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1 Utilisateur(s) anonymes
Mercis de Homard |
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Maître Onirien
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16/05/2013 09:00 Groupe :
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Merci à tous d’entre vous qui se sont manifestés d’une manière ou d’une autre sur ce texte.
J’ai été heureux de constater que, selon les lectures, on a vu le sens que j’ai voulu donner à cette fable – fable entre parenthèses, car le procès Raddad n’était pas le plus emblématique des erreurs judiciaires - de plus, par respect pour l’homme, pour la victime, ses proches, et pour toutes les personnes qui ont été partie prenante de cette affaire, je n’ai pas cherché à la tourner en dérision ni en faire une farce, même si le ton est badin, voire potache. Vous aurez noté que, pour faire diversion, j’ai changé le chef d’accusation, et j’ai allègrement mélangé l’enquête et l’instruction. En fait, deux seules pensées m’ont guidé : D’abord donc, le côté erreur judiciaire ou plutôt faillite de l’instruction, même si cette affaire n’en est pas le meilleur exemple comme fut Outreau par ailleurs ou encore mieux l’affaire Calas. Il m’a semblé important de souligner le mot « instruction » comme base de la justice : comprendre avant de juger. D’autres, meilleurs, l’ont dit, en mieux, avant moi, mais c’est le lot des fables actuelles que de redire. L’autre, c’est naturellement cette faute de grammaire qui a fait la risée de tous lors du procès, or qu’elle est encore commise régulièrement sur tous les forums (même d’Oniris) et dans tous les journaux de France et de Navarre. On la trouve même dorénavant dans « Le Monde », journal de référence orthographique à mon époque. Bref, sans vouloir dire que l'instruction c’était mieux avant, il semble que le participe soit passé. Voilà. J'avais deux bonnes raisons de faire bisquer mon homard. Je me suis donc essayé au double procès d’instruction. Merci encore à tous.
Contribution du : 15/05/2015 08:33
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Re : Mercis de Homard |
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Visiteur
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C'était une excellente bisque ; j'ai grandement apprécié.
Ca me fait penser à un petit morceau de texte que j'avais écris il y a quelques années. Voici : "J'entends la porte close Résonner du silence horrifié De celui qui attend pieds et mains liés La sentence implacable De juges aveugles Le sceptre de la Loi Brandit comme un couperet Rend la justice infame Lorsqu'elle est sans appel" Bien à vous, Wall-E
Contribution du : 16/05/2015 20:12
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