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A propos de "Quand mon père dégrafait son ceinturon"
Onirien Confirmé
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14/01/2010 11:19
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Plusieurs personnes s'étonnent ou s'attristent de la chute peu cohérente de la nouvelle que j'ai soumise.
Une petite explication s'impose :
Le fait que le jeune garçon se souvienne de cet évènement et en fasse un symbole de la misère tel qu'il l'a vécu ne signifie pas qu'il s'agissait d'un évènement récurrent. Il n'a pu avoir lieu que deux fois en tout et pour tout, et encore, pas avec le même ceinturon, on peut tout à fait l'imaginer.

Ceci dit, bien sûr qu'il y a la volonté de mener le lecteur en bateau et le réalisme est quelque peu sacrifié à cause de cet objectif. Vos réactions semblent montrer que c'est plutôt réussi.

Contribution du : 10/09/2013 10:18
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Re : A propos de "Quand mon père dégrafait son ceinturon"
Maître des vers sereins
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11/02/2008 03:55
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Ce que je trouvais intéressant aussi, c'est que le titre m'a fait penser immédiatement à une maltraitance, comme quelques autres lecteurs je crois, alors que si on le lit comme une expression, ça évoque bien la famine ou la disette ("se serrer la ceinture" au sens propre, le sens figuré l'associant à un manque d'argent comme avec "le beurre dans les épinard").

Je n'ai pas trouvé que ça manquait de crédibilité parce que ça évoquait la faim à une période apparemment récente dans une région apparemment occidentale, mais c'est vrai que c'est assez bref, pas développé comme peut l'être un roman historique.

Contribution du : 10/09/2013 20:58
_________________
Un Fleuve
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Re : A propos de "Quand mon père dégrafait son ceinturon"
Expert Onirien
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17/04/2012 21:15
De Capens
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Bonjour Merome,

Suite à notre échange de MP et à votre début de fil, il semble que le but de votre nouvelle soit fluctuant : surprise, impact, ...

Je persiste à dire qu'elle n'est pas cohérente, contrairement aux exemples de Charles Josephin, votre famille n'est pas en période de guerre, de famine ou autre et surtout ce n'est pas une famille nombreuse.

"et, encore, pas avec le même ceinturon." ???????????

"Vos réactions semblent montrer que c'est plutôt réussi." ? ben si vous le dites. Je penses plutôt que vous avez affaire à des commentateurs sérieux.

Les critiques sociales étant rares sur Oniris, je suis très friand du genre. Votre écriture, comme déjà dit en MP, étant agréable, vous avez tout pour sortir un texte intéressant. Prenez donc mes critiques comme un compliment un poil déçu.

J'ai attaqué "Simple comme bonjour" dont le début me parait beaucoup plus documenté et dont le sujet m’intéresse plus encore.

Pepito

Contribution du : 10/09/2013 22:26
_________________
Celui qui écrit dans mon dos ne voit que mon… (Adage du banni)
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Re : A propos de "Quand mon père dégrafait son ceinturon"
Maître Onirien
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15/04/2007 13:17
De Paris
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Citation :
Le fait que le jeune garçon se souvienne de cet évènement et en fasse un symbole de la misère tel qu'il l'a vécu ne signifie pas qu'il s'agissait d'un évènement récurrent. Il n'a pu avoir lieu que deux fois en tout et pour tout, et encore, pas avec le même ceinturon, on peut tout à fait l'imaginer.


Je comprends ce que vous voulez dire et effectivement, le truc n'a pas besoin d'être absolument réaliste pour avoir une portée symbolique.

Néanmoins, de la manière dont vous le dites à la fin du texte, on a l'impression qu'un repas manqué = un trou supplémentaire :

Citation :
Quand mon père dégrafait son ceinturon, nous savions qu'une fois de plus il ne mangerait pas pour que nous puissions le faire, il ne reviendrait qu'après le repas, la ceinture percée d'un trou supplémentaire (...)


C'est un détail, mais c'est le problème des textes très courts : la moindre imperfection ou incohérence fait trébucher et se remarque beaucoup plus que dans un texte plus long.

Contribution du : 14/09/2013 15:14
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