Sensible à vos commentaires, je vous remercie pour les messages d'encouragements et les remarques constructives.
Merci Alexandre pour votre suggestion à propos du premier quatrain.
Je retiens votre proposition qui rend les vers plus fluides.
Monsieur Larivière
La couverture d'un livre de poche m'a interpelé. J'y ai croisé le regard d'Anne et j'ai éprouvé le besoin d'écrire ce sonnet,sans vouloir "surfer sur le compassionnel" ou les fleuves tragiques de l'histoire. En ce qui concerne le contexte historique, je l'ai abordé pendant quarante ans et la plupart de mes élèves n'oublieront pas Anne, Sophie Scholl, Henry Fertet et toutes les victimes du nazisme.
J'ai simplement voulu traduire une émotion que Léni appelle un devoir de mémoire. Ce sujet fut peut-être aussi influencé par le contexte politique actuel.
Merci à vous tous.