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Greffon
Chevalier d'Oniris
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Un grand merci à ceux qui ont sélectionné mon poème et ont décidé de l'inclure dans le catalogue du site.
Merci à toutes et tous qui ont pris la peine de lire mon poème et à ceux qui l'ont commenté.

@ Myndie
Vous avez écrit :
[…] C'est bien écrit. C'est clair et explicite. Trop peut-être.
Je n'ai pas détecté l'once de magie dont j'ai besoin pour me laisser emporter sur ces « papillons » que sont vos mots.
Je n'ai pas senti l'émotion passer.
J'en suis désolée.


À vrai dire, je lis parfois des poèmes libres sur-imagés, tant et si bien que l'essence de ce que l'on veut dire peut être tellement masquée que l'on se trouve dans un jeu de devinettes.
Les images abstraites sont agréables si l'environnement l'impose.
Pourquoi employer des images acrobatiques quand le but n'est que de transmettre un moment de joie intense, une union sacrée, alors que l'on peut le faire avec des images claires et explicites ? Aussi longtemps que l'on ne tombe pas dans la simplicité, pourquoi ne pas utiliser un langage clair ?

Je vous remercie d'avoir pris la peine de lire mon poème et de l'avoir commenté.
C'est moi qui suis désolée de n'avoir pas réussi à vous offrir cette magie dont vous avez besoin.


@ Colinede
Ce poème m'a évoqué l'adoption d'une enfant noire... je suis peut-etre complètement à coté de la plaque, mais j'ai ressenti beaucoup de douceur et d'amour dans ce texte tout simple et plein de charme.
(désolée pour les accents, je ne maitrise pas l'instrument...)


Si mon poème évoque en vous "l'adoption d'une enfant noire", je ne peux qu'être satisfaite, puisque dans ce poème, je parle d'une douceur et d'un amour inconditionnels.
J'avoue que je lis très souvent des textes compliqués et que j'ai moi aussi tendance à y donner un sens différent de la pensée originelle de l'auteur.
Tout auteur apprécie que sa création puisse évoquer d'autres pensées.
Merci beaucoup !

@ RB
Je vous remercie beaucoup pour ces compliments qui me font très plaisir.

Vous avez écrit :
[…] L'incipit, si précieux, contient la clé, l'image magnifique : deux compléments d'objets directs.

Oui, cette fonction grammaticale française, "complément d'objet direct", m'a toujours intriguée à cause du mot "complément". Un mot qui décrit si bien une dépendance obligatoire et qui me fait penser à deux personnes qui se complimentent réciproquement, sur un pied d'égalité, comme si elles faisaient parties d'une phrase avec deux COD et sans sujet.
Oui, vous avez raison. En effet, cela détient la clé de ce texte. C'est ce dont je parle : se réjouir dans la soumission ! Ce que l'on ne peut trouver que dans le véritable amour.
Je constate que vous avez compris ce que je voulais dire et cela me réconforte.

@ Hellian
Votre commentaire me dérange beaucoup à cause de la langue que vous employez.

J'ai toujours de la réticence à l'endroit des poèmes confusionniste, je veux dire ce qui présente la relation amoureuse entre deux êtres comme symbiotique. Ici, nous sommes au paroxysme de la proposition puisque la métaphore jardinière, filet jusqu'au bout, présente la narratrice comme une excroissance végétale de son partenaire.

Et je fais abstraction de toutes vos fautes d'orthographe et de "c'est deux verres".


@ Uranie76
Vous avez écrit :
[…]Avant toute chose, je me suis posée la question quel type de lien lie le greffon au porte-greffe. Et selon mon angle de lecture, le poème change d'intérêt du tout au tout à mes yeux s'il décrivait une filiation, un lien de parenté. Dans quel cas j'applaudirais l'originalité avec exaltation, dans le second, celui d'un lien amoureux, je commenterai après vos explications […] je n'arrive pas à me défaire de l'image d'une fille qui écrit à son père, ou son pays à la rigueur (dans une moindre mesure), sans que je ne voie nulle part de lien amoureux entre amants comme l'a suggéré.

Je suis un peu étonnée que mon poème d'amour évoque cette image d'une fille qui écrit à son père ou à son pays. C'est peut-être à cause de mes derniers poèmes, surtout mon "Poisson blanc aveugle".
Mais ce n'est pas grave. Regardez ma réponse à Colinede mais aussi aux autres commentateurs.



Purana

Contribution du : 17/08/2014 01:08
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Re : Greffon
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@Purana : Croyez moi, je suis la première à être navrée si ma première lecture est à cent mille lieux de ce que vous voudriez exprimer. Je vous ai étayé pourquoi j'avais l'impression de lire des rapports de fille et de père, et pourquoi je m'abstenais dans le doute de commenter réellement et plus en profondeur.
En comparant mes deux lectures : amants/père et fille, je me suis rendue compte que je ne vibrais pas dans la deuxième lecture suffisamment pour m'imprégner de ce texte comme il le mérite, ça ne m'empêche pas d'apprécier tout ce que j'ai retrouvé de vous dedans, et je reste impatiente de vous lire encore.

Que de beaux rêves se greffent à votre nuit

Contribution du : 17/08/2014 03:06
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Re : Greffon
Maître Onirien
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31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
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Bonjour Purana

Je suis désolée de vous avoir déçue sans doute; comme Uranie, j'ai trouvé votre texte bien écrit (je vous l'ai dit) mais je n'ai pas réussi à m'imprégner du texte suffisamment pour "vibrer" comme je m'y attends toujours.
Je crois que c'est simplement une question de feeling, une relation subtile entre le poème et son lecteur, quand l'un se refuse à l'autre ou que l'autre ne s'ouvre pas suffisamment...

Moi aussi je souhaite vous lire à nouveau


myndie

Contribution du : 17/08/2014 09:14
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"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
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Re : Greffon
Chevalier d'Oniris
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Bonjour à toutes et tous,

Plus je relis vos commentaires plus je suis intriguée par les images différentes que je semble avoir évoquées en vous par mon humble poème d'amour.

J'ai essayé d'analyser ce phénomène.
Je ne peux que conclure qu'après tout nous parlons de la même chose : l'amour inconditionnel !
Un amour inconditionnel qui donne sans attendre la récompense existe / doit exister dans une relation mère-enfant (Diva-Luna), père-enfant (Uranie) l'adoption d'une enfant noire (Colinede)* / fille-son pays (Uranie). Dans ce scenario, l'amour peut continuer sans qu'il soit réciproque.

Cependant, dans la dernière strophe, mais également dans le texte de présentation (RB) se trouve la clé : une relation amoureuse inconditionnelle et réciproque !
Un amour qui théoriquement, peut durer toute la vie; un sentiment que l'on éprouve surtout dans les moments d'exaltation.

Ce scénario n'est pas toujours apprécié de nos jours. On ne peut pas vibrer à l'évocation de cette description de l'amour. ([b]Uranie[/b], Myndie, Diva-Luna ??).
Peut-être parce qu'il peut évoquer une sorte d'étouffement, de perte de sa dignité qui suit la perte de sa liberté.


Un jour, j'ai envoyé une carte de Noël à mon prof préféré :
"Mon très cher prof, Je vous souhaite tout le bonheur du monde, c'est-à-dire une année pleine de santé, d'amour et de liberté !".
Il m'a répondu : "Bonne année à toi aussi petite Purana, mais sache que l'amour et la liberté totale ne peuvent jamais exister ensemble. Il faut choisir car dans une vraie relation amoureuse, on ne peut pas toujours faire ce que l'on veut.

N'est-il pas vrai que c'est dans la sujétion à l'amour que l'on peut trouver la liberté dont on a toujours parlé à propos de l'amour pour son Dieu ?


* @ Colinede
En vous relisant, je me demande pourquoi vous parlez de "l'adoption d'une enfant noire" et pas simplement de "l'adoption d'une enfant" ?


Diva-Luna a écrit :
[…] depuis hier je n'arrive pas à exprimer mon ressenti sur votre poème, j'ai comme un blocage […]

Merci Diva-Luna pour votre commentaire que vous avez fait malgré ce blocage.
Désolée d'être la cause de cela.



Purana


Contribution du : 17/08/2014 17:26
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Re : Greffon
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@Purana : vous êtes éloignée du pourquoi de mon commentaire : Je n'ai pas été influencée par votre premier poème, ou pas consciemment et pas tant que ça, je ne l'avais pas à l'esprit, et non je ne me pose pas la question de la liberté en amour, du moins pas ainsi. Je suis pétrie d'une liberté que rien ni personne ni aucune passion n'a pu entamer, aussi tout me porte à croire qu' en amour on la perd que si on est prêt à la perdre.

Depuis hier, je n'ai pas cessé de penser à votre poème, et de nos interprétations à la fois éloignées de ce que vous vouliez exprimer, et en même temps allant dans un même sens pour nous trois trois, finalement des femmes.

Aussi, j'ai le culot de me demander si vous avez des enfants Purana (sans indiscrétion aucune) et si Myndie, Diva sont autant mamans que je le suis, je comprendrai un peu (ça n'explique pas tout) le fait d'y avoir vu l'expression de la maternité/paternité fusionnelle.

Ce serait grossier et présomptueux de croire avoir toutes les clés, de tout saisir même dans mes propres réactions, mais je peux supposer que mon vécu de passions amoureuses, même dans leur multiplicité, ne m'offre aucune base, aucune fibre pour comprendre et vibrer à ce genre de passion telle que vous l'avez décrite. Seul mon amour de mes enfants s'en rapproche. Entre un homme et une femme elle m'est insolite, je l'avoue.

Puisque vous me le demandez et j'aime voir des auteurs avoir des réponses étoffées s'ils me le demandent, quand je suis insensible à leur oeuvre, aussi je vais essayer de décortiquer ma position, ce qu'il m'inspire ce poème avec toute l'exactitude qu'il m'est possible d'avoir et de donner :

Le greffon sur un être aimé implique un être qui (sup)porte un autre dans ma tête, ce que je n'ai pas vécu ni dans un sens, ni dans l'autre (je ne dis pas que c'est bien, ou c'est mal, c'est un fait, un constat). Mes passions les plus fusionnelles (mes références qui me permettent de vibrer ou pas), c'est celles où il y'avait le plus de distance paradoxalement, et cette image de Khalil Gibran Khalil résume un peu mon vécu de ces passions :


Oui, vous serez ensemble jusque dans la silencieuse mémoire de Dieu.
Mais qu’il y ait des espaces dans votre communion,
Et que les vents du ciel dansent entre vous.


Aimez-vous l’un l’autre, mais ne faites pas de l’amour une entrave ;
Qu’il soit plutôt une mer mouvante entre les rivages de vos âmes.

Emplissez chacun la coupe de l’autre
Mais ne buvez pas dans la même coupe.
Partagez votre pain
Mais ne mangez pas de la même miche.
Chantez et dansez ensemble et soyez joyeux,
Mais demeurez chacun seul,
De même que les cordes d’un luth sont seules
Cependant qu’elles vibrent de la même harmonie.
Donnez vos coeurs,
Mais non pas à la garde l’un de l’autre.
Car seule la main de la Vie peut contenir vos coeurs.

Et tenez-vous ensemble, mais pas trop proches non plus ;
Car les piliers du temple s’érigent à distance,
Et le chêne et le cyprès ne croissent pas dans l’ombre l’un de l’autre.



Autre chose qui m'éloigne de la fusion amoureuse telle que vous l'exprimez : votre poème a une saveur de toujours (jusqu'à la mort) qui n'a pas rimé avec amour chez moi depuis l'adolescence, j'ai vécu après lucidement, sereinement, même dans la folie inhérente à la passion, en acceptant au fond de moi que la fin pour chaque histoire soit quasi-inéluctable. Je ne l'ai pas fait par sagesse mais pour me protéger et de bien vivre ces fins : un femme avertie en vaut deux, comme accepter que la mort soit partie intégrante de la vie nous permet de vivre plus sereinement et notre vie et notre mort.

J'espère que que je vous ai orienté Purana pour comprendre pourquoi je n'ai pas vibré, personnellement, laissant le soin aux autres d'expliquer leur ressenti propre à elles.

Contribution du : 17/08/2014 18:38
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Re : Greffon
Visiteur 
Je voudrais vous dire Uranie qu'il y a d'autres notions de l'amour que la vôtre exprimée à l'argument de celle de Gibran.
Elle me paraît, je vous l'avoue, stupide. On y parle de "vivre" ensemble comme deux êtres antinomiques, à la limite nuisibles l'un à l'autre.
"Et le chêne et le cyprès ne croissent pas dans l’ombre l’un de l’autre."
Seule cette "liberté" permettrait de vivre "d'amour"...

Pardonnez-moi mais j'ai une autre démarche par rapport à ce qu'est cette merveilleuse faculté de deux êtres de connaître d'abord la passion, ensuite le sacrifice progressif et réciproque d'une foule de choses que l'on croyait "inacceptables" au travers du quotidien (à travers l'échange et souvent la confrontation), la volonté commune de se créer un futur qui transforme l'amour en tendresse, sentiment extrêmement profond qui conduit à l'acceptation de la mort (voir le poème de Agueev...).
Je ne souhaite pas en dire plus.

Contribution du : 17/08/2014 18:53
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Re : Greffon
Visiteur 
Je voudrais, à ce titre, vous raconter une phrase de ma maman dite lors de notre adolescence (nous étions 5 enfants assez "rapprochés") :"il va arriver des moments où vous ne serez pas d'accord avec votre papa, et cela va générer des conflits; quoique je puisse en penser, sachez que c'est avec lui que je souhaite terminer mes jours, vous partirez et ferez votre vie... je serai de son côté même contre mon coeur".
Dites ce que vous voulez, mais j'ai reçu, ce jour-là une grande leçon d'amour et cela m'a beaucoup aidé à y aspirer et à le construire.

Contribution du : 17/08/2014 19:02
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Re : Greffon
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Citation :
Je voudrais vous dire Uranie qu'il y a d'autres notions de l'amour que la vôtre exprimée à l'argument de celle de Gibran.
Elle me paraît, je vous l'avoue, stupide.


@RB : Vous avez mal lu : je ne vous parle pas de théorie, de littérature ou de psychologie, je dévoile pudiquement mon vécu sans que je ne l'aie décidé ce vécu, je dévoile des signes déchiffrant pour elle mon référentiel pour vibrer ou pas à sa vision de la passion que moi je respecte profondément.

Vous savez..quand j'ai entamé ma vie amoureuse, personne n'est venu avec un QCM à la main en me disant "Cochez vos passions telles que vous aimerez les vivre, passez commande, vous avez le choix entre le modèle
-Modèle Tristan et Iseult : très très stupide

-modèle Aragon et Elsa : Moyennement stupide

-modèle Baudelaire et sa Mûlatresse : Stupide

-modèle piscine Loana et chaispuqui : Intelligent.

Il me viendra jamais à l'esprit d'hierarchiser des vécus, encore moins de les évaluer, de les juger, avec un tel épithète.

Quant à moi, que vous n'ayez pas compris la portée de mes mots, ou ceux de Gibran, je respecte cet état de fait, j'ai juste espoir que Purana (dont je ne parle pas de ses amours mais uniquement de son poème) aie compris la portée de mes mots.

Contribution du : 17/08/2014 19:06
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Re : Greffon
Visiteur 
Comme vous le souhaitez...
Vous aviez écrit ceci pourtant : "Mes passions les plus fusionnelles (mes références qui me permettent de vibrer ou pas), c'est celles où il y'avait le plus de distance paradoxalement, et cette image de Khalil Gibran Khalil résume un peu mon vécu de ces passions :..."

Le discours de Sait-John Perse dans l'autre forum dit d'ailleurs la même chose de ce que je pense de l'élan "poétique", jamais éloigné de celui de cette chose aussi mal comprise que la poésie : l'amour.

Mais c'est un débat dans lequel je ne souhaite pas entrer.

Contribution du : 17/08/2014 19:14
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Re : Greffon
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Mais RB, sincèrement je ne vous comprends pas..Débattre c'est entrechoquer des idées pour enrichir nos visions des choses, mais supposons que j'aie l'envie de livrer à quelqu'un ma vie (je ne m'épanche jamais à ce sujet même envers des amis proches), Je suis curieuse de savoir-pour vous- qu'est ce qu'un quelconque débat pourrait enrichir dedans? ce sont des faits établis, des histoires consommées que je n'ai pas décidé de vivre: je les ai vécues, telles qu'elles, très belles, très intenses, très fusionnelles, intimes, indicibles, "indébattables"..(permettez moi ce néologisme de mauvaise facture)

Et encore, ces passions là, puisque nous évoquons celles-ci, elles sont ardues à mettre les mots dessus sans avoir recours pour moi à au moins une poésie en prose. Elles sont à vivre plus qu'à écrire, ou à figer..je reste souvent incapable de les décrire, juste à en reconnaître quelques reflets, ici ou là.

Contribution du : 17/08/2014 19:28
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