Bonjour,

Je tiens à remercier ceux qui auront pris la peine de commenter ce poème.

Ce poème, plus qu'une description d'un village est une allégorie sur l'amitié représentée par les "derniers soleils".
L'indifférence se matérialisant dans le village.
Il n'est donc pas à lire au premier degré.

Sinon, pour Brabant je trouve sa petite réaction mesquine, car le monsieur se venge... En effet je n'ai pas aimé son dernier poème fleuve et je ne l'ai pas très bien noté... Réaction d'un enfant de six ans à qui on pique son goûter.
Désolé mon poème ne mérite pas un "faible" et oui il est poétique.
C'est de cela dont je parle et qui me gêne parfois, "copinage" et "mesquine vengeance"... Après je sais bien que l'intéressé niera, qu'il prétendra ne pas avoir aimé tout simplement... Seulement tel n'est pas le cas.
Voilà je voulais aussi évoquer ce cas d'école pitoyable.

Merci vraiment à ceux qui avec sincérité se seront penchés sur mon poème.

"Bisque bisque rage" [expression du jeu de paume :)] équivaut à "Nanananèreeee !" ;)

Je confirme: on peut peut trouver votre poème très moyen sans aucun esprit de vengeance. Et puis, vous avez vraiment mal choisi votre cible. Voilà quelqu'un qui argumente poliment tout ce qu'il dit. Moi je rêve de me faire dégommer par Brabant!

Citation :

J'espère au moins que vous vous rendez compte de la suffisance de vos propos !

Je ne suis là pour défendre personne. Je ne connais pas plus, au niveau personnel, brabant que vous-même. Mais lorsque j'ai déplacé ce sujet dans "discussions sur les récits" (maintenant, je ne suis pas très étonné que vous ayez choisi "La grand-place d'Oniris"), j'ai lu votre intervention et les bras m'en sont tombés.

J'espère que ce fil ne va pas servir de règlement de comptes. Je vais personnellement y veiller...

Il aurait été préférable de contacter la modération pour ce genre de plainte, Pouet.
Ainsi, la modération peut en discuter (éventuellement avec les orgas) et tenter de suivre les éléments pour tenter de démêler, si nécessaire, les différents noeuds.
(je précise que j'interviens sans avoir lu ni le poème, ni le commentaire incriminé, simplement pour expliquer que la modération n'est pas "seulement" présente pour enquiquiner les gens, mais surtout, et c'est un aspect peu visible, pour tenter de fluidifier le fonctionnement, d'agir comme médiateur).

Il y a un précédent : « Prisonnier poétique » ! Un commentaire défavorable et Pouet monte sur ses grands chevaux (Voir son topic « Commentaire insultant et honteux ». Commentaire qui à ma connaissance n’a pas été modéré ; jérémiades désapprouvées donc)
Je conseillerais ainsi après ce second coup d’éclat à cet apprenti-poète de postuler à une place dans le chœur des pleureuses de Nabuchodonosor où il ferait merveille.

Mais il y a plus grave, il y a très grave. C’est quand il m’accuse de « copinage »… allant jusqu’à parler de « cas d’école pitoyable ». Mon Dieu ! C’est du lourd ça, du très lourd, du monstrueusement lourd ! A-t-il mesuré la portée dévastatrice de ses propos ? Ou la colère, la déception l’ont-elles égaré ? « pitoyable », il faut oser ! « cas d’école », rien que ça ! « copinage », moi ?!
Je commente tous les textes et le monde ; ça m’en fait des copains ça dites-moi… et des copines :) ; et je joue de toute la palette des évaluations (je me souviens avec horreur de mes professeurs de français successifs qui affirmaient dans un bel ensemble et la main sur le cœur que 12 était une bonne note en rédaction, 14 excellent et 16 exceptionnel, le nirvana quoi ! et qu’ils n’allaient pas au-delà – qui eût été un vrai Au-Delà, le Walhalla – parce qu’un élève ne pouvait pas produire un texte parfait. ?!!!). « Exceptionnel » exprime une émotion parfaite et un texte humainement parfait en ce qui me concerne et je ne vois pas pourquoi je m’abstiendrai de le dire ! Bien, ceci étant dit et posé, mes commentaires sont toujours sereins, sereinement déçus parfois, enthousiasmants sereins assez souvent, mais sereins ; ils sont aussi argumentés et/ou justifiés, jamais à l’emporte-pièce. Alors, ou Pouet donne des exemples précis (commentaires et pseudos de « copinage… pitoyable » (Qui sont ces potes que je favoriserais honteusement, à qui je reverrai l’ascenseur… Quels sont ces commentaires : ils sont là, tous, à disposition, ils ne se cachent pas… Alors ! Alors ! Et encore !), ou il s’excuse, ou il retire ses accusations diffamatoires – je pèse mes mots – car il touche là à mon honneur d’Onirien libre en libre Onirie où il n’y a pas de délit d’opinion dans le cadre de la Charte que j’ai toujours respectée, il attente à ma respectabilité, il foule aux pieds mon impartialité, en un mot (un verbe) il me « navre » au sens que ce mot a en Ancien Français. Ou je demande à la Modération de supprimer cette partie bassement infâmante d’une diatribe aussi injuste qu’exacerbée.

:(

« J’ai dix ans
…
Laissez-moi rêver que j’ai dix ans
Ça paraît bizarre mais
Si tu m’crois pas hé
T’ar ta gueule à la récré »
Alain Souchon (1974)

:)

Même quand c'est plus l'hiver, vous vous disputez ???

Quand j'étais petite, ma mère avait un principe d'éducation simple (et salutaire, avec trois enfants) : si tu te venges, tu viens pas me voir pour que je rende justice.

Propos pas sympas de la part de Pouet, propos pas sympas de la part de Brabant... Hop, tous les deux punis dans votre chambre, vous ne verrez pas Ulysse 31.

Allez les gars, on se calme !... On respire un grand coup, on refait ses lacets et on se dit qu'on est tous la pour la même chose...

Ce sont des malentendus, tous ça !...

Pouet machouille un curé et...

Extrait de "Les derniers soleils"

"L’église flatte l’esprit de ses tristes clients
Au marché de l’ennui, bradant l’éternité,
Le curé distribue quelques pieux dépliants
Même si de son regard la foi s’est exilée."

Brabant aurait pu se sentir euphoniquement mêlé à cette histoire :

Extrait du com de Brabant :

"Je n'ai jamais rencontré pour ma part, même au profond des villages, de vieux curés éteints car le profond des villages est aussi le profond des âges où la flamme continue de et s'anime dans la mystique des églises, derniers et robustes et entêtés remparts de la foi, la foi naïve, celle du charbonnier, la foi comme un livre de vitraux ou de chemins de croix en douze stations c'est à dire d'images."

Le ton est sans ventriloque, il me semble, contre celui qui avait perdu la foi, rien ne vaut celui qui ne comptait pas du tout la laisser partir.


Je rejoint le chœur pour réaffirmer que bien entendu, il vaut mieux laisser la foi faire sa vie sans regrets, quitter le nid et sa loi martiale pour aller par le monde, libre... et le plus souvent bafouée, malmenée, et assise pas comme il faut.


Extrait 2 de Brabant :

"S'il y a de la poésie ici, alors il s'agit de poésie naphtaline type Botrel"

(Botrel ?

"Jean-Baptiste-Théodore-Marie Botrel est un auteur-compositeur-interprète français né le 14 septembre 1868 à Dinan, mort le 26 juillet 1925 à Pont-Aven en Bretagne où il est inhumé. Il est l'auteur de La Paimpolaise."

"Marie ta fille
De la difficulté de marier une fille dans la Bretagne de l'époque.
Youp youp youp larirette ô gué !
Marie ton gâs quand tu voudras,
Ta fille... quand tu pourras !"

"Jésus chez les bretons
Si Jésus revenait au monde,
Le doux sauveur à barbe blonde,
Le charpentier aux grands yeux doux,
Jésus devrait venir au monde,
Chez nous.
You, you, you,
Sonnez les binous,
Car Jésus peut-être va renaître,
You, you, you,
Sonnez les binous,
Car Jésus peut-être va revenir chez nous."


http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9odore_Botrel#cite_note-6)



Difficile de ne pas brandir la faux, ce n'est pas tant Pouet qui ressemble à Botrel que le monde entier qui pourrait rentrer dans une bouteille en laissant de la place pour une bigoudaine, si ça ne tenait qu'à un commentaire.

Moi, il me semble que si Pouet a une récrimination contre Brabant, qu'il s'adresse à lui directement et en privé. C'est ridicule de monter sur ses grands chevaux pour un truc pareil. Pouet pourrait se gargariser de tous les "Bien, Très bien" qui précèdent le "Faible" de Brabant et ne pas faire un drame avec ça.

Je ne connais ni l'un ni l'autre. Brabant n'a pas aimé ma nouvelle (Faible-, il me semble). Et puis ? Je prends les commentaires et j'en fais ce que je veux. J'ai mon propre jugement, je ne suis pas démoli par la critique de quelqu'un. D'autres l'ont aimée, et ça me ravit. Je ne suis pas plus riche ou plus pauvre pour autant.

Lâchez du lest, SVP