Un merci chaleureux aux nombreux lecteurs et commentateurs de ce poème, aux sévères comme aux indulgents. On a étrangement vu de la foi là où il n'était pas dans mon intention d'en exprimer. Dieu était là seulement pour évoquer le regret de la perte ("Qu'il a de chance de l'avoir près de lui.") Il était mentionné à travers une certaine distanciation ("Le prêtre nous a dit...) et même, la froide cendre sans souvenir était une image plutôt matérialiste.
Quelqu'un a remarqué la coïncidence de ce poème funèbre avec la période de Toussaint. Je n'y avais pas songé (c'est un hasard) et je m'en suis voulu car un tel
texte en une telle période, cela manquait effectivement d'originalité.
Pour le reste, comme toujours, le meilleur aux yeux des uns est le pire aux yeux des autres, et réciproquement !