ai émis un avis sur l'idée, par sur la rime, j'en aurais été bien

Quant aux cigales, faisons confiance au dérèglement climatique... qui sait ce qu'il pourrait nous réserver.
Bonne continuation !