Bonjour à tous. Merci au comité de lecture et aux différents lecteurs qui ont fait que mon poème ait été retenu.
C'est donc, bien sûr, un manque d'inspiration, d'idées, qui m'a conduit à ce sujet. Malgré mon manque de temps en ce moment, je voulais mettre quelque chose dans le tuyau avant de partir pour l'été.
Ce n'est pas chose à faire, j'en conviens (et Marite me l'a rappelé à raison), même si, finalement je ne me suis pas trop "ramassé". Mais je connais votre indulgence.


Bipol : Heureux que vous ayez adoré, passionnément même. Cela me parait abusif mais c'est votre ressenti et je l'accepte avec grand plaisir.

Pieds-en-Vers : Vous avez raison. Si le thème de la page blanche est éculé, alors celui du printemps, de l'amour, de la solitude et tous les autres le sont aussi.
Heureusement la variété des traitements nous permet de les apprécier (plus ou moins) encore et encore.

Marite : Merci pour vos gentils compliments. Comme vous le dites, il ne faudrait jamais écrire pour écrire, mais seulement quand le besoin pressant s'en fait sentir.

Alexandre :
Tout à fait d'accord avec toi pour ce "vacance" qui aurait du rester le même que le titre. Je te remercie de ton passage.

Wall-E : Merci pour votre lecture et appréciation. C'est aussi la dernière strophe dont je suis le plus content, malgré ce "vacances" qu'il aurait mieux valu laisser au singulier, comme le titre.

Papipoète : Merci beaucoup, Papipoète pour votre gentil commentaire. J'avoue avoir été un peu dur avec vous en commentant votre dernier poème "Village au fond de la vallée".
J'en suis un peu confus, mais vous savez faire bien mieux. Vous l'avez prouvé.

Robot : Merci pour votre passage et, comme Pied-enVers qui me faisait la même remarque que vous et à qui je réponds ci-dessus, vous avez raison, une sujet ne peut-être éculé si on en fait un traitement qui lui ne doit pas l'être.

Gemini : Comme Alexandre, vous auriez préféré que je garde "vacance" au singulier, comme l'était le titre; et comme lui, je vous donne raison. Je garderai ce poème corrigé sur ce point.
Vous avez aussi noté le côté "empilement" des strophes que je reconnais volontiers. Le manque d'inspiration est bien là.
Merci pour votre passage.

Leni : Merci, Leni pour votre commentaire, je suis heureux qu'il vous ait bien plu. Au plaisir de vous lire ET entendre.

Tizef : Merci tizef pour avoir su prendre mon poème pour ce qu'il est, une petite suite d'images servant à combler mon manque réel d'inspiration en ce moment.
Je n'ai plus qu'à partir en vacances moi aussi et si je croise ma muse je ferai semblant de ne pas la voir. Au moins jusqu'à l'automne.

Lala : Bonjour Lala et merci de votre passage sur mon poème. Quelques platitudes en effet, j'en conviens volontiers. Contrairement à ce que vous semblez penser, ces quelques banalités n'avaient rien de volontaire, et ne servaient pas à illustrer le propos. Hélas.

Pizzicato : Merci pour votre indulgence. Essayant moi-même de composer un peu (chansons plus arrangements pour chœur) je crois qu'il m'est encore plus dur d'être satisfait avec la musique.
Je n'ai pour le moment rien oser présenter, pas même à mes proches.

Beaufond : Je comprends très bien votre point de vue,et il y a là, évidemment une illustration non voulue de ce manque d'inspiration. Pour ma défense j'avais quand même essayer une graduation avec la succession dans les quatre première strophes des mots : Pensée, idées, phrases et mots; pour partir de plus large au plus étroit.
Merci beaucoup pour votre commentaire.

Hananke : Vous avez bien laché le mot : Effort. C'est ce qui me manque peut-être le plus pour m'attaquer au "classique". Si le manque d'inspiration est une plaie pour le "poèticule" que je suis, la flemme est plus sûrement mon pire ennemi et j'ai tendance à lâcher trop tôt mes écrits.
Un gros point à travailler pour moi. Merci beaucoup pour votre arrêt sur mon texte.

A bientôt à tous.

Michel