Bonjour !

Je me suis récemment rendu compte que j'avais omis de remercier les commentateurs de mes dernières publications sur le site, ce qui me paraît hautement impoli, je corrige donc avec un rapide tour de piste du petit dernier :

Wall-E : Merci beaucoup ! Vous avez apprécié la plupart du peu choses que j'avais essayé de mettre en place, et ça me fait très plaisir. Pour la dernière phrase, l'effet est évidemment voulu, même s'il est peut-être malheureux.
J'ai voulu marquer une rupture; dans ma tête l'idée était que le reste soit porté par des vers courts, et fasse un peu "chantant" ou en tout cas rythmé, alors que cette phrase là arrive comme un cheveu sur la soupe. Un peu comme si dans une chanson, la musique s'arrêtait d'un coup et que le chanteur débitait une phrase rapidement et sans mélodie.
Il s'en passe des choses dans ma tête


Eclaircie : Merci beaucoup ! Je suis ravi si mon poème a su être évocateur et visuel

jfmoods : Diable, que de rigueur et de science dans l'analyse de ce modeste patit texte. Croyez moi, il n'en demandait pas tant. Merci beaucoup en tout cas d'avoir pris la peine de vous pencher d'aussi près sur mes lignes !
Et bien vu pour la double lecture; la fin se veut surtout un constat étonné de l'horreur effrayée avec laquelle les gens considèrent la solitude, ultime perversité, et le solitaire, infâme pestiféré. Sûrement quelque chose qui méritera d'être développé dans un autre poème...
(mais ce n'était pas le narrateur qu'on éjectait; ce jour-là, il était bien trop saoul pour être seul !)

Bonsoir Cox,

Merci à vous pour ce poème.

Wall-E