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Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Expert Onirien
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Je remercie le CE d'avoir accepté ce texte dans le catalogue, et souhaiterais remercier personnellement chacun d'entre vous, qui avez laissé un commentaire sur le texte.

Juste d'abord un petit éclaircissement.
Non, je ne vais pas commenter mon propre texte, je m'y refuse.
Juste un éclaircissement sur l'origine de ce texte pour dissiper des lectures de son début qui ne me semblent pas tout à fait pertinentes. J'ai voulu rendre hommage à une femme, pour laquelle la lecture et l'écriture étaient essentielles dans sa vie. Des problèmes oculaires sont survenus, au point qu'elle a craint une cécité complète. Ses troubles ont commencé, lorsqu'elle s'est aperçue, un matin, que les mots qu'elle voulait lire prenaient un air "bizarre", un air penché. D'après son témoignage, c'est la lettre E qu'elle a d'abord vu se pencher, comme si elle était écrite en italique, puis toutes les autres lettres ont pris cettte allure dans sa vision. Tout a commencé par ce trouble sur la lettre E, je n'ai pas voulu opérer une analyse savante sur la "morphologie du langage" comme dit Ludi, mais tout simplement, j'ai exprimé cet étonnement, cette surprise, que tout ait commencé par cette petite lettre qui n'a l'air de rien, que l'on entend à peine, qui est si discrète, ( ce que tout le monde, sans être savant, peut remarquer ), que tout un monde a commencé de s'effondrer à partir de ce E ,que des conséquences si graves pouvaient partir du gentil petit E qui ne voulait plus se tenir droit.
Cette histoire d' E, j'en ai fait une poésie, non une étude morpho-linguistique !
Le reste est en grande partie imaginaire, à l'exception bien sûr des émotions exprimées.





RB :
Merci d'abord, RB, pour le passage cité sur Rimbaud, tout à fait intéressant.
Merci ensuite d'avoir souligné que le souci premier du texte n'a pas été celui du sens, j'ajouterai : sans l'avoir complètement négligé toutefois. Oui, une pensée de l'émotion, une pensée des images, de leur beauté, de leur expressivité, plutôt qu'une soumission à la logique.
Merci enfin et surtout pour votre sensibilité, et je sais pour avoir lu vos textes combien elle est grande. Vous aveez partagé cette tristesse du texte, et cette joie aussi liée à une "essence à vivre", selon votre belle expression que je retiendrai. J'en suis ému. Merci encore RB.

Cat :
Merci Cat. Ce qui me fait le plus plaisir dans votre commentaire, c'est une remarque que vous avez déjà faite à propos de l'un des commentaires que j'avais écrit sur vos textes : " c'est en vous lisant que me vient l'envie de continuer à écrire" ; je suis heureux de ce pouvoir de vous stimuler à écrire, de ce goût renforcé pour l'écriture que vous y trouvez.
Merci aussi Cat pour votre sensibilité aux images, et de leur avoir trouvé une beauté.

Tizef :
Merci à toi, Tizef, le poète plein d'humour, qui sait mettre de la poésie partout, même dans les endroits les plus insolites..., mais qui sait apprécier aussi la poésie et sa musique quand elle n'est pas gaie.

Francis :
Merci Francis du partage de sensibilité. Heureux d'avoir réussi à illuminer quelque peu un matin gris de juillet.

Eclaircie :
C'est un beau cadeau que votre commentaire, si sensible au sort d'Elise, si sensible aussi aux images et à la musique du texte. Merci Eclaircie.

Diva-Luna :
Votre lecture du texte est tout à fait intéressante, mais j'apprécie plus encore cette sensibilité qui ressort de votre commentaire, et je vous en remercie chaleureusement.

Myndie :
Merci beaucoup, Myndie, pour toutes ces louanges. J'espère ne pas vous décevoir dans de prochains textes et avoir le plaisir de commenter encore vos poèmes.

Olivier :
Je suis heureux si le texte a été pour vous une "drogue"qui vous a fait du bien. Derrière cette apparence de plaisanter toujours, vous masquez en vérté une belle sensibilité. C'est vous que je remercie pour le partage.

Robot :
Heureux vraiment que ce texte vous ait plus, et que vous ayez vu en lui de la beauté. Merci beaucoup du partage.

Léni :
Merci à vous pour ce commentaire sensible. Que ce texte ait réussi à vous toucher, j'en suis vraiment heureux.

socque :
Je ne suis pas d'accord avec votre lecture. Vous lui avez trouvé un ton "sentencieux", en prenant pour exemple, ce qui m'a beaucoup surpris : " Tu as trouvé une sérénité, Elise, certainement, tu as dû la trouver". Il n' y a là aucune expression d'une "sentence", aucun ton "condescandant" ou "professoral" par lequel il s'agirait de dire à Elise : voilà ce que tu as trouvé, et moi je sais mieux que toi ce que tu as trouvé ! .Il me semblait évident que par cette phrase le narrateur exprime un espoir, un espoir inquiet, incertain, d'où le "certainement" pour essayer de s'en convaincre, l'espoir qu'elle ait trouvé cette sérénité. Si cela n'est pas aussi évident qu'il m'a paru, peut-être faut-il changer la tournure de l'expression, mais en aucun cas, il n' y a "condescandance", ou même prétention. Il n'y a qu'une seule "prétention" dans le texte : essayer de dire le mieux possible ce qui est éprouvé, et d'être à la hauteur de l'hommage que j'ai voulu rendre à une femme pour laquelle la lecture et l'écriture étaient essentielles dans sa vie.
Je n'ai pas su vous émouvoir dans ce texte, je ne désespère pas d'y réussir dans d'autres...
Merci socque d'avoir fait l'effort de ce commentaire. Mais je préfèrerais que vous ne commentiez plus pour "remerciements" mais seulement par intérêt pour un texte.
Merci encore.

Raoul :
Merci Raoul. Mais non, le texte n'est pas truffé de références littéraires cachées, en dehors de la référence évidente à Rimbaud. Non, non, je n'ai pas voulu y mettre des "tiroirs", seulement de la musique, des images, une recherche du beau, une expression des émotions.

Margueritec :
Merci d'avoir été sensible à la musique du texte. Merci de ce partage.

Jaseh:
Merci beaucoup Jaseh. Votre commentaire n'est pas "mièvre". Il ressort une belle sensibilité et de vos textes et de vos commentaires.

Widjet :
Eh bien, j'espère que vous trouverez l'occasion de vraiment lire le texte ! Trop d'adjectifs, trop d'averbes, distes-vous. Peut-être, mais il me semble plutôt que cette abondance est liée au style que j'ai adopté, et que la musicalité des phrases l'a exigée. Pas sûr que dans ce texte ils soient vraiment en "trop". Il y a néanmoins un défaut en général à éviter de ce côté, et j'y veillerai dans les prochains textes.
Merci d'avoir laissé quelques mots, même si le texte ne vous a pas emporté.

Lyl_Mystic :
Merci à vous pour le partage. Merci de ce commentaire pour un texte qui ne vous a pas paru dénué de qualités, bien qu'il ne vous aie pas touchée.

Arielle :
Un peu trop "emporté par l'amour des mots", oui, peut-être ; un texte un peu "trop écrit", peut-être aussi. Je méditerai tes remarques.
Merci Arielle d'avoir laissé un commentaire.

Edgard :
Le texte ne vous a pas emballé, c'est sûr !
Il ne me semble pas incompréhensible, pourtant, même si je m'y suis patiellement délivré de la logique...
Merci tout de même d'avoir laissé un commentaire et une incitation à plus de clarté.

Lulu
Merci d'avoir été sensible au côté musical et "chantant" du texte. Merci du partage.

Lotier :
Votre commentaire est lui-même un poème. Il m'a touché, il m'a ému. Merci.

Ludi
Merci d'avoir commenter ce texte alors même que tu n'apprécies pas la prose poétique. Pour ma part, j'aime le mélange des genres, je n'aime pas les frontières étanches, en particulier celles entre prose et poésie. J'aime moins quand la poésie se laisse pénétrer par la prose ( non, je ne parle pas d'un viol ! ) mais j'aime quand la prose se laisse pénétrer par la poésie. Affaire de goût.
D'autre part, il n'était aucunement dans mon intention de délivrer une leçon de "morphologie du langage", je ne suis pas un spécialiste pour cela. Je m'en explique au début de ces remerciements.
Merci encore pour ce commentaire.

Contribution du : 08/07/2014 17:04
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Visiteur 
Merci de votre compréhension, Louis ! Oui, nos lectures divergent, il est clair que l'impression que j'ai ressentie n'est pas dans l'esprit que vous avez voulu donner au texte... Ce qui montre une fois de plus, me semble-t-il, qu'une fois donné à lire un texte n'appartient plus complètement à son auetur ; il va vivre sa vie comme un enfant quitte le domicile de ses parents.

En tout cas, je retiens ceci :
Citation :
Mais je préfèrerais que vous ne commentiez plus pour "remerciements" mais seulement par intérêt pour un texte.

J'avais effectivement commenté par devoir, pas par envie. Cela ne doit pas être une bonne idée.

Contribution du : 08/07/2014 17:31
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Visiteur 
Cher Louis,

La vie est un drame en soi et l'époque que nous traversons actuellement est une catastrophe. Ne pas avoir d'humour pas les temps qui courrent peut être très dangereux pour la santé.
Je tiens cependant à vous rassurer que je ne suis pas non plus le bouffon du roi et que je sais parfois être très sérieux et taper du poing (sur la table et ailleurs s'il le fallait).
Merci pour vos quelques mots plein de tendresse à mon égard.

Olivier

Contribution du : 09/07/2014 09:54
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Visiteur 
Citation :
Louis : Merci d'avoir commenté ce texte alors même que tu n'apprécies pas la prose poétique....J'aime quand la prose se laisse pénétrer par la poésie. Affaire de goût.


Cher Louis,

Tout d’abord une précision. Mon jugement sur la qualité d’un texte est toujours indépendant de mes goûts catégoriels. Je déteste la SF, mais je me vois mal insulter tous les matins un nouvelliste en lui crachant à la figure mon mépris pour le genre. Si je décide malgré tout d’intervenir, ici dans la catégorie « Poésie en prose », je fais totale abstraction de mes à priori et j’entre dans le jeu que me propose l’auteur, en respectant scrupuleusement les règles. Alors, oui, tous les goûts sont dans la nature, c’est d’ailleurs la première condition du débat.

Ton commentaire me conforte dans mon appréhension de ton texte, et me donne l’occasion de le « critiquer » davantage. Et je crois avoir trouvé des raisons supplémentaires à mon embarras.
Lorsque je lis ou écris un texte, la première question que je me pose est : Qui doit être le narrateur ?
Ici, le personnage d’Elise est présent dans toutes les scènes. Le narrateur ne nous apprend aucun fait, je dis bien « fait », qu’Elise puisse ignorer. Elle voit les lettres se déformer, elle visite le moulin, elle se rend au marché, etc... D’ailleurs, la plupart du temps, on comprend bien que c’est elle qui s’exprime à travers la voix du narrateur. Tout le passage, par exemple, sur les jours de marché, traverse bien la conscience d’Elise. On voit bien que c’est elle qui parle.

A quoi a donc servi ici un narrateur extérieur, si ce n’est à développer son point de vue sur le déclencheur de l’histoire, l’instant où Elise découvre les premiers symptômes de la cécité, partielle ou totale. C’est ce fameux deuxième paragraphe, où le narrateur, jouant d’un double pouvoir assez surprenant de récepteur/transmetteur, se permet à la fois de « recevoir » la parole d’Elise (« Une histoire d’e par où tout commence...presque transparent ») et de lui expliquer ce qu’elle voit (« Vois, il sort du rang, indocile...Vois, son allure penchée...). Et c’est bien là où j’ai décroché de l’histoire, dans ce passage de témoin narratif entre un corps vivant qui souffre (Elise), et un narrateur de substitution, qui en intellectualisant un monde subjectif où les lettres auraient une vie, place cette vie au-dessus de celle d’Elise. Dans tout ce paragraphe, je pleure sur la vie du e et des autres lettres, mais jamais je ne parviens à remonter jusqu’à Elise.

Alors, tu sais ce que j’ai fait, Louis ? J’ai tué ton narrateur, je lui ai donné l’adresse d’une chaire universitaire, et j’ai rendu la parole à Elise. Maintenant c’est elle qui parle. Maintenant elle dit Je. Et là, crois-moi, ce qu’elle a à dire devient exceptionnel.

Ludi
subjugué par la nouvelle Elise

Contribution du : 09/07/2014 11:45
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Expert Onirien
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Ce que tu proposes, Ludi, c'est de faire parler Élise à la première personne, et de "tuer" le narrateur ou de l'envoyer se faire voir chez les universitaires. Je crois que cette façon de procéder devrait permettre effectivement un bon texte, mais aussi, il me semble, un "autre texte", assez différent, et peut-être as-tu raison, un texte meilleur.

Je n'ai pas franchi le pas, et n'ai pas osé me mettre tout à fait "dans sa peau", à Élise. Mais il me semble qu'il y a quand même un intérêt à conserver le narrateur extérieur. Il a pour fonction d'inciter le lecteur à une empathie avec elle. Quand le narrateur dit : "vois" ( "vois comme ça commence..." etc.), il ne s'adresse pas à Élise, qui sait très bien, elle, comment ça commence, mais au lecteur. Le tort du narrateur est peut-être de s'adresser tantôt à Élise, tantôt au lecteur pour lui faire partager le regard de cette femme, pour voir comme elle voit, pour voir comme elle ne voit plus, pour vivre ce qu'elle vit.
Je me demande si l'une des raisons pour lesquelles le texte a tant ému les lecteurs sur Oniris, et d'autres qui ont pu le lire ailleurs, n'est pas justement dans le rôle joué par le narrateur. Je me demande si son intervention émue, incitant à l'empathie, n'accroît pas l'émotion que peut produire le texte.
Mais je retiens ta suggestion, et j'essaierai d'écrire, comme tu le proposes, un autre texte qui fera parler Élise, pour me rendre compte de l'effet.
Un grand merci, Ludi, pour tes suggestions constructives, pour tes conseils avisés, et surtout pour cet échange littéraire amical que tu entretiens avec les auteurs sur Oniris. J'en suis touché. Merci encore.

Contribution du : 09/07/2014 19:10
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Visiteur 
Ce que je retiens, Louis, c'est que ton texte a ému beaucoup de lecteurs. C'est donc qu'ils y ont trouvé une forme et un fond adaptés à l'histoire. Le reste n'est qu'un "échange littéraire amical" qui prouve au moins que la matière était suffisante. Mais je suis preneur, même à titre privé, d'une narration adaptée à la première personne. J'ai relu ton texte, et ma sensibilité réclame Elise.

En tout cas bravo pour le contenu très riche de tes textes. Il y a toujours quelque chose à en retirer.

Amitiés
Ludi

Contribution du : 09/07/2014 19:32
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Visiteur 
Citation :
Louis : Quand le narrateur dit : "vois" ( "vois comme ça commence..." etc.), il ne s'adresse pas à Élise, qui sait très bien, elle, comment ça commence, mais au lecteur.

Le début du paragraphe :

" Une histoire d’e, par où tout commence.
Non par un o claironnant, mais par un e, d’ordinaire si discret, si gentil, un e blanc, si souvent muet, un e blanc, presque transparent. Vois : il sort du rang, indocile. Il ne se tient plus au garde-à-vous, bien droit, que lui arrive-t-il ? Vois : son allure penchée, ridicule. Vois comme il est suivi par les L, comme il entre en dissidence, comme il entraîne les autres, ses acolytes et complices, dans sa révolte et son insoumission.
"

Si effectivement le narrateur s'adresse au lecteur, ça devient tout de même un peu compliqué ou tarabiscoté. Comment le lecteur pourrait-il voir les lettres telles que tu les décris ? C'est comme si tu lui disais : "vois ce cancer qui te ronge", sous prétexte que tu lui parles d'une malade atteinte du cancer... Non, décidément je ne suis pas très convaincu du procédé narratif.
Bon, allez, j'arrête.

Amitiés
Ludi

Contribution du : 09/07/2014 21:40
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
Visiteur 
Citation :

Louis a écrit :
Je me demande si l'une des raisons pour lesquelles le texte a tant ému les lecteurs sur Oniris, et d'autres qui ont pu le lire ailleurs, n'est pas justement dans le rôle joué par le narrateur. Je me demande si son intervention émue, incitant à l'empathie, n'accroît pas l'émotion que peut produire le texte.


Louis, c’est bien ainsi que j’ai abordé votre poème. L’hommage à Elise où j'ai vite pris place sur votre époustouflante envolée.
J’ai fortement ressenti le vent de liberté dans lequel vous vous êtes engouffré, ressenti jusqu’à l’ivresse suprême la beauté de votre prose.

Je réitère ici encore : oui, vous lire renforce à chaque fois cette envie folle de prendre la plume, ne serait-ce que vous entendre la développer avec autant de talent. :))

Merci encore pour tout cela.

Cat
A vous relire encore…

Contribution du : 10/07/2014 11:39
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Re : Remerciements pour Il faut voir, c'est dans son regard
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à Uranie76
Merci à vous, Uranie, pour vos commentaires de Il faut voir, c'est dans son regard et A point nommé ; merci pour votre belle sensibilité, qui se perçoit aussi dans les commentaires que vous faites des textes d'autres auteurs.
J'espère pouvoir vous lire bientôt, je ne doute pas que vous saurez nous offrir de beaux textes de qualité.
Encore merci.

Contribution du : 19/07/2014 23:49
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