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1 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements pour 'Le frère de l'homme' |
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Visiteur
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Merci à tous les lecteurs et aux commentateurs de ce long texte…
Quelques remarques à certains commentateurs : @RB oui l’incohérence, l’absurde m’a semblé la seule réponse à cette quête de sens, mais je ne m’y résous pas, bien que souvent résigné. Peut-être que ce que dit mon texte : « soyons le sens de nous-mêmes » est – longtemps après – toujours ce que j’ai de mieux à me proposer comme programme. @Wall-E, le frère de l’homme c’est lui-même, c’est vrai, le frère ennemi parfois aussi, le demi-frère aussi… et l’arbre bien sûr. @Aveta, deux précisions. L’une peut-être pas très utile, mais bon : la vengeance de la fin du texte fait seulement référence à la volonté de réussir sa propre vie malgré les obstacles – événements ou personnes – qui ont pu rendre le chemin plus difficile, à ceux-là qui… J’ai lu avec beaucoup intérêt votre explication de mon pseudo. Déjà qu’on m’a demandé si ça avait un rapport avec le renard de la fable… En fait Corbivan est une anagramme un peu bricolée de mon nom réel. C’est aussi le nom d’un genre de corbeau. J’avais lu sur Wikipédia que le corbeau est : Citation : Il n’a quasiment jamais été chassé, sauf dans les périodes de grande famine, sa chair étant considérée comme immangeable, sauf après une très longue cuisson.Du fait du comportement charognard de ces espèces, le corbeau a aujourd’hui une mauvaise réputation en Occident. Ceci n’a pas toujours été le cas puisque Hugin et Munin, deux grands corbeaux dans les mythologies nordiques étaient les messagers des dieux. Et aussi Citation : La plupart des références culturelles se rapportent à l’espèce commune du grand corbeau (corvus corax), mais il peut aussi se confondre avec la corneille. Sa symbolique a notamment intéressé le célèbre anthropologue français Claude Lévi-Strauss, qui suggère une hypothèse structuraliste selon laquelle le corbeau, tout comme le coyote, a obtenu un statut mythique parce qu’il était considéré comme un médiateur entre la vie et la mort. Donc vous rejoignez l’analyse de Claude Lévi-Strauss…ce trait d’union entre la vie et la mort… Vous parlez aussi de chevaux, qui sont des animaux psychopompes : Citation : En mythologie, un dieu psychopompe (en grec ancien ???? p ? µpó ? / psykhopompós, signifiant littéralement « guide des âmes ») est le conducteur des âmes des morts (guide ou passeur), le guide dans la nuit de la mort. Du boulot pour psychanalyste ça. Merci à tous et à bientôt. Corbivan… 
Contribution du : 16/04/2015 12:47
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Re : Remerciements pour 'Le frère de l'homme' |
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Expert Onirien
 
Inscrit:
23/03/2011 21:54 De France
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
7565
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A propos du corbeau réputé immangeable, on dit dans ma région (Poitou) que pour faire une bonne soupe de corbeau, il faut mettre un gros morceau de bœuf dans une grande marmite d'eau, on fait bouillir à petit feu... avec le corbeau sur le couvercle et cela fait une excellente soupe ! Jamais essayé !
Plaisanterie mise à part, j'aime assez ce corvidé. J'en ai apprivoisé un tombé du nid lors d'une battue et l'ai gardé presque 2 ans. Il a fini par mourir ayant sans doute mangé une souris empoisonnée. C'est un oiseau très intelligent et son plumage noir bleuté est magnifique. C'est idiot de dire qu'il porte malheur, pas plus ni moins qu'un autre animal... pfft !
Contribution du : 16/04/2015 18:26
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Re : Remerciements pour 'Le frère de l'homme' |
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Maître Onirien
 
Inscrit:
28/04/2010 15:29 Groupe :
Comité Editorial Groupe de Lecture Auteurs Membres Oniris Évaluateurs Post(s):
11151
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En ce qui me concerne, j'ai trouvé ce texte juste magnifique, fort, précis, et encore fort.
Je n'ai pas eu le temps de le commenter, et je ne sais pas si je trouverai ce temps, mais je passe ici juste pour le dire : c'est un très très beau texte ! 
Contribution du : 16/04/2015 21:19
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Dans une poignée de sable de la route, j'ai mis un rayon de soleil qui brille, un murmure du vent qui se lève, une goutte du ruisseau qui passe et un frisson de mon âme, pour pétrir les choses dont on fait les histoires. Jean Ray - Les derniers contes... |
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