Bonjour et merci à toutes et tous, lecteurs et commentateurs de ce modeste sonnet néo sorti de mes archives.
Egalement merci au CE qui a bien voulu l’inclure dans le catalogue onirien.
C’est vrai que La Fontaine a souvent pris quelques libertés tant dans le contenu que le contenant de ses Fables. Celle-ci figure dans le Livre Premier, c’est-à-dire à l’époque où il écrivait pour le Dauphin au risque de ternir à jamais son sceau. Il semble que cela n’ait dérangé personne car après ce premier Livre il en écrira onze autres… On peut ajouter qu’il a souvent trouvé son inspiration chez Esope mais qui ne s’inspire pas du passé ?
Ceci-dit, ça ne remet pas en cause l’ensemble de son œuvre et je garde toujours à portée de main son recueil de fables.
Exceptionnellement je ne répondrai pas à chaque commentaire car ce genre de texte n’est pas sujet à questions, chacun connaissant ses classiques. Toutefois...

@RB Je vous remercie pour votre passage et votre question argumentée sur le mot sceau.
Il faut bien entendu ici l’interpréter comme synonyme de signature.

@ celles et ceux qui n’y ont pas trouvé l’humour habituel je présente mes excuses mais le sujet ne s’y prêtait pas vraiment. C’est plutôt le genre « pavé dans la mare » comme l’a souligné lala.

Ce texte aurait certainement plu à Colbert, ennemi juré de Maitre Jean auquel il cèdera pourtant son fauteuil à l’Académie…


Voilà, voilà ! Encore merci et à la prochaine…