Un grand merci à tous ceux qui ont donné une appréciation sur ce texte.

J'ai été agréablement surpris par le nombre et la qualité de commentaires.

En tout premier lieu, je tiens tous à vous rassurer, je ne parle pas de moi dans cet écrit.

Il s'agit d'une réflexion sur l'être humain qui m'a été inspirée par un excellent sonnet de Gérard de Nerval qui s'intitule Épitaphe où la chute est : « Il s'en alla disant pourquoi suis-je venu »

Je félicite Socque et Condremon qui ont relevé ce point là.

* Le titre :
Je suis totalement en accord avec toi Alex (merci pour ton comm), ainsi que tous ceux qui ont relevé certaines contradictions à ce propos, il est mal choisi. Merci à toi Pizzicato

* Infiniment obscurs :
merci pour ton comm Hananke. J'ai voulu associer « infiniment » dans une seule entité, comme il l'est dans l'« infiniment grand » ou l'« infiniment petit ». Cela me semblait à propos dans le contexte mais apparemment raté car vous êtes nombreux à l'avoir souligné : Robot, Miguel, merci à vous également.

* Répétitions de 'voir' :
Merci à toi Chêne. Je m'étais posé la même question sans être capable de la résoudre.
Mais tu as raison.

* Croquer un quart de Lune :
Merci Socque pour ton comm.
Pour moi, croquer …..... quand il s'agit de peindre un ciel profond est une vision à courte distance, mais j'admets que cela puisse être considéré différemment.

Je remercie Merseger, Tizef, Leni, Beaufond, Brisemarine, Arielle, Fugace, Pimpette, Wan, Ideloane, Lhirondelle, Brab et Widg pour la gentillesse de vos commentaires, et je te promets Widj que tu appréciera mieux mon prochain texte que celui là: c'est écrit dans les cieux....

Merci à tous