Bonjour à tous,

Comme le veut la tradition, je tiens à remercier chaleureusement tous les Oniriens(ennes) qui ont donné quelques minutes de leur temps pour lire et commenter ce petit texte que j'ai proposé.

J'étais averti que lire des commentaires d'inconnus sur un travail somme toute assez personnel pouvait être déstabilisant, et ça l'a été mais - pour moi - dans le sens le plus noble du terme.

Lire les commentaires sur les textes des autres est tout de même beaucoup plus simple. C'est un peu comme voir une scène d'amour à la télé par rapport à faire l'amour en vrai...

Le texte a divisé, notamment parce que j'ai pris le parti de disséquer un évènement très particulier, personnel, dérangeant et cru mais aussi très banal.

Fallait-il écrire ça et le soumettre sur la place publique ?

Vous vous êtes posé la question, et je me la pose aussi. Je n'en sais rien. Le débat est ouvert.

Voici toutefois deux informations qui pourront peut-être vous éclairer sur l'origine de ce texte :

- C'est en fait un morceau d'un texte beaucoup plus long (une soixantaine de pages Word) que j'ai prélevé et "retaillé" pour pouvoir être publié ici. D'où la (trop) longue introduction qui sert en fait à restituer le contexte. Le fait que ce texte soit assez mal taillé pour une nouvelle n'a pas echappé à vos yeux experts !

- Cet épisode, bizarrement, n'est absolument pas autobiographique, tout comme le reste de l'histoire dont il est extrait. Bien sûr, il y a un peu de nos tripes dans tout ce que l'on écrit, mais tout ce qui est relaté ici est, non pas inventé, mais plutôt fantasmé sur la base de faits vécus.

A l'occasion, je soumettrai d'autres morceaux de ce texte mais en gardant à l'esprit le souci d'être court, car je pense que c'est la meilleure façon de présenter les choses pour être lu. Si l'on peut faire confiance à Proust pour le lire sur 6000 pages, je comprends qu'il n'en soit pas de même pour JJSU.

Encore merci à tous pour vos lectures,



JJSU