Ainsi qu'il me semble convenable de le faire, j'ouvre ce topic pour remercier ceux qui ont pris de leur temps pour lire ce petit texte de ma composition et qui l'ont commenté.

Merci donc socque pour les deux adjectifs que vous employez pour décrire mon texte, et content d'avoir su écrire une phrase qui correspond à quelque chose que vous ressentez, pour la quantité de fois où cela m'arrive lorsque je lis, je peux dire que j'en suis ravi.
Merci également à Pascal31, pour son Très Bien évidemment, et plus particulièrement parce qu'il qualifie le texte de "réaliste", ce qui me fait particulièrement plaisir. Idem, si j'ai su faire résonner quelques échos profonds en vous, j'en suis plus qu'heureux.
Merci à alvinabec, et vous avez vu juste (j'en parle juste après), c'est à l'origine l'extrait d'un texte beaucoup plus long.
Enfin, merci à brabant dont l'apparition sur la liste des utilisateurs en ligne m'a fait frissonner de peur ! Je n'espérais pas mieux qu'un faible de votre part, n'estimant pas particulièrement ce texte, et sachant - prévoyant ! - que si vous le commentiez vous ne laisseriez pas passer son manque de... Je ne sais quoi qui le rendrait mieux ! Je prends particulièrement bien vos remarques sur mes commentaires cela dit, et suis content que vous ayez fait un tour sur cette errance :)

Ce texte n'est pas autobiographique, bien qu'évidemment j'ai déjà ressenti cette frustration terrible. A vrai dire je l'ai cependant rédigé juste après avoir fini Idaho, Hiver 73 d'Antoine LACOMBLEZ, livre qui sans m'avoir marqué profondément m'a tout de même laissé cette sensation que je ferais mieux de cesser d'écrire à tout jamais. A cette "époque" je venais de faire mon grand retour dans la littérature après des années (nombreuses) sans lire quoi que ce soit, et j'ai donc été submergé par toutes ces émotions que les livres peuvent vous transmettre, et donc autant par la frustration.

A l'image de (trop) de mes textes, Errance est un premier jet. Quasiment immédiatement après l'avoir envoyé sur Oniris je m'en suis voulu, sachant qu'il n'était pas au niveau, et que je récolterais sûrement des notes sévères qui sanctionneraient son manque de profondeur, ses irrégularités. Si le texte parfait devait être une surface parfaitement plane, je considère Errance comme un chemin de terre pour VTT.
Il représente tout de même pour moi quelque chose d'important, puisqu'il est le premier texte d'une grande série d'autres petites réflexions/billets d'humeur dans le genre que j'ai longtemps voulu organiser en roman. Malheureusement, tous mes fichiers ont disparu avec un ordinateur aujourd'hui décédé, et ne me reste de ma centaine de pages que ce vague texte que je n'avais pas repris la peine de travailler.

Sachant qu'il était tout de même porteur d'une certaine émotion, pour celui qui saurait le lire sans buter sur les pierres (j'essaye de filer ma métaphore), je l'ai posté sur Oniris, dans le même élan que celui qui m'a fait m'inscrire.

Vous l'aurez compris je n'en suis pas particulièrement fier mais il représente quelque chose.

J'ai envoyé ce matin mon texte pour le défi n°15, qui je pense, est plus maîtrisé. Nous verrons cela à sa parution, et en attendant, je passe le bonjour à toute la communauté et vous invite à venir lire et (pourquoi pas ?) commenter Errance tout de même !

Merci encore :)

Remerciements également à Salamandre, bien que je n'ai pas tout à fait compris votre commentaire, enfin, surtout en quoi le texte fonctionne !
Et malgré son commentaire qui fait très mal, merci à rosebud d'avoir pris le temps de le commenter. Je me permettrai tout de même de vous répondre que, eh bien si, j'ai écrit, et que le texte, vous venez de le lire.
Quant à prendre le problème du bon bout il me semblait avoir bien écrit sur "comment" faire, plus que sur "pourquoi" ! Comment égaler ces auteurs que j'évoque au début du texte, c'est ça la question que le narrateur se pose !

En revanche, ouais je suis d'accord c'est une tambouille, cependant certains s'y sont intéressés. Si je dois prendre l'injonction de "l'autre" comme le conseil d'arrêter l'écriture, je me sens tout de même un peu obligé de vous dire qu'il y a un léger manque de respect de votre part, qui me touche.
Je ne m'en formaliserai pas tant que ça.

Je dois une précision : je dis que le texte fonctionne malgré le sujet.

C'est l'histoire de quelqu'un qui voudrait bien mais ça lui vient pas l'écriture, ça l'habite pas, quelqu'un qui veut une reconnaissance mais n'arrive pas à donner une production. Pour moi ce sujet est sans intérêt. Pourtant j'ai lu le texte, ne me suis pas lassée. En ça je dis que ça opère, un peu comme une magie. Désolée de manquer de clarté dans mon explication :)

Mais, il est ou ce texte... il s'appelle comment?

Merci
Labrisse.

Artexflow,

mon but n'est pas de faire mal. Nous avons la liberté de commenter, je commente. Subjectivement, avec acidité, durement, mais aussi avec enthousiasme ou élogieusement. Je n'ai pas l'habitude d'accompagner mes commentaires de "à mon humble avis", comme en s'excusant, parce qu'évidemment le commentaire n'engage que celui qui le formule. Et il ne lui accorde aucune prééminence sur l'auteur.
Mais vous connaissez la phrase de Beaumarchais: "Sans la liberté de blâmer il n'est point d'éloge flatteur." Il n'y a rien de plus vrai.
Quant au "Lâchez tout!" d'André Breton, il ne faut pas le prendre comme une injonction à abandonner ses prétentions à écrire. Bien au contraire: laissez tomber vos idoles, ne regardez pas derrière vous, lâchez vous!

@Salamandre : Merci de vos précisions !
@Labrisse : Le texte s'appelle Errance, il est dans les nouvelles !
@rosebud : Je comprends :) En espérant que ma prochaine contribution vous plaise plus !

Je demande pardon aux modérateurs pour le double post mais je souhaite vraiment remercier les nouveaux commentateurs, et je n'ai pas pu éditer mon précédent post (le bouton édition ne s'affiche pas), s'il est inconvenant de ma part d'ajouter ce post, je comprendrais bien entendu qu'il soit supprimé, mais dans l'idéal pourrait-il être fusionné au précédent ?


En guise d'introduction (puisque dès qu'il est tard je parle beaucoup), je tiens à dire que je me plais sur votre site, que la communauté est au top. J'ai suivi avec passion les threads sur la religion (et plus particulièrement le récent initié par le texte de wancrys), je lis avec avidité les interventions des membres réguliers, qui sont, avouons-le de sacrés lurons, je commente lorsque je m'en sens capable, je n'ose pas trop la poésie, parce que la poésie me fait peur, je veux dire, que je n'ose pas, pas vraiment, juger les poèmes ; peur de blesser, de me ridiculiser ou autre, peur de ne pas comprendre, de me sentir faible. Je vous rassure je prends des anti-dépresseurs ! Ahaha. Hum.
Bref Oniris est à ce jour la seule communauté où je vois un tel niveau de respect, une telle culture, un tel investissement de la part des inscrits. Je vous remercie donc pour ça.

Blah blah kesskidi ssuila, ok, je passe aux remerciements. Ah oui ! Tout ça pour dire qu'Errance, mon premier texte en est à neuf commentaires, neuf commentaires sensibles, pas expédiés, neuf commentaires de personnes qui ont LU le texte et qui ont pris la peine de dire ce qu'ils en pensent ?!?!?!?
Vous devez être - sans dec' - les seules personnes à avoir vraiment lu ce texte ! Pour moi c'est incommensurable ! Je n'ai jamais écrit que pour moi tout seul, je veux dire, en général, tout le temps, on s'en fout ! Ca m'fout pas les boules, promis, juste mes amis, bah ils me connaissent, bref je digresse ARRÊTEZ-LE, VITE !

Labrisse, vous faites pour moi figure de, bouarf les mots me manquent (mes yeux piquent et mon estomac brûle, faut dire), mais votre simple visite m'a fait simplement fait plaisir. Votre remarque sur le titre est totalement justifiée, d'ailleurs, c'était tellement juste qu'en lisant votre commentaire je n'ai pas pu réprimer un petit rire nerveux, je me suis dit bah merde c'est vrai, fusillons ce titre ! N'importe quoi.
Vous me dites d'y aller sur les sons, les odeurs et vous avez encore raison mille fois. Le texte est loin d'être total, pas dans sa longueur, mais dans sa densité, je le ressens moi-même...
L'anecdote sur le vacancier est excellente !
Et pour la conclusion, hein...
En tous cas, un grand merci.

aldenor, idem, vos remarques sont pertinentes et justifiées : le ton hésitant (d'ailleurs voilà l'expression que je cherchais pour qualifier mon texte : hésitant ! MERCI GRANDS DIEUX !).
Emprisonner dans des pages mortes, bah je suis forcé de vous dire que vous avez raison. Le truc avec moi c'est qu'au lieu de creuser souvent je survole... Pas qu'en écriture d'ailleurs ! Pour être tout à fait franc je pense même à plein d'autres trucs en écrivant ça niéhéhum.
Très personnellement je ne toucherais pas trop aux temps, mais je vois très bien ce que vous voulez dire, question de sensibilité sûrement ?
Merci également à vous, d'avoir lu et pris le temps de commenter ce petit texte, donc.

wancrys, également, vous voir commenter mon texte, une fierté presque ! Vous qui déchaînez les passions ! Savoir que mon texte vous a plu me plaît, et croyez-moi, votre conseil risque de me trotter dans le crâne un bon moment.

C'est bon j'ai fini :)