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À propos de "Fleurs de rhétorique", remerciements
Visiteur 
Comme de coutume, je remercie le Comité Éditorial qui a bien voulu inclure ce texte dans le catalogue d’Oniris, les correcteurs qui se sont penchés dessus (et m’ont notamment signalé les erreurs à rectifier pour que le texte puisse prétendre à la publication dans la catégorie voulue), ses lecteurs et commentateurs.
En outre, je remercie les passionnés de la catégorie classique sur le site, dont les débats et écrits ont contribué à me faire franchir le pas, à quitter mes pantoufles néo-classiques pour tâcher d’enfiler les escarpins classiques et faire quelques pas avec. Trois personnes notamment, de mon point de vue, sont à distinguer.

David, je suis persuadée que sans tes poèmes étonnants je n’aurais jamais voulu faire cet effort. J’ai eu l’occasion de te le dire par message privé : ta manière m’a profondément influencée. Tu m’as montré que l’écriture en catégorie classique pouvait aussi être ludique et inventive. Merci à toi.
Labrisse, tes encouragements m’ont beaucoup aidée à prendre confiance en moi, et tu as fini par me convaincre que ce n’était pas impoli ni, en fait, insurmontable, d’aller explorer le slip des rimes en quête de leur sexe ! Alors voilà, je te remercie.
CharlesVerbaud, il y a fort peu de chances que vous voyiez ce message puisque vous ne venez plus ici, mais je tiens à dire publiquement que la rigueur de vos commentaires et votre érudition m’ont donné envie de pénétrer ce domaine mystérieux. J’eusse aimé voir ce texte se faire étriller par vous, à défaut je veux vous remercier : vous m’avez stimulée.

Je suis contente de constater que sur ce texte les commentaires sont variés. Quand les commentateurs dégagent divers aspects auxquels je n’avais pas pensé, je me dis qu’il doit y avoir de la matière. En l’occurrence, j’ai pensé à écrire deux sonnets présentant deux argumentations opposées (le premier vers m’est venu en premier) et, une fois ceci écrit, je me suis dit « ah, ben en fait on dirait que l’argumentation plaide plutôt pour la vérité, c’est elle qui ouvre et clôt l’ensemble »…
Je vous remercie, Lunar-K, Renaud, Miguel, Arielle, David, d’être allés plus loin dans l’interprétation. Je n’avais pas vos lectures à l’esprit quand j’ai écrit ce texte, elles n’en sont pas moins pertinentes pour autant, comme par exemple la prétention d’auteur dont vous parlez, Renaud, et dont la mise en lumière m’a amusée !
Miguel, j’ai employé « croyant » dans le sens « celui qui croit au mensonge parce qu’il en a envie » : le mensonge est tentant. Toutefois, il est bien vrai que je suis matérialiste et ai tendance à considérer toute religion comme une erreur ; réciproquement, je m’attends à ce que tout croyant considère le matérialisme comme une erreur dont les tenants se fourvoient. Cela, à mes yeux, n’empêche en rien le respect mutuel.
David, tu fais plusieurs remarques de forme que je trouve très intéressantes ; je suis contente des rimes en « tu », c'était pas facile.
Renaud, vous me démontrez que l’expression du texte n’est pas aussi claire que je l’aurais souhaité puisque, dans les vers
La Lune blanche, en d’irréelles nuits,
Éclaire ainsi, s’affranchissant du puits,
La vérité

vous pensez manifestement que l’apposition s’affranchissant du puits se rapporte à la Lune alors qu’elle constitue un détournement de « la vérité sort du puits » et est antéposée.
David, je me suis en effet amusée à détourner des expressions toutes faites ! J’avoue que c’est souvent la métrique qui me l’a imposé. Cela montre du reste un défaut de maîtrise de la forme chez moi, puisqu’il est arrivé que la rime guidât l’expression et non l’inverse (je pense à tout le développement sur le « char » dont la vérité débloque le moyeu et qui laisse le mensonge sur la route : tout ça pour trouver des rimes en « rosse »…). J’espère m’améliorer sous ce rapport.
Renaud, Miguel, vous choisissez de ne pas évaluer un texte que vous n’avez pas aimé, permettez-moi de le déplorer ; ce faisant, vous biaisez l’évaluation globale sur ce texte. Cela dit, bien sûr, vous faites comme vous voulez.
Arielle, merci de ton passage ! Cela faisait longtemps, j’ai l’impression, qu’on ne t’avait vue dans les parages…

Merci à vous, Ioledane, pour votre commentaire à l’aveugle, délivré en Espace Lecture, et que j’ai pu donc découvrir dès publication. Ça fait vachement plaisir.

Merci à vous, Hananke, Pimpette, Alexandre, Labrisse, fugu, pour vos aimables et indulgentes appréciations ! Pour répondre à quelques-unes de vos remarques :
- Hanake, à l’origine j’ai écrit le premier sonnet avec diérèses sur « décollation » et « affabulation » (c’est bien ça, les diérèses manquantes pour vous ?) ; après consultation du Littré, on m’a fait savoir qu’il fallait des synérèses à ces deux mots (
http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/d%C3%A9collation
et
http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/affabulation
) ; pour comparaison, le Littré signale par exemple la diérèse à « vision » :
http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/vision
- Alexandre, Labrisse, fugu, vous notez une certaine obscurité dans l’expression ; je le regrette et garde l’espoir de m’améliorer ; pour ce qui est du champ lexical, toutefois (ta remarque, Labrisse), je pense m’obstiner ; d’une part le charme des mots demeure irrésistible pour moi, d’autre part je suis persuadée qu’on comprend beaucoup plus de mots qu’on utilise, la notion de « vocabulaire passif » me paraît très pertinente ! Et puis il y a le contexte, ça éclaire souvent.
- Pimpette, comme à votre ordinaire vous êtes adorable ! Je suis toujours soufflée par votre énergie et votre enthousiasme, moi qui dispose de si faibles réserves de l’un et de l’autre…

Félicitations à ceux qui sont arrivés au bout de ce pavé ! Merci encore à tous, notamment mes commentateurs.

Contribution du : 31/08/2013 08:58
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Re : À propos de "Fleurs de rhétorique", remerciements
Visiteur 
Bonjour Scoque

Bizarre, mais tu as raison, le Littré ne pratique pas la diérèse.
Je n'avais pas regardé tellement cela me paraissait évident.

Mes excuses.

Bien à vous.

Hananké

Contribution du : 31/08/2013 09:19
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Re : À propos de "Fleurs de rhétorique", remerciements
Visiteur 
Merci de votre passage et de votre aimable appréciation, Mona79, surtout venant d'un auteur à l'expression que je trouve fort naturelle, intégrant aisément les contraintes de la catégorie classique !

Concernant les synérèses à "décollation" et "affabulation", comme indiqué ci-dessus j'avais d'abord traité ces mots en diérèse, c'est l'équipe de validation de la catégorie qui m'a signalé les liens Littré imposant les synérèses ; moi aussi, ça m'a étonnée.

Contribution du : 31/08/2013 10:56
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