Bon, soyons clairs, les lecteurs de ce site sont de gros pervers. Sinon, comment expliquer la chute vertigineuse du nombre de mes lecteurs : 120 ridicules visites, quand ma Comtesse délurée et inconvenante en a attiré plus de 400.
Certains se diraient : « mon poème est nul, c’est tout ». Finalement les notes ne sont pas si mauvaises. C’est juste que les lecteurs n’ont pas spécialement envie de le relire. Ici pas de Comtesse qui se dépoile, juste un petit nichon vers la fin, et encore, qui a été mal interprété. Vous êtes des pervers, je vous dis !! Je ne vais plus écrire que des histoires de cul.
Je me fiche complètement des plumes, ce que je veux c’est des lecteurs. La Comtesse reviendra, je peux vous le dire, comme je peux vous dire que vous me lirez et relirez, bande de pervers ! Des poètes ? Laissez-moi rire !

Pour finir, juste une petite précision qui vous permettra de pardonner à Angelo : dans la dernière strophe je ne parle pas d’une chambre mais d’une « chambrée », comme vous en avez peut-être connue, c’est-à-dire un ensemble de personnes qui couchent dans une même chambre. Dans mon poème les maçons y prennent même leurs repas. Et vous savez bien (peut-être pas, après tout) que cette situation crée une promiscuité. Celui qui a mis le Christ au mur n’est probablement pas le même qui a punaisé la pin-up. Et ce pauvre Angelo en souffre peut-être… C’est peut-être pour ça qu’il prie, allez savoir…
Comment des pervers pourraient-ils comprendre? :)

Merci à tous
Ludi