Merci au CE qui a bien voulu inscrire ce texte au catalogue
Merci à Margueritec, Robot et RB qui lui ont permis de sortir de la salle d'attente.
Merci à tous ceux qui ont pris le temps de le commenter et que j'ai remerciés par MP

Bien que posté en « Poésies », ce texte n'a aucune prétention « poétique ». Je ne suis pas un poète, seulement un raconteur d'histoire avec un petit savoir-faire en versification.

De par sa concision et sa structure, le sonnet se prête à merveille à la création d'une nouvelle en vers. Il permet de découper l'histoire en séquences, un peu comme dans un film ou une BD. Charge à l'auteur de trouver des expressions qui causent à l'imaginaire du lecteur pour pallier l'absence d'images matérielles.

L'idée de cette histoire part d'un fait vécu... en 1980. Je vivais à Molène et je fis partie de l'équipe qui est allée constater sur Bannec la présence d'un demi squelette signalé par un pêcheur à pied. Il portait un short en nylon bleu (pas le pêcheur, le squelette). Les gendarmes l'ont emporté et ont vite classé l'affaire.

J'y ai repensé une trentaine d'année plus tard et inventé cette petite histoire.

C'est un boulot passionnant mais très chronophage et je sais gré aux oniriens qui me font savoir que ce texte leur a fait passer un bon moment.

@Louis
Je viens de relire ton commentaire, plus savoureux que le plus savoureux des nectars.
Tu as tout compris. Comme d'habitude.

Mes squelettes n'ont rien de funéraire. Ils sont plutôt frères (ou sœurs) de ceux que Saint-Saens fait danser au son du violon ou de Martin, celui du collège des "Disparus de Saint Agil"
Comme tu le dis si bien, ce sont des squelettes "en bonne santé"

Le personnage d'Yffig est inspiré de ces citadins qui ont choisi de vivre dans les "îles du Ponant" comme d'autres en Ardèche ou dans le Larzac.

Merci Louis. Tu n'imagines pas le bien que m'a fait ton commentaire.