Je tiens à remercier les lecteurs de ce poème et les commentateurs qui ont bien voulu me livrer leur sentiment. Je ne prétends pas rechercher à tout prix l'originalité du propos. C'est effectvement un thème qui a souvent été abordé. Ce n'est pas pour cela que je devais m'interdire d'exprimer mon sentiment sur ce sujet. Si ce devait être le cas, personne n'écrirait plus rien.
Merci à Folibri d'avoir bien compris que sans renoncer à une certaine rigueur dans la composition, je ne me suis pas plié à des exigences qui, l'oreille étant prépondérante en poésie, me paraissent obsolètes et sans réelle justification. Mais je comprends parfaitement qu'on se réclame du genre classique et que l'on veuille en respecter toutes les exigences. Je n'ai pas le talent de le faire : le m'en affranchis donc et ne poste qu'en néo.
Ioledane soulève un problème d'interprêtation que je n'avais pas prévu : il s'agit bien entendu du corps féminin en général qui se trouve vulgarisé à outrance dans tous les domaines de l'activité humaine.
Enfin pour qui serait perplexe quant au dernier vers "corolle sous la mousse..." je leur suggère de se référer au tableau de Courbet "l'origine du monde" qui ne manquera pas de leur donner une clef.
Merci encore à tous.

Ps : Ludi vous m'avez encore fait pisser de rire par l'humour de votre commentaire