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Sur A une bonne soeur", de Godetia |
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Maître Onirien
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15/12/2010 11:48 De Pézenas, France
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Il y a de malheureuses femmes violées, à qui l'on impose des rapports, et d'autres qui, par une sorte de juste retour des choses, par leur voeu de chasteté, imposent le renoncement à leurs amoureux potentiels. Celui-ci du moins choisit de rester sage, et n' a rien à voir avec ce journaliste espagnol républicain, charmant ami des droits de l'homme et apparemment plus encore de la femme, qui écrivait ceci : "Forcez les portes des couvents, troussez les robes des novices, et élevez-les au rang de mères." Ah, qu'en termes galants ces choses-là sont mises ... Il n'en voulait d'ailleurs qu'aux novices, en véritable épicurien.
Pour finir sur une note plus plaisante, on pourra rechercher ce poème d'André Pieyre de Mandiargues, sur le même thème que celui de Godetia, où il rêve, dit-il aux soeurs, de déverser "mon trop plein dans votre trop vide".
Contribution du : 29/12/2014 20:44
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