Bonjour à tous.

Comme de coutumes, un grand remerciement au comité de lecture
d'avoir accepté ce texte et aux lecteurs commentateurs de s'être
attardé quelque peu sur mes rêveries hiémales.
L'hiver est tellement long en Nivernais qu'il finit par devenir pesant.
Jamais d'excès non plus, peu de neige, peu de froid, un peu de pluie
mais une éternelle grisaille persistante.

A Ioledane : je n'ai jamais fait de la richesse de la rime une priorité.

A PIZZICATO : une personne triste l'hiver uniquement.

A Pimpette : merci de vos compliments et regards sur ce poème.

A Alexandre : Oui, effectivement ça doit souffler en ce moment
en Bretagne.

A tizef : Oui, bien sûr un texte exclusivement de saison.

A Senglar : comme j'aimerais posséder l'imagination de Jules Verne !
dont les romans enchantèrent ma jeunesse.

A fugace : les voyages finiront avec l'arrivée du printemps.

A Sansonnet : les parcours de la rêverie sont imprévisibles
et ne possèdent point de panneaux directionnels.

Encore merci à vous et bonne journée.

Hananké

Bonjour Beaufond et merci de votre passage sur ce petit texte.

Quelques réponses cependant :

Ce il n'aura a été créé pour changer du JE trop nombrilique
avec raison à certains :
Je n'aurai donc jamais, etc... c'est bien de moi qu'il s'agit.

Au centre du pays français pour situer ma régi-on.L'application
de la synérèse à région est une étourderie de ma part, je m'en suis
aperçu trop tard, j'ai demandé à ce que le mot soit changé pour
terroir mais encore une fois trop tard.

Je n'aime pas trop non plus l'élision des articles mais je trouve
qu'elle passe mieux en octo.
Le savoir d'un mot, aboulique en l'occurrence, est à la portée
du moindre clic.
Effectivement je pratique l'octo sans respecter le e à la césure,
cela donne un peu de liberté sans nuire pour autant au rythme.

Merci d'avoir aimé la fin qui est un rajout au poème originel.

Bien à vous et bon dimanche.

Hananké